🏄♀️Avec un prénom qui veut dire «femme» en tahitien, #VahineFierro croit en sa bonne étoile et en son agilité sur les vagues. Et elle a raison : à seulement 24 ans, la jeune athlète qui a grandi sur l’île de Huahine, située à trente minutes de Tahiti en avion, fait partie de l’équipe de France de surf en lice pour les #Jeuxolympiques de #Paris2024. 🌊Mais surtout, elle est l’un des grands espoirs de médaille. Du 27 au 30 juillet prochains, la Polynésienne devra dompter à domicile la redoutable vague de Teahupo’o. Avant cela, elle se concentre et se dévoile dans notre série « Madame aux Jeux », en se remémorant sa plus grande victoire aux championnats du monde Junior WSL à l’âge de 18 ans en Australie. La prodige du surf évoque par la même occasion le lien si fort qui l’unit à ses sœurs Heimiti et Kohai, elles-mêmes surfeuses, et partage ses rituels pour se ressourcer et garder la motivation. #Athlete #LetsMove
Post de Madame Figaro
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Connaissez-vous Eric Moussambani ? Il incarne le meilleur des JO 🥇 📻 En 2000, il entend à la radio un message de la fédération équato-guinéenne de natation qui recherche des nageurs. Cette instance, nouvellement créée, vient d’être invitée à participer aux #JO de Sydney. Une manière de donner de la visibilité à certaines disciplines sportives dans des pays du Sud Global. Il est le seul à se présenter et est immédiatement qualifié. 🏊♂️ Il se prépare sans coach ni partenaire. La Guinée équatoriale ne compte qu’une piscine de 20 mètres, celle de l’hôtel Ureca. Il a le droit de s’y entraîner, mais seulement de 5 heures à 6 heures du matin pour ne pas gêner les clients. Il passera tout prêt de la disqualification, avec son short de bain acheté dans une friperie, avant qu’un entraîneur sud-africain ne lui prête maillot et lunettes réglementaires. 🎽 Il remportera la série malgré le faux départ de tous ses concurrents. 😮 Mais l’histoire ne s’arrête pas là ! Sentant le coup de communication, l’équipementier Speedo le sponsorise. Il ne lâche pas la natation, progresse et divise par deux son temps. Il souhaite se rendre aux JO suivant, mais une erreur administrative du comité olympique équato-guinéen – qui a égaré sa photo d’identité – lui coûte sa place. Il sera nommé entraîneur de l’équipe nationale de natation pour les Jeux de Rio de 2016. 💡 Selon moi, l’histoire d’Eric Moussambani c’est : 👉 Mettre en lumière les #inégalités criantes entre les pays du Nord et du Sud, et promouvoir des valeurs inclusives. 👉La « saine #compétition » : celle que l’on fait avec soi-même, et pas « contre » quelqu’un. Une saine compétition est une situation où personne ne perd à la fin (c’est le cas du sport on ne perd rien si ce n’est l’occasion de gagner), contrairement à la compétition sans limite du marché économique, où il y a clairement des perdants (désastres environnementaux, esclavage humain, etc). 👉La citation de Pierre de Coubertin : « Le plus important aux Jeux olympiques n’est pas de gagner mais de participer ».
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Alors que les Jeux olympiques de Paris 2024 se profilent à l’horizon, une question brûlante agite les esprits : la Seine sera-t-elle suffisamment propre pour accueillir les épreuves aquatiques ? Face aux inquiétudes grandissantes, Alexis Hanquinquant, champion paralympique en titre de triathlon, se veut rassurant. Selon lui, la qualité de l’eau du fleuve parisien n’est pas pire qu’ailleurs. La Seine, un fleuve comme les autres ? Dans une interview accordée à l’AFP et au Parisien, Alexis Hanquinquant, fraîchement sélectionné pour représenter la France aux Jeux paralympiques, s’est exprimé sans détour sur la polémique entourant la qualité de l’eau de la Seine. Pour lui, les craintes sont infondées et relèvent d’une stigmatisation excessive. “Je reste persuadé que si vous faites un sondage auprès des triathlètes et des nageurs d’eau libre, 95% d’entre eux s’en foutent de nager dans la Seine”, affirme-t-il avec conviction. Le sextuple champion du monde argue que les compétitions internationales se déroulent régulièrement dans de grandes villes, où la qualité de l’eau n’est pas toujours optimale. “C’est un faux problème, la Seine n’est pas plus sale qu’ailleurs”, martèle-t-il, regrettant que le débat prenne une ampleur démesurée. Des normes européennes respectées Malgré une pollution bactériologique élevée qui a rendu la Seine impropre à la baignade pendant une grande partie du mois de juin, le fleuve est récemment passé sous les seuils définis par la directive européenne. Pendant quatre jours, dont deux consécutifs, les analyses ont révélé une qualité d’eau satisfaisante. Si cette embellie ne dissipe pas totalement les doutes, elle apporte néanmoins une lueur d’espoir quant à l’état de l’eau au moment des épreuves olympiques. Le duathlon, un plan B controversé En cas de dégradation trop importante de la qualité de l’eau, l’organisation des JO envisage plusieurs options, dont le report de quelques jours des épreuves de triathlon ou, en dernier recours, leur transformation en duathlon. Mais pour Alexis Hanquinquant, cette éventualité est loin d’être satisfaisante : Ce ne serait pas le même sport : dites à un basketteur qu’il va faire un match avec un ballon de hand. Si historiquement, on est les premiers à passer en duathlon, je ne serais pas fier d’être français. Ce serait une Bérézina. Alexis Hanquinquant, champion paralympique de triathlon Le triathlete redoute également l’impact qu’aurait une telle décision sur la logique sportive de la compétition. Un enjeu de taille pour Paris Au-delà des considérations purement sportives, la qualité de l’eau de la Seine revêt une dimension symbolique forte pour la ville de Paris. Après des décennies d’efforts pour assainir le fleuve, la réussite des épreuves olympiques aquatiques constituerait une vitrine éclatante du chemin parcouru et de l’engagement environnemental de la capitale. Alors que le compte à rebours vers les Jeux olympiques s’accélère, tous les regards sont tournés vers la Sein...
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Quelle tristesse de voir à quel point le sport en France n'est pas une priorité, même l'année des JO... "En cas de nouveau refus, celui qui se bat depuis 2017 pour obtenir la nationalité française envisage de partir s’entraîner aux États-Unis "car en France il n’y a aucune perspective d’avenir sportif pour moi" ". Comme en entreprise, l'attractivité et la fidelisation des talents sportifs devraient être un objectif national, seule façon de rivaliser avec d'autres pays, comme les US où la culture du sport est omniprésente. Et, au delà de la représentativité de la France dans les compétitions internationales, rappelons encore et toujours les bienfaits du sport sur la santé, et l'impact non négligeable d'un mental de "sportif de haut niveau" dans les équipes (denrée rare et recherchée par les entreprises qui recrutent, car modèle de résilience et de persévérance)! Quand va-t-on enfin se réveiller et se donner les moyens de nos ambitions? #sport #santé Roxana Maracineanu Cercle des Nageurs de Marseille Sébastien LEQUEUX Amélie OUDÉA-CASTÉRA Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 Tony Estanguet Nicolas Canivet Fabien Galthie https://lnkd.in/eDQQP38k
Sa naturalisation refusée, cet espoir de la natation ne représentera pas la France aux JO
huffingtonpost.fr
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🏄♀️🌴 Cet été avec Charline Martin-Méfort, nous mettons le cap sur les Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Nous allons passer plusieurs semaines en Polynésie française, et notamment à Tahiti où nous suivrons les épreuves de surf pour différents médias. Et comme nous avons un attrait pour des thématiques variées, nous en profiterons pour proposer du contenu hors sport, qu’il soit social, environnemental ou politique. Voici donc le premier article d’une longue (on l’espère) série. Un article rédigé pour Le Monde 📝 #Jeuxolympiquesetparalympiques #JO2024 #Paris2024 #Surf #Tahiti
Le long combat des surfeuses, de faire-valoir « sexy » à athlètes olympiques reconnues
lemonde.fr
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#réflexiondujour : J'imagine que beaucoup d'entre vous ont pris connaissance de ce qui est arrivé à la marathonienne E. Congost (malvoyante) attelée à son guide M. Carol lors des Jeux Paralympiques. Quelques mètres avant la ligne d'arrivée, son guide a souffert le martyr (violentes crampes). Elle a tenté de le retenir au moment où il s’effondrait au sol. Pour ce faire, elle a lâché la corde qui le reliait à lui, pendant quelques instants seulement. ... L'organisation a décidé de disqualifier le duo car le règlement stipule que la corde doit constamment relier les athlètes. ... Dans ce cas précis, l'organisateur devait il déroger au règlement et leur accorder la médaille de bronze ? On a envie de dire oui ! ... Pour autant, il ne faut pas oublier que le guide était en partie "fautif" car il n'a pas su calculer correctement le nombre de sels minéraux dont il avait besoin pour finaliser son exploit. De son côté, l'athlète savait qu'elle n'avait pas le droit de lâcher la corde. C'est la dure loi du sport et de ses règles. ... Serait-il judicieux de leur accorder une médaille sans contrarier les autres participants qui, eux aussi, souffrent durant la course ? Honnêtement je ne pense pas qu'il existe une réponse "juste". L'organisation des Jeux Paralympiques a fait son choix et a pris ses responsabilités. C'est son rôle. On ne peut que respecter son choix. ... Par contre, tout ceci m'a invité à penser que ce genre d'injustice peut nous arriver chaque jour dans nos quotidiens professionnels (sous d'autres formes) et que ce qui compte, au final, n'est autre que notre réaction. ... Prenons l'exemple d'Elena Congost (à qui au moins deux choix s'offrent) : - choix 1 : face au sentiment d'injustice qui m'envahit je décide d'exprimer mes aigreurs et de porter réclamation en me battant pour obtenir gain de cause. Je suis rempli(e) de colère et je vais me battre jusqu'à ce que cette situation ubuesque soit réglée en ma faveur. Je veux cette médaille ! Je la mérite ! - choix 2 : à bien y réfléchir, je ne peux qu'être fièr(e) de moi. J'ai agi de façon spontanée, sincère et avec beaucoup d'humanité. J'ai pu aider mon compagnon d'effort qui m'a accompagné tout au long du parcours. Je sais que si cet incident était arrivé 1 mètre après la ligne d'arrivée, personne n'en aurait parlé. Je suis extrêmement fièr(e) de l'exploit que nous avons accompli tous les deux. D'autant que je suis content(e) de voir autant de personnes qui m'apportent leur soutien alors que je n'ai même pas obtenu de médaille. C'est magnifique ! ... Et vous ? Que ferez-vous quand un collaborateur, un partenaire ou un sous-traitant s'effondrera devant vous ? Choisirez-vous de le soutenir (au risque de perdre l'affaire) ou déciderez vous de garder la médaille pour vous seul ? #collaboratif #partenariat #solidarité
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