Les #retraités ont perdu en pouvoir d’achat sur 20 ans
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Des nouveautés et des changements qui impactent le budget des ménages en ce mois d'octobre. Les aides au logement bénéficient d’une hausse moyenne de 3,26 % et les petites retraites connaissent elles aussi une revalorisation. Les arnaques bancaires devraient régresser avec la suppression du « spoofing »... Voici ce qui change au 1er octobre 2024 !
APL, retraites, arnaques… qui change au 1er octobre 2024 - La finance pour tous
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💰 Plan d'épargne entreprise des #salariés : Nouveau cas de déblocage ! Décret du 5 juillet 2024 : Pour le PEE, il existe déjà certains cas de déblocage anticipé : mariage, Pacs, naissance du 3ème enfant, séparation (avec garde d’un enfant), cessation du contrat de travail, violences conjugales. Le décret du 5 juillet 2024 a rajouté trois cas de déblocage anticipé des sommes versées sur un PEE : ➡️ 🏘 Rénovation énergétique de la résidence principale ➡️ 🛌 Activité de proche aidant (salarié, conjoint marié ou pacsé) ➡️ 🚗 Achat d’un véhicule propre (véhicule électrique ou cycle à pédalage assisté) source : lafinancepourtous.com #épargne #salariés #PEE #financement
Épargne salariale : 3 nouveaux cas de déblocage anticipé - La finance pour tous
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📊 🇺🇸 Le Bureau of Labor Statistics américain a publié des données sur les dépenses de #consommation annuelles des Américains pour l'exercice 2023. Parmi les données clé : ✔️ Le logement représente la plus grande part des dépenses totales (32,9%), suivi par le transport (17%), l'#alimentation (12,9%, y compris #restauration hors foyer), l'assurance personnelle et les pensions (12,4 pour cent), les assurances personnelles et les pensions (12,4%), les soins de santé (8,0%) et les loisirs (4,7%). ✔️ Les dépenses alimentaires ont augmenté de 6,9% en 2023, contre une augmentation de 12,7% en 2022. L'augmentation des dépenses alimentaires à domicile (+6,1%) et hors domicile (+8,1%) est à l'origine de cette hausse des dépenses alimentaires globales. ✔️ Les familles monoparentales ont alloué les parts les plus élevées de leurs dépenses au logement (37,3%) et les parts les plus faibles aux assurances personnelles et aux pensions (9,0%), aux soins de santé (4,9%) et aux loisirs (3,8%). En revanche, les couples mariés avec enfants ont alloué les parts les plus faibles au logement (30,6%) et les parts les plus élevées dans les assurances personnelles et les pensions (15,1 %). Les couples mariés ont alloué les parts les plus élevées aux soins de santé (10,0%) et aux loisirs (5,0%), tout en ayant les parts les plus faibles dans l'#alimentation (12,2%). https://lnkd.in/ezfttSf8
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Directeur, Fondation i2ml (Living Lab consacré au vieillissement/ French Living Lab innovating in favour of well aging and a positive representation of elderly population), Usage/coconception/immersions
Bien vieillir à domicile a un coût, et ce coût a augmenté de 4,5% en moyenne l'an dernier pour les produits et services, selon le baromètre 2023 publié par Retraite.com. Par ailleurs, entre mars 2021 et mars 2023, les retraités ont vu leurs dépenses augmenter de 16%, selon une étude sur le pouvoir d’achat des retraités réalisée avec l’Institut CSA. Les prix sont en hausses dans de nombreux secteurs : transports, mutuelles, services à la personne ou équipements pour l’aménagement du domicile.
Le 4e baromètre "combien ça coûte d’être vieux en France" vient d'être publié
francetvinfo.fr
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Comment les ménages s’adaptent-ils à la baisse de revenu liée à la perte d’emploi ? Puisent-ils dans leur épargne pour maintenir leur niveau de consommation, ou sont-ils contraints de se serrer la ceinture et de diminuer leurs dépenses ? C'est à cette question que nous répondons dans le document de travail de l'Insee que nous avons publié aujourd'hui avec Francois Le Grand, Tom Olivia, Xavier Ragot et Lionel Wilner. Un travail achevé lors de mes derniers jours à l'Insee avant de rejoindre la Drees. Alors les principaux résultats portent sur le champs des chômeurs indemnisés uniquement et sont les suivants : - la perte de revenu est en moyenne de 30%, les allocations compensant partiellement la perte de salaire - Au chômage, les ménages puisent dans leur épargne personnelle afin de limiter la baisse de leur consommation. Ainsi, un mois après la perte d’emploi, la consommation ne diminue que de 2 %. - Plus la période de chômage se prolonge, plus les ménages réduisent leur consommation et moins ils sont enclins ou capables de puiser dans leur épargne. Après six mois de chômage, la consommation a diminué de 15 %. La réduction de la consommation peut s'expliquer par le manque d'épargne des ménages. D'ailleurs, moins les ménages avaient d'épargne avant l'entrée au chômage, plus ils diminuent leur consommation. Mais une partie de la baisse de la consommation peut également s’expliquer par la disparition de dépenses contraintes liées au travail comme celles relatives aux transports (diminution des dépenses en essence). Résultat bonus : un mois avant la perte d'emploi, le revenu est en hausse grâce au solde de tout compte (indemnités de congés payés ou de licenciement notamment). De manière peut-être paradoxale, ce mois-là, la consommation augmente également. Les ménages n'épargnent donc pas entièrement leurs indemnités de fin de contrat en vue du chômage approchant. De nombreuses études évaluent l’impact des allocations chômage sur l’emploi, mais, faute de données adéquates, peu mesurent leur capacité à amortir les chocs financiers pour les ménages. Cette étude s'est attaquée à cette question en mobilisant des données originales, à savoir des données de comptes bancaires de la Banque Postale. Plus d'info à ce lien https://lnkd.in/dAbxSrTR Et un grand merci à Matéo Moisan pour sa grande contribution à ce travail
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Depuis 18 ans, conseil en reconversion à plus de 21.000 professeurs. Précurseur en juillet 2006 en créant l'association AIDE AUX PROFS.
De la crise sanitaire est née une crise sociale. Retour d'une forte inflation qui met à mal le budget mensuel de dizaines de millions de français. Pendant le Covid19, les milliardaires ont doublé leur chiffre d'affaires et leurs bénéfices se sont envolés. Au lieu de leur demander d'en reverser plus à l'Etat, le gouvernement préfère imposer un recul de l'âge obligatoire de départ en retraite et maintenant une réforme de l'assurance chômage contestée et contestable, promulguée le 1er juillet. Un véritable scandale de taper toujours sur ceux qui ont moins, qui vivent mal ou moins bien. Les classes moyennes qui gagnent "3.850 €/mois en moyenne" sont nommées "riches" par les médias des amis du pouvoir pour épargner les super riches, ultra-riches, méga-riches, 1% de la population française qui possède 23,5% des richesses du pays, multiproprietaire, qui se fout royalement des conséquences de la réforme des retraites puisqu'ils ont tous des millions de côté. La France s'est appauvrie depuis 2017. Les élites parisiennes qui gouvernent vivent dans l'entre-soi et ne viennent au-devant des électeurs que pour solliciter leurs votes et dire "comprendre leurs problèmes". Mais avec des indemnités ministérielles, parlementaires et de secrétariat qui font que chaque député gagnera plus de 10.000 €/mois, les rangeant dans le fameux 1% de super-riches en France, on a vraiment du mal à imaginer ce qui pourrait changer pour le quotidien de leurs électeurs. La vraie justice sociale serait de voter une loi qui placerait d'office le montant des indemnités parlementaires, des députés comme des sénateurs, au montant du salaire moyen d'un français, sans avantages complémentaires. En finir avec ces privilèges exorbitants. Juste pour que les parlementaires soient plus au fait de ce que ça veut dire de vivre avec 2.630,00 €/mois nets. Sans logement de fonction. Sans voiture ni chauffeur de fonction. Sans prise en charge de frais autres que de fonction. Sans repas payés ou proposés à des prix nettement en-dessous du marché par les institutions parlementaires. Sans carte de train et de transport aérien. Sans ces voyages de "groupes d'amitiés parlementaires" permettant à tout député ou sénateur de voyager à moindres frais dans le cadre de ses missions. Sans... tous ces avantages qui finissent par faire douter le citoyen de l'engagement politique au service des autres. Il semble que devenir parlementaire soit surtout être au service de l'accroissement considérable de son train de vie. Comment le citoyen quel qu'il soit peut-il continuer de croire ceux qui lui parlent de justice sociale, en étant payés pour leur mission parlementaire près de 5 fois plus que le salaire moyen ? Il y a eu une évolution indécente des indemnités des élus, et la France est devenue une République bannière. On comprend nettement mieux ainsi que 50% des électeurs en aient assez de cette roue de la fortune pour un millier de privilégiés, qui s'y habituent.
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