Festival de Cannes

SEAN BAKER, lauréat de la Palme d'or pour ANORA. — SEAN BAKER, winner of the Palme d'or for ANORA. #Cannes2024 #Palmares #Awards #PalmedOr

« Du silence au cri de la révolte, il y a un chemin » : c’est celui qu’a décidé d’éclairer Céline Salette dans son premier long métrage en se penchant sur la décennie durant laquelle Niki de Saint Phalle échappe à son destin de femme au foyer pour devenir une artiste frondeuse, engagée et visionnaire. Aux côtés de John Robinson et Damien Bonnard, Charlotte Le Bon incarne de manière troublante la plasticienne franco-américaine hantée par une enfance traumatique. En salle aujourd’hui, Niki est un portrait de femme délicat et lumineux qui célèbre le pouvoir libérateur de la création. ----- ‘From silence to the cry of revolt, there is a path": this is the path that Céline Salette has decided to illuminate in her first feature film, looking at the decade during which Niki de Saint Phalle escaped her fate as a housewife to become a rebellious, committed and visionary artist. Alongside John Robinson and Damien Bonnard, Charlotte Le Bon wonderfully portrays the Franco-American artist haunted by a traumatic childhood. Now in cinemas, Niki is a delicate, luminous portrait of a woman who celebrates the liberating power of creation.

En salle en France aujourd'hui : L'Histoire de Souleymane nous emmène à Paris, sur les traces d'un livreur de vélo pendant les 48h qui précèdent sa demande d’asile. Abou Sangare, acteur non professionnel, campe le sans-papier guinéen pris dans la roue d’un quotidien où tout peut basculer d’une minute à l’autre. Une interprétation bouleversante pour un film haletant et nécessaire. A #Cannes2024 où il était présenté au Certain Regard, le film social de Boris Lojkine a reçu le Prix du Jury présidé par Xavier Dolan, ainsi que le Prix d'interprétation masculine. ----- In French theatres in France: L'Histoire de Souleymane takes us to Paris, following in the footsteps of a bicycle deliveryman during the 48 hours leading up to his application for asylum. Abou Sangare, a non-professional actor, plays the Guinean undocumented migrant caught up in a daily routine where everything can change from one minute to the next. A deeply moving performance in a breathless and necessary film. At #Cannes2024, where it was presented in the Certain Regard section, Boris Lojkine's social film won the Prize of the Jury presided over by Xavier Dolan, as well as the Best Actor award.

Comment devient-on Donald Trump ? Par héritage ? Par prédisposition ? Par le contexte d’une époque ? Par la rencontre d’un mentor ? Un questionnement porté à l’écran par Ali Abbasi dans The Apprentice, le film que Trump a tenté de faire interdire en vain, puisqu’il sort en salle en France ce mercredi avant d’être dévoilé aux USA le 11 octobre, moins d’un mois avant le premier tour des élections présidentielles auxquelles le milliardaire est à nouveau candidat. L’apprenti est ce golden boy maladroit qui sous l’influence de l'avocat ultraconservateur Roy Cohn devient une bête politique impitoyable au sommet de la société New-Yorkaise. Une ascension captivante, une esthétique seventies soignée, et surtout, la prestation brillante de deux acteurs troublants de vérité : Sebastian Stan dans la peau de Donald Trump et Jeremy Strong dans celle de Roy Cohn. A ne pas manquer. #Cannes 2024 #Compétition ----- How does one become Donald Trump? By heritage? By predisposition? By the context of an era? By meeting a mentor? These are questions brought to the screen by Ali Abbasi in The Apprentice, the film that Trump tried in vain to have banned, since it opens in cinemas in France this Wednesday before being unveiled in the USA on 11 October, less than a month before the first round of the presidential elections in which the billionaire is once again a candidate. The apprentice is the awkward golden boy who, under the influence of ultraconservative lawyer Roy Cohn, becomes a ruthless political beast at the top of New York society. A captivating rise to prominence, a meticulous seventies aesthetic and, above all, the brilliant performances of two actors who are troublingly true to life: Sebastian Stan as Donald Trump and Jeremy Strong as Roy Cohn. Not to be missed.

Devenue incontournable pour les talents émergents du cinéma mondial, La Résidence du Festival a accompagné les débuts de László Nemes, Lucrecia Martel, Lukas Dhont, Nadine Labaki, Nadav Lapid, Carla Simón, Karim Aïnouz ou encore Payal Kapadia, Grand Prix à #Cannes2024. Ces artistes sont le reflet d'un foisonnement et d'une créativité que le Festival de Cannes est enthousiaste de soutenir. #cinemadedemain #laresidence 👉 Découvrez les 6 nouveaux cinéastes en résidence à Paris du 1er octobre 2024 au 15 février 2025 : https://bit.ly/480WrRD ----- La Résidence du Festival, which has become a must for emerging talents in world cinema, accompanied the debuts of László Nemes, Lucrecia Martel, Lukas Dhont, Nadine Labaki, Nadav Lapid, Carla Simón, Karim Aïnouz and Payal Kapadia, who won the Grand Prix at #Cannes2024. These artists are a reflection of an international creativity that the Festival de Cannes has always been excited to support. 👉 Discover the 6 new filmmakers in residence in Paris from October 1st, 2024 to February 15th, 2025:

Avec All We Imagine as Light, la réalisatrice Payal Kapadia établissait une double performance à #Cannes2024. Celle de faire revenir le cinéma indien dans la Compétition après 30 ans d'absence et celle d’y décrocher le Grand Prix. La première fiction de la cinéaste qui, en 2021, fut saluée de l’Œil d’or du meilleur film documentaire pour A Night of Knowing Nothing, campe la condition féminine indienne entre émancipation et pression familiale en suivant les trajectoires amoureuses de deux infirmières de la ville (la trépidante Mumbai) à la campagne. Une vision politique, sensuelle, et poétique, à découvrir en salle en France aujourd’hui. ---- With All We Imagine as Light, director Payal Kapadia set a double performance at #Cannes2024. To bring back Indian cinema in the Competition after 30 years of absence and to win the Grand Prix. The first fiction by the filmmaker, who won the Golden Eye for Best Documentary for A Night of Knowing Nothing in 2021, captures the Indian women’s condition between emancipation and family pressure by following the amorous trajectories of three women from the city (the bustling Mumbai) to the countryside. A vision as political as it is sensual and poetic, to be discovered in France today.

Avec la sortie de #Megalopolis, on ne résiste pas au plaisir d'un petit retour en images spécial Francis Ford Coppola à #Cannes2024 ! 📸 Bon week-end de cinéma ! ----- With the release of #Megalopolis, we can't resist the pleasure of a special Francis Ford Coppola photo trip to #Cannes2024! Have a great weekend of cinema!

Premier film vietnamien en Sélection officielle, Viêt and Nam révélait à #Cannes2024 la signature de Trương Minh Quý avec un film aussi politique que poétique censuré dans le pays d'origine du jeune réalisateur. Qualifié d'hypnotique par la presse, ce long métrage noué autour de la relation amoureuse de deux mineurs homosexuels dont l'un se prépare à l'exil, fouille la mémoire traumatique d'un peuple longtemps coupé en deux. Onirique et mystérieux, Viet and Nam est désormais à l'affiche !  _____ The first Vietnamese film in the Official Selection, Viêt and Nam revealed Trương Minh Quý's signature at #Cannes2024 with a film as political as it is poetic, censored in the young director's country of origin. Described as hypnotic by the press, this feature-length film revolves around the love affair between two homosexual miners, one of whom is preparing for exile, and delves into the traumatic memory of a people long divided in two. Dreamlike and mysterious, Viet and Nam is now showing in French theatres!

"Transmettre la joie et l'espoir d'être en vie." Avec Vivre, mourir, renaître, Gaël Morel apporte un nouvel éclairage sur les années sida en les abordant à partir de l'apparition de la trithérapie. Tout en rendant hommage à une jeunesse foudroyée par l'épidémie, le réalisateur français qui met en scène une histoire d'amour et d'amitié entre un couple (Lou Lampros & Théo Christine) et un photographe séropositif (Victor Belmondo), s'attache à décrire la pulsion de vie malgré l'épreuve de la maladie. Un film puissant présenté à Cannes Première en mai dernier et à découvrir en salle en France dès aujourd'hui. #Cannes2024 ----- ‘Passing on the joy and hope of being alive. With Vivre, mourir, renaître, Gaël Morel sheds new light on the AIDS years by looking at them from the point at which tritherapy was introduced. While paying tribute to a youth devastated by the epidemic, the French director, who depicts a story of love and friendship between a couple (Lou Lampros & Théo Christine) and an HIV-positive photographer (Victor Belmondo), is concerned with describing the drive for life despite the trial of the disease. A powerful film presented at Cannes Première last May and available in cinemas in France from today.

Complètement fou, psychédélique, démesuré, kitsch, ambitieux, visionnaire, libérateur, déroutant, novateur... Magnum opus ou impossible objet  de cinéma, c'est à vous de découvrir #Megalopolis, le film qui marque le retour de Francis Ford Coppola sur grand écran après une absence de près de 15 ans. Un péplum futuriste incarné par Adam Driver, Nathalie Emmanuel et Giancarlo Esposito, qui représente le projet d'une vie pour le légendaire cinéaste américain doublement adoubé de la Palme d'or par le passé : en 1974 pour Conversation secrète et en 1979 pour Apocalypse Now. #Cannes2024 _____ Completely mad, psychedelic, over-the-top, kitschy, ambitious, visionary, liberating, disconcerting, innovative... Magnum opus or impossible cinema object, it's your turn to discover #Megalopolis, the film that marks Francis Ford Coppola's return to the big screen after an absence of almost 15 years. A futuristic peplum starring Adam Driver, Nathalie Emmanuel and Giancarlo Esposito, the project of a lifetime for the legendary American filmmaker who has twice won the Palme d'or: in 1974 for The Conversation and in 1979 for Apocalypse Now.