CNRS Île-de-France, Gif-sur-Yvette

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Services de recherche

Le CNRS, acteur de l'innovation au sein du Cluster scientifique et technologique de Paris-Saclay.

À propos

Le CNRS est l’un des principaux acteurs publics de la recherche et de l’innovation du Cluster scientifique et technologique de Paris-Saclay. Ses 3300 scientifiques y mènent des projets de recherche fondamentale au service de la société, avec des applications industrielles, environnementales et sociétales. Suivez également l'actualité du CNRS à Paris-Saclay sur : Twitter : @CNRSIdFSud Youtube : @CNRSLascienceaParisSaclay Facebook : CNRSIdFSud

Site web
http://www.iledefrance-gif.cnrs.fr
Secteur
Services de recherche
Taille de l’entreprise
1 001-5 000 employés
Siège social
Gif-sur-Yvette
Type
Administration publique
Fondée en
1939
Domaines
Recherche scientifique

Lieux

  • Principal

    CNRS - Délégation Ile-de-France Gif-sur-Yvette

    Avenue de la Terrasse

    91190 Gif-sur-Yvette, FR

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Nouvelles

  • 👏 🥉 Félicitations à Bruno Albertazzi, qui s’est vu remettre la médaille de bronze du CNRS. La médaille de bronze récompense les premiers travaux consacrant des scientifiques spécialistes de leur domaine. Cette distinction représente un encouragement du CNRS à poursuivre des recherches bien engagées et déjà fécondes.   Chargé de recherche CNRS au Laboratoire pour l'utilisation des lasers intenses (LULI – CNRS/École Polytechnique/Sorbonne Université/CEA), Bruno Albertazzi emploie des lasers pour reproduire des conditions extrêmes que l’on retrouve dans l’univers lointain.   🔬 Son expertise dans le confinement magnétique de la matière à haute densité d’énergie, soumise ensuite à des lasers de puissance tels que les Lasers à électrons libres à rayons X (XFEL), a valu à Bruno Albertazzi de travailler sur des plateformes internationales telles que XFEL SACLA (Japon), LULI2000 (France), OMEGA (USA) et GEKKO XII (Japon).   « Je construis à chaque fois une nouvelle expérience où je focalise un laser sur un espace de dimensions allant du millimètre à quelques dizaines de microns, explique Bruno Albertazzi. Cet espace minuscule est au cœur d’une chambre bien plus grande, où je dispose les appareils qui vont en mesurer les paramètres physiques : vitesse, température et densité du plasma ainsi formé. »   Bruno Albertazzi crée des plasmas très chauds et peu denses, ou au contraire des plasmas extrêmement denses, mais à courte durée de vie. Il développe ensuite des lois d’échelle pour comparer ce qu’il observe dans les espaces confinés des laboratoires avec la réalité de l’infiniment grand.   🌌 Il a par exemple étudié l’évolution d’instabilités, dites de Richtmyer-Meshkov et de Rayleigh-Taylor, que l’on retrouve dans les nuages interstellaires. Bruno Albertazzi a également simulé comment l’explosion d’une étoile peut provoquer la formation d’un nouvel astre.   Bruno Albertazzi vous explique en 3min ses recherches et les enjeux du domaine ⤵ https://lnkd.in/e7CQTfKh   Sebastien Le Pape / Établissement public d'aménagement Paris-Saclay / Agglomération Paris-Saclay / Département de l'Essonne / Ville de PalaiseauInstitut Polytechnique de Paris

    • Il recrée des cataclysmes stellaires en laboratoire grâce à des lasers. Bruno Albertazzi, chargé de recherche au Laboratoire pour l'Utilisation des Lasers Intenses (LULI - CNRS/École Polytechnique/Sorbonne Université), a obtenu la médaille de bronze du CNRS 2024 pour son travail sur de multiples plateformes expérimentales.
  • 👏 🥈 Félicitations à Aristide Lemaître, lauréat de la médaille d’argent du CNRS. Cette récompense distingue des scientifiques pour l'originalité, la qualité et l'importance de leurs travaux, reconnus sur le plan national et international.   Aristide Lemaître est directeur de recherche CNRS au C2N - Centre de Nanosciences et de Nanotechnologies (CNRS/Université Paris-Saclay/Université Paris Cité). Spécialiste des techniques d’épitaxie les plus avancées, il élabore de nouveaux matériaux à base semi-conducteurs III-V (des cristaux à base d’atomes des colonnes III et V du tableau périodique). Il fabrique des empilements de couches nanométriques, parfaitement cristallines, d’arséniures de gallium, d’aluminium ou d’indium, grâce à la technique de croissance dite épitaxiale. Ces sandwiches de semi-conducteurs aux propriétés contrôlées sont au cœur de nombreuses applications en l’électronique, et en photonique et technologies quantiques.   Avec ces couches nano et micrométriques d’une grande pureté, Aristide Lemaître épaule de nombreuses équipes de recherche dans leurs besoins extrêmement précis en hétérostructures semi-conductrices III-V. Au centre de nombreuses collaborations scientifiques, il est impliqué dans un très grand nombre de travaux et publications faisant l’état de l’art.   Au C2N, il a par exemple développé avec Pascale Senellart des boîtes quantiques en microcavité qui servent de sources de photons uniques et indiscernables. Ces travaux ont abouti à la création de la startup Quandela, à la pointe de l’écosystème français des ordinateurs quantiques. Il a aussi collaboré, toujours au C2N, avec l’équipe de Jacqueline Bloch sur le laser à polaritons et les cristaux polaritoniques. Il travaille actuellement sur des isolants topologiques et divers autres matériaux à fort couplage spin-orbite d’intérêt pour la spintronique.   Aristide Lemaître vous explique en 3min ses recherches et les enjeux du domaine ⤵ https://lnkd.in/ecUFmnFn   Frédéric Petroff / Giancarlo Faini / Établissement public d'aménagement Paris-Saclay / Agglomération Paris-Saclay / Département de l'Essonne / Ville de Palaiseau

    • Aristide Lemaître élabore de nouveaux matériaux à base semi-conducteurs III-V pour répondre aux besoins de nombreuses équipes nationales et internationales. Ce directeur de recherche CNRS au Centre de Nanosciences et Nanotechnologies (C2N - CNRS / Univ. Paris-Saclay) est en effet passé maître dans les techniques d’épitaxie les plus avancées. Ses innombrables contributions lui valent de recevoir la médaille d’argent du CNRS 2024.
  • 👏 🥈 Félicitations à Amaelle Landais-Israël, qui s’est vu remettre la médaille d’argent du CNRS pour ses recherche en paléoclimatologie, dont l’originalité, la qualité et l’importance sont reconnus sur le plan national et international.   🌏 ❄ Amaelle Landais-Israël est directrice de recherche CNRS au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement (CEA/CNRS/UVSQ Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines). Grâce aux bulles d’air prises dans la glace, elle remonte le fil du climat du passé. Pour cela, cette scientifique date et analyse des carottes glaciaires si profondes qu’elles nous informent sur l’atmosphère d’il y a plusieurs centaines de milliers d’années.   Amaelle Landais-Israël reconstruit ainsi la dynamique des changements climatiques du passé en lien avec les concentrations en gaz à effet de serre et le forçage orbital, dû aux variations de l’orbite de la Terre et de l’inclinaison de son axe.   📈 « Le paléoclimat nous éclaire sur les mécanismes de ce qu’il s’est déjà produit, ce qui nous aide à mieux prévoir les évènements futurs. Les grands modèles, tels que ceux utilisés par le GIEC, ont besoin des données du paléoclimat pour affiner leurs prédictions », explique Amaelle Landais-Israël, qui travaille en Antarctique, aussi bien sur le site de Dumont-Durville, près de la côte, qu’à Concordia, mille kilomètres à l’intérieur des terres.   La scientifique étudie par exemple une carotte de glace de 3200 mètres, permettant de remonter 800 000 ans en arrière, et participe à un projet pour en reconstruire une qui couvrira le dernier million et demi d’années de notre climat.   Amaelle Landais Israël vous explique en 3min ses recherches et les enjeux du domaine ⤵ https://lnkd.in/eebQJZ9B   Nicolas Arnaud / Philippe Bousquet / Établissement public d'aménagement Paris-Saclay / Agglomération Paris-Saclay / Département de l'Essonne

    • Grâce aux bulles d’air prises dans la glace, Amaelle Landais-Israël remonte le fil du climat du passé. Cette directrice de recherche CNRS au LSCE (CNRS/Univ. Versailles Saint-Quentin/CEA) date et analyse des carottes glaciaires si profondes qu’elles nous informent sur l’atmosphère d’il y a plusieurs centaines de milliers d’années. Ces travaux ont été récompensés par la médaille d’argent du CNRS.
  • 👩🔬👨🔬 Cinq des 18 nouveaux membres élus à l’Académie des sciences sont issus de la communauté scientifique du CNRS du cluster scientifique et technologique de Paris-Saclay.   L’Académie des sciences est une assemblée de scientifiques, choisis parmi les plus éminents spécialistes français et étrangers. Les réflexions et débats qu’elle conduit ont pour rôle de fournir à tous un cadre d’expertise, de conseil et d’alerte vis-à-vis des enjeux politiques, éthiques et sociétaux que pose la science.   👏 Parmi les 18 nouveaux membres de l’Académie des sciences élus en 2024, cinq mènent leurs recherches dans des laboratoires CNRS de Paris-Saclay, dont deux sont chercheur et chercheuse au CNRS : 🔹 Michel Beaudouin-Lafon, professeur à l’Université Paris-Saclay au LISN - Laboratoire Interdisciplinaire des Sciences du Numérique (CNRS/Université Paris-Saclay/CentraleSupélec/Inria), situé à Gif-sur-Yvette. 🔹 Laurent Bopp, directeur de recherche CNRS au Laboratoire de Météorologie Dynamique - IPSL (LMD – CNRS/École Polytechnique/École normale supérieure/Sorbonne Université/École nationale des ponts et chaussées). 🔹 Philippe Di Francesco, chercheur CEA à l’Institut de physique théorique (IPhT – CEA/CNRS), situé à Gif-sur-Yvette. 🔹 Purificación Lopez Garcia, directrice de recherche CNRS au laboratoire Écologie, systématique et évolution (ESE – AgroParisTech/CNRS/Université Paris-Saclay), situé à Gif-sur-Yvette. 🔹 Valérie Masson-Delmotte, chercheuse CEA au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement (LSCE – CEA/CNRS/UVSQ Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines), situé à Gif-sur-Yvette.    Pour en savoir plus, suivez ce lien ⤵ https://lnkd.in/dmt8TdN4

  • 👏 🥈 Félicitations à Sarah Cohen-Boulakia, qui a reçu la médaille d’argent du CNRS pour ses recherches en sciences des données et en bioinformatique. La médaille d'argent distingue des scientifiques pour l'originalité, la qualité et l'importance de leurs travaux, reconnus sur le plan national et international.   Sarah Cohen-Boulakia est professeure des universités à l’Université Paris-Saclay et membre du LISN - Laboratoire Interdisciplinaire des Sciences du Numérique (CNRS/Université Paris-Saclay/CentraleSupélec/Inria). 💻 La recherche en bioinformatique repose, comme bien d’autres, sur le traitement de grandes quantités de données hétérogènes. Ces dernières sont conçues, rassemblées, triées et manipulées par des processus informatiques automatisés appelés workflows. Sarah Cohen-Boulakia développe des méthodes en sciences des données pour comparer différents workflows d’analyses de données biologiques.   De façon plus générale, ses travaux portent sur le développement de techniques pour mieux réutiliser, mais aussi pour rendre plus reproductibles les analyses de données scientifiques. Pionnière dans les critères faciles à trouver, accessibles, interopérables et réutilisables (FAIR) pour les workflows scientifiques, Sarah Cohen-Boulakia mène actuellement le projet ShareFAIR consacré à la transparence et à la reproductibilité dans la recherche.   🤝 Sarah Cohen-Boulakia a su habilement combiner des méthodes provenant de différents domaines informatiques (théorie des graphes, théorie de la preuve, gestion de données massives) et fédérer autour d’elle des équipes pluridisciplinaires, mêlant des compétences en biologie, en santé, en mathématiques et en informatique.   « J’aime être aux interfaces de différentes disciplines, formaliser un problème concret en un nouveau problème informatique suffisamment général pour s’appliquer in fine à d’autres domaines », souligne la scientifique du LISN.   Sarah Cohen-Boulakia vous explique en 3min ses recherches et les enjeux du domaine ⤵ https://lnkd.in/er5A6_6Q   Sophie Rosset / Établissement public d'aménagement Paris-Saclay / Agglomération Paris-Saclay / Département de l'Essonne

    • Professeure à l’Université Paris-Saclay et membre du Laboratoire interdisciplinaire des sciences du numérique (LISN - CNRS/Université Paris-Saclay), Sarah Cohen-Boulakia a reçu la médaille d’argent du CNRS pour ses contributions en sciences des données et en bioinformatique. Ses travaux de recherche visent à rendre plus efficace le traitement des données biologiques et médicales.
  • 👏 🥈 Félicitations à Sara Bolognesi, qui s’est vu décerner la médaille d’argent du CNRS pour l’originalité, la qualité et l’importance de ses travaux en physique des particules, reconnus sur le plan national et international. #TalentsCNRS   ⚛ Sara Bolognesi est directrice de recherche CEA à l’Institut de recherche sur les lois fondamentales de l’Univers (Irfu) du CEA, coordinatrice de la physique au sein de l’expérience sur les neutrinos T2K et coordinatrice des études sur les oscillations des neutrinos à longue ligne de base de l’expérience Hyper-Kamiokande.   Au début de sa carrière, au CERN, Sara Bolognesi a contribué activement autant scientifiquement que techniquement à la découverte du boson de Higgs et à l’ancrage de la particule découverte au LHC dans le modèle standard. D’un côté, elle travaillait sur l’étude théorique des états finaux du boson de Higgs, en mettant la focale sur le canal de désintégration à quatre leptons. De l’autre, Sara Bolognesi a participé de très près à la mise en service du système à muons de l’immense détecteur CMS. Elle a également contribué aussi à la caractérisation du « bruit », soit le rayonnement issu des collisions du LHC duquel allait ressortir le fameux « pic » censé trahir un excès de particules attribuables aux désintégrations du Higgs.   La scientifique a ensuite rejoint le CEA pour plonger dans une thématique entièrement nouvelle. Côté théorie, elle s’investit dans la modélisation des interactions entre les neutrinos et les noyaux d’atomes au sein des immenses détecteurs de la collaboration T2K, dont elle a été nommée coordinatrice de la physique. Côté expérimentation, elle participe à la conception de ces mêmes détecteurs en accord avec les modèles qu’elle contribue à élaborer.   C’est dans ce contexte-là qu’en 2019, T2K découvre dans ses données les premiers indices de violation de symétrie charge-parité dans le secteur leptonique, une étape importante dans l’élucidation du mystère du déséquilibre observé entre matière et antimatière dans l’Univers. Sara Bolognesi participe également aux développements instrumentaux pour la future expérience japonaise Hyper-Kamiokande ou pour l’américaine DUNE.   Sara Bolognesi vous explique en 3min ses recherches et les enjeux du domaine ⤵ https://lnkd.in/esgzHCKB   Christelle Roy / Franck Sabatié / Établissement public d'aménagement Paris-Saclay / Agglomération Paris-Saclay / Département de l'Essonne

    • Sara Bolognesi est chercheuse en physique des particules à L’Institut de recherche sur les lois fondamentales de l’Univers (Irfu) du CEA, coordinatrice de la physique au sein de l’expérience sur les neutrinos T2K et coordinatrice des études sur les oscillations des neutrinos à longue ligne de base de l’expérience Hyper-Kamiokande.
  • 🥈🥉💎 Hier soir, les 22 lauréates et lauréats des médailles CNRS 2024 ont fait rayonner le territoire de Paris-Saclay, lors de la Cérémonie des #TalentsCNRS. Ces distinctions récompensent leur engagement à faire progresser la connaissance et la recherche fondamentale, pierre angulaire du CNRS, dans les champs disciplinaires les plus poussés : de l’infiniment petit avec les neutrinos, jusqu’à l’infiniment grand avec l'étude des cataclysmes stellaires en laboratoire. Quatre scientifiques du cluster scientifique et technologique de Paris-Saclay ont ainsi reçu la médaille d'argent du CNRS et six lauréats ont été distingués par la médaille de bronze du CNRS. Les lauréats comptent également cinq médailles de cristal récompensant des personnels d’appui à la recherche, qui contribuent aux côtés des chercheurs et des chercheuses à l’avancée des savoirs et à l’excellence de la recherche française. De plus, une équipe a reçu le cristal collectif pour avoir mené un projet dont la maîtrise technique, la dimension collective, les applications, l’innovation et le rayonnement sont particulièrement remarquables. Pour découvrir leurs travaux, rendez-vous sur la chaine YouTube CNRS – La science à Paris-Saclay ⤵ https://lnkd.in/ggb_QASY Crédit photo : © Laurent Ardhuin pour le CNRS CEA / Université Paris-Saclay / École Polytechnique / Institut Polytechnique de Paris / Établissement public d'aménagement Paris-Saclay / Agglomération Paris-Saclay / Département de l'Essonne

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  • 💼 La campagne de concours externes chercheurs/chercheuses 2025 est lancée ! Vous avez jusqu’au 10 janvier 2025 pour candidater. #RejoignezleCNRS Acteur majeur de la recherche fondamentale à une échelle mondiale, le CNRS recrute chaque année un nombre important de chercheuses et chercheurs permanents par voie de concours, selon des critères d’excellence.   🔬 Les 270 postes ouverts couvrent une grande diversité de thématiques scientifiques : les sciences humaines et sociales, la biologie, la chimie, les mathématiques, la physique, la physique nucléaire et des hautes énergies, les sciences de l’ingénierie et des systèmes, les sciences de l’information, les sciences de l’Univers, l’écologie et les sciences de l’environnement.   Pour en savoir plus, suivez ce lien ⤵ https://lnkd.in/e8aEhJY6

    • La phase d’inscription ouvre le 11 décembre à 13h. Cette année, 270 postes sont ouverts. Vous avez jusqu’au 10 Janvier 2025 pour candidater aux concours chercheurs et chercheuses, #RejoignezleCNRS !
  • 🌏🔥 Création de Klima, une start-up en consulting climatique auprès des entreprises. Accompagner les entreprises à répondre au changement climatique, dans un contexte d’évolutions législatives et de prise de conscience sociétale ; c’est l’objectif du projet de start-up Klima, dédiée au consulting climatique à forte valeur ajoutée. « L’ambition de Klima Consulting est de positionner la science au plus près des entreprises, pour lesquelles le climat et le changement climatique deviennent des enjeux majeurs ; au travers de conseils et de services climatiques, sur la base de notre expertise, des données et des outils développés à l’IPSL-Institut Pierre-Simon Laplace », résume Olivier Boucher, porteur du projet Klima et directeur de recherche CNRS à l’IPSL. Dans le cadre du lancement de son activité, la start-up se concentrera sur les domaines des énergies renouvelables et de l’aviation. ⚡ Concernant les énergies renouvelables, Klima accompagnera les entreprises et leur fournira des méthodes d’optimisation pour mieux penser le design de leurs installations. « Nos puissants outils informatiques permettent de prévoir l’énergie qui sera produite et, ainsi, de maximiser le gain économique en fonction des différentes contraintes d’une installation », détaille Olivier Boucher. ✈ Klima Consulting apportera également son expertise au secteur de l’aviation, afin d’accompagner les entreprises dans la réduction de l’impact climatique des vols. « Actuellement, les compagnies aériennes utilisent des algorithmes d’optimisation de trajectoire qui maximisent les profits, souligne Grégoire Dannet, chef de projet Sorbonne Université à l’IPSL, qui travaille avec Olivier Boucher sur le projet de start-up. L’algorithme que nous avons développé permet, quant à lui, d’optimiser les trajectoires en prenant également en compte l’impact climatique du vol. » Depuis l’été 2024, le projet Klima Consulting est soutenu par le programme #RISE du CNRS, qui accompagne les scientifiques dans leurs projets de création de start-up visant à valoriser les technologies développées dans les laboratoires CNRS. L’objectif est désormais d’aboutir à la création de la start-up au printemps 2025. Pour en savoir plus sur Klima Consulting, retrouvez l'article en premier commentaire de cette publication ⤵ CNRS Innovation / CEA / École nationale des ponts et chaussées / École Polytechnique / IRD / Sorbonne Université/Université Paris-Saclay / UVSQ Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines Crédit photo : © AdobeStock - agnormark

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  • ❄🔬 1 100 km en Antarctique pour mieux comprendre l’évolution de la calotte glaciaire. La montée des eaux à venir dans le contexte de réchauffement climatique est particulièrement dépendante de la quantité d’eau emmagasinée sous forme de neige et de glace dans la calotte glaciaire Antarctique. Mais par quels processus atmosphériques la neige s’accumule-t-elle chaque jour à la surface de la calotte glaciaire ? De début décembre 2024 à mi-janvier 2025 seront déployés l’ensemble des systèmes d’observation du projet AWACA en Antarctique. Autonomes et capables d'opérer en continu pendant trois ans dans des conditions climatiques extrêmes, ces instruments novateurs seront installés le long d’un axe de 1 100 km entre les stations Dumont d’Urville et Concordia. ✅ Ils permettront d’étudier pour la première fois à cette échelle les processus météorologiques impliqués dans l’accumulation de neige en Antarctique afin de mieux prévoir l’évolution de la calotte glaciaire sur les 100 prochaines années. 🤝 Le projet AWACA est co-dirigé par des scientifiques du CNRS, du CEA, de l'École Polytechnique et de l’École polytechnique fédérale de Lausanne, EPFL au sein du Laboratoire de Météorologie Dynamique - IPSL (CNRS/École polytechnique/École normale supérieure/Sorbonne Université), du Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement (CEA/CNRS/UVSQ Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines), du LATMOS Laboratoire Atmosphères, Observations Spatiales (CNRS/Sorbonne Université/UVSQ) en France et du Laboratoire de télédétection environnementale de l'EPFL, en Suisse. Véritable défi logistique face aux conditions météorologiques polaires, le déploiement des instruments est rendu possible grâce au savoir-faire et à l’expérience de l’Institut polaire français Paul-Émile Victor. Pour en savoir plus, retrouvez le communiqué de presse du projet en premier commentaire ⤵ Crédit photo :  © Nicolas Pernin / Institut polaire français IPSL-Institut Pierre-Simon Laplace / Institut Polytechnique de Paris / Département de l'Essonne / Agglomération Paris-Saclay

    • Départ du convoi AWACA de la côte en Terre Adélie. Les traineaux supportant les unités d'observation, l'unité de vie pour le personnel et les réserves de carburant sont attelés aux tracteurs qui les achemineront jusqu'aux différents sites d'observation du projet. © Nicolas Pernin / Institut polaire français

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