Association LAZARE

Association LAZARE

Organisations à but non lucratif

Nantes, Pays de la Loire 37 155 abonnés

Les colocations solidaires entre sans-abri et jeunes actifs.

À propos

Lazare développe en France et à l’étranger des colocations solidaires entre des personnes sans domicile fixe et des jeunes actifs. A Lazare nous pensons que si les personnes sans domicile fixe ont besoin d’un toit, elles ont tout autant besoin de relations humaines. Pour lutter contre l’exclusion et la précarité, en alternative aux grands foyers d’hébergement, nous proposons des appartements « ordinaires », non mixtes, où peuvent cohabiter 6 à 10 personnes. Chacun a sa chambre. L'association promeut toute action en faveur de la rencontre entre personnes exclues et personnes intégrées à la société.

Site web
http://www.lazare.eu
Secteur
Organisations à but non lucratif
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Nantes, Pays de la Loire
Type
Non lucratif
Fondée en
2010
Domaines
Lutte contre l'isolement et la précarité des personnes sans domicile fixe, Intergénération, Appartements partagés et studios, Innovation sociale et Solidarité

Lieux

Employés chez Association LAZARE

Nouvelles

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    🚀🚀🚀Et si nos colocs de la rue parlaient comme des startupers pour vous expliquer Association LAZARE ? (Les colocations solidaires entre sans-abris et jeunes actifs) .🦄🦄🦄🦄 A Lazare on a (ré) inventé un concept disruptif aujourd'hui : le Vivre Ensemble ! On parle deep learning positif, stand up meeting devant la maison, on comprend pas forcément ce qu'on dit mais on a bien ri !  PARTAGEZ LA VIDEO pour faire découvrir nos colocs solidaires entre sans-abris et jeunes actifs ! Bayram TAYARI Notre voisine Marie-Madeleine en guest star, qui a accepté de se prêter au jeu et qui s'en sort avec brio !

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    Attendre mon coloc à la porte de la prison avec une pancarte, alors que je suis juriste. Accueillir Mohammed à la maison après 20 ans de rue alors que mes collègues se chaussent en Weston. C’est le genre de moments inoubliables que j’ai vécus en colocation avec des anciens sans-abri.     On m’a parlé de Lazare à un EVG par hasard, et j’ai plongé dans une aventure qui a changé ma vie à jamais.     Il y a des moments dans la vie où quelque chose de décisif va t’être proposé qui peut bouleverser ta vie, faut avoir le courage d’accepter !    👉 J’ai appris qu’échec et réussite sont étroitement liés.     Un de mes colocs a dû quitter la coloc parce que ça se passait mal, mais il avait connu l’amour pour la première fois de sa vie chez nous.     Mohammed après 20 ans de rue, s’est mis à donner son avis, faire une cure, retrouver du travail, le perdre, puis refaire une cure. Tomber. Se relever. Après chaque chute.     Mon coloc Léo, jeune actif, semblait malheureux dans son travail. Il a repris sa vie en main et il a vu qu’il lui manquait l’essentiel. Il a démissionné et déménagé dans la ville de ses rêves.   Lazare ça pousse à vivre la vie en grand. C’est un déclencheur d’intensité.     👉 J’ai appris à vivre avec intensité.     A Lazare j’ai pleuré. De révolte parfois. De joie souvent.     Le jour où Philippe a reçu sa carte vitale.    Le jour où Mohammed a décidé de faire une cure.    👉 J’ai appris à distinguer l’essentiel de l’accessoire     J’ai changé mon sujet de thèse au dernier moment pour traiter la vulnérabilité dans l’accès au soin. Thème beaucoup moins prestigieux que prévu, mais qui m’animait beaucoup plus.     👉 J’ai appris à ne plus regarder l’autre comme un étranger    Quand je croise des sans-abris au coin de la rue, ce ne sont plus des étrangers. Je me dis : « Demain c’est peut-être mon nouveau coloc ».    Je suis entré à Association LAZARE étudiant, aveuglé, sourd et autocentré. J’en sors fiancé avec le projet de travailler pour des personnes vulnérables.    Tout m’a été donné en surabondance ces deux dernières années !     Je me dis souvent qu’il devrait y avoir une liste d’attente pour venir vivre dans une maison Lazare. Ce n’est pas nous qui avons besoin de ton bénévolat, c’est toi qui as besoin de Lazare. Avant je voyais le monde en noir et blanc, désormais je le vois en couleurs !     Il reste des places pour venir vivre en colocation pour septembre, taguez quelqu’un dont ça pourrait changer la vie !  Paul, coloc de Lille

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    Aujourd'hui c'est le grand jour 🚀 Vous pouvez nous aider à aller à L'Olympia pitcher notre projet pour sortir de nouvelles personnes de la rue ! Vous pouvez voter en 2 clics pour Association LAZARE et nous permettre de lever des dons pour nos colocations entre sans-abri et jeunes actifs : 👉 Parce que Yoann a mis fin à 20 ans de rue cette année 👉 Parce que Gilles ne dort plus sous tente et fait de la figuration au cinéma (son rêve) ! 👉 Parce que Cira a retrouvé un logement inespéré il y a quelques semaines 👉 Parce que Kaïs a fêté ses 20 ans avec son propre logement et entouré de ses anciens colocs .... Et aussi parce que cette année nous ouvrons 4 nouvelles maisons pour sortir plus de personnes de la rue. Que notre projet fait vivre la joie de la rencontre dans un monde où "L'épidémie de solitude est reconnue comme un problème de santé publique" (Le Monde 2023). Les 10 associations qui auront le plus de vote auront une chance de pitcher le 9 décembre. Lien en commentaire 👇 N'hésitez pas à liker, commenter, partager ce post pour qu'on ait un maximum de votes ! MERCI 🙏

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    Quand circularité et solidarité vont de pair, nos colocs sont les plus gâtés ! youzd permet aux meubles retournés par les clients de retrouver une seconde vie. Ils ont offert et livré plusieurs canapés Bobochic Paris dans nos colocs entre sans-abri et jeunes actifs 🥳

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    Des maisons qui tournent rond 🔄🏡 Chez youzd, nous croyons fermement à la seconde chance, non seulement pour les meubles et équipements de la maison, mais aussi pour les personnes. C’est pourquoi nous avons imaginé un service qui permet aux retours clients de grandes marques de trouver une nouvelle vie auprès de ceux qui en ont le plus besoin. En partenariat avec VIR by JP, tous les objets retournés par les clients des marques sont triés et inspectés avec soin. 🌟 Ceux qui peuvent être revendus en l’état ou avec une petite intervention sont mis en vente sur youzd, à prix réduits. 🤝 Certains objets, bien sûr complets et fonctionnels, nécessitent des interventions un peu plus longues pour être mis en vente de façon rapide. Pour favoriser le réemploi, ils sont donnés à des associations locales partenaires. Découvrez comment nous donnons un coup de pouce aux associations comme Association LAZARE, qui créent des colocations entre anciens sans-abri et jeunes actifs. En partenariat avec Bobochic Paris, des canapés de super qualité ont trouvé une nouvelle maison dans la collocation de Bordeaux. Ensemble, construisons des histoires circulaires et solidaires, un canapé à la fois. 💚✨

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    Responsable Communication chez Association LAZARE

    Fred a passé 3 ans à la rue et a tenu grâce à Johnny. Sa mère, qu’il a retrouvée après 14 ans de séparation lui a offert un voyage à Saint Barthélémy pour se recueillir sur sa tombe. Le moins qu’on puisse dire c’est que mon ami et ancien coloc Fred est un fan de Johnny. Un vrai de vrai. Le livre qu’il a écrit sur sa sortie de rue s’appelle “L’envie d’être en vie”. Le jour où on est passés dans “ça commence aujourd’hui” il a réussi à faire plier la production qui lui demandait d’enlever sa grosse croix de Johnny avant d’aller sur le plateau. Mais on ne rigole pas avec Johnny. Une autre témoin, fan aussi, qui avait vécu dans la rue s’est rangée du côté de Fred et la production a capitulé devant leur ferveur. Fred est sorti de la rue en se mettant en colocation entre sans-abri et jeunes actifs à Lazare. Trois ans plus tard il est en sorti avec un CDI et un appartement. Et voila que sa mère décide de lui offrir un séjour à Saint Barthélémy pour Noël cette année. “Elle veut rattraper le temps perdu” glisse Freddy, coloc Lazare à l’oreille de Fred. Pendant quatre jours, il est aux anges, sur les traces de son idole. Il rencontre une amie de Laetitia croisée sur Instagram. Un soir il prend un coca dans le bar où Johnny passait son temps, il parle à un inconnu intrigué par la croix. L'homme s'appelle Thomas. C’est un ancien sans-abri qui a passé des années sur le bitume à Toulouse avec un écriteau : “Je peux prendre soin de vos espaces verts”.   Un jour une personne l’a abordé : “J’ai du boulot pour toi, mais il va falloir que tu me suives loin.” Depuis il est à St Barth, responsable des espaces verts des stars du coin. Une rencontre hautement symbolique pour Fred. Quand Fred appelle le barman pour payer, on lui signale que sa consommation a déjà été réglée par ce Thomas. La visite de la tombe de Johnny est un débordement d’émotions pour Fred, qui laisse un galet “Maisons Lazare” sur le lieu. Le dernier soir le portable de Fred vibre. C’est sa mère. “ Je n'ai peut-être pas pu rattraper ces années de silence mais j'espère avoir rattrapé un peu de ce retard...” Les larmes montent aux yeux de Fred. Freddy avait vu juste. Je crois que c'est pour des moments comme ça que je travaille à Association LAZARE : pour voir des personnes passer progressivement de la survie à l'envie d'être en vie !

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    Je suis heureux de vous annoncer que je suis officiellement sorti de la rue après 20 ans !  Rien n’est jamais perdu, j’en suis la preuve.     De mes 40 à mes 61 ans j’ai dormi sous un banc sous la neige, dans des buissons, dans les caches d’installation électriques, sous des ponts... Mais je n’ai jamais arrêté de travailler.     J’ai fait les métiers les plus sales comme déboucher des fosses septiques en plein soleil… Mais j’aimais surtout la menuiserie, la peinture. Je suis curieux, j’ai beaucoup appris.    J’ai connu la rue une première fois à 22 ans, quand mon père m’a mis à la porte après mon diplôme. Ma mère m’apportait mes repas dehors dans les parcs où je dormais. Il a fallu quelques semaines pour que je retombe sur mes pieds.     Je n’ai revu mon père que des années plus tard, quand il est mort d’une tuberculose. Il ne m’a jamais demandé pardon, il était fermé.     A 40 ans, ma compagne est morte d’une double greffe qu’elle attendait et n’a jamais reçu.   J’ai quitté mon travail et mon appartement du jour au lendemain. Ça a duré plus de 20 années.     J’ai beaucoup souffert de solitude, il ne faut jamais rester seul mais aller vers les autres, les institutions.     Je me sentais un sous homme, j’avais l’impression qu’on me regardait comme une merde.    J’aurais aimé qu’on ne me pose pas de questions sur moi pour pouvoir m’évader, qu’on ne me fasse pas sentir ma condition. Parfois on venait me parler de livres puisque je lisais.     C’est ma belle soeur qui m’a sauvé. Ils m’ont retrouvé avec mon frère et m’ont logé quelques mois. Nadège m’a retrouvé un logement, mais je n’étais pas prêt et trop seul. Je me sentais étouffé entre les murs. Encore aujourd’hui je dors la fenêtre ouverte quelle que soit la saison.     Alors elle m’a parlé de Lazare, les colocations entre sans-abri et jeunes actifs.     Je me suis engagé à faire une cure pour l’alcool pour venir vivre avec eux.     A nouveau je me suis senti entouré, j’ai réappris à vivre : avant j’étais dans la survie.     J’ai retrouvé ma personnalité gaie, boute en train…    Après ma cure mon erreur a été de ne pas continuer le suivi avec l’addictologue après, donc je vais en faire une deuxième ! Ensuite je voudrais retrouver un logement, j'aimerais laisser la place aux autres.     Mon rêve : retrouver les enfants de ma compagne d’il y a 20 ans. Elle était cambodgienne et s’appelait Borin Sin. Et leurs prénoms étaient Sotah, Siba et Soraya Sin.  Ils ont été placés. J’aurais aimé les retrouver car j’ai plein de photos de leur mère que j’aurais leur donner. Je n’ai plus jamais eu de contact avec eux." Mohammed   Il y a des places de jeunes actifs pour venir vivre en coloc avec nous à la rentrée!  

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    Lazare reçoit un nouveau coloc dans sa maison de colocations entre sans-abri et jeunes actifs à Madrid ! Merci pour ton engagement Kylian !! Notre maison de Madrid existe depuis 2017. Nous l'avons créée pour répondre à la demande des espagnols qui avaient entendu parler de notre action et avaient été touchés par le projet. Depuis 7 ans elle permet à des personnes qui vivaient dans les rues de Madrid de se relever et de créer des amitiés avec des jeunes. Elle a déménagé cette année dans une grosse nouvelle maison pour réunir la famille responsable, la coloc des hommes et celle des femmes ! Bon malheureusement Kylian tu n'as pas finalisé ton inscription à Lazare, mais en tout cas si tu veux venir diner un soir avec nos colocs de Madrid ou ceux de Barcelone, on a un couvert pour toi ! Lázaro España PS : C'est le moment du mercato dans nos maisons, n'hésitez pas à postuler pour venir vivre dans une de nos maisons (on ouvre en plus à Montpellier, Nancy, Clermont et Lorient )

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    Etre à 5h00 du matin autour d'un feu avec des familles roms pendant leur expulsion d'un bidonville, me réconcilier avec Patrick, ancien sans-abri juste avant sa mort à l’hôpital, c'est le genre d’expériences que j'ai pu vivre dans ma vie professionnelle.  N'étant pas très conceptuel, j’ai plutôt fondé ma vie professionnelle autour de rencontres invraisemblables qu'assis à un bureau. J’ai travaillé plusieurs années auprès des migrants, notamment des roms, puis à faciliter l'amitié entre chrétiens et musulmans, avant de devenir coordinateur social de colocations Lazare entre sans-abri et jeunes actifs. Si, comme beaucoup, je trouve pas mal de matière à m'indigner sur ce qui ne tourne pas rond dans notre société, je me suis appuyé sur la phrase d'un Pape : “Il faut passer sa vie à construire le bien plutôt qu’à détruire le mal”. Ces rencontres m’ont appris que :  👉 Les peurs se dissolvent dans la rencontre  Un jour un citoyen a mis à disposition une maison gratuitement pour une famille qui avait toujours été rejetée, et le regard des gens et des institutions sur eux a complètement changé.  Ils ont enfin été considérés, accueillis, alors qu’ils étaient toujours les mêmes. Les enfants ont été vu comme des enfants avec des rêves. Leur parents n'étaient plus des miséreux ou irresponsables. J’ai compris que tout ce sur quoi on fonde notre vie ne peut pas faire l’économie de la RENCONTRE pour aller au-delà de nos préjugés. Mon propre “bon sens” ne suffit pas à me forger une idée juste du monde et des gens.  👉 La rencontre me rend vivant Étudiant, j'ai pu partager des vacances d'été avec des jeunes adultes handicapés. Mon premier séjour a été une claque tellement je n'étais pas préparé, mais aussi à la qualité de nos échanges et au au surcroît de vie de ces bons moments. Quand ma vie perso perd de son sens, la simplicité de la relation avec des personnes si différentes me permet de renouer avec la joie. 👉 La force du collectif décuple le Bien Patrick était un coloc bourru vivant à Lazare, il grognait souvent. A l’hôpital à cause du diabète il a perdu progressivement, son pied, puis sa jambe... Il trouvait quand même le moyen de nous faire comprendre que nos visites le soulageaient. D'ailleurs, on s’était pris la tête en voiture quelques mois auparavant. Quand je lui en ai reparlé sur son lit d’hôpital, je l’ai entendu souffler “Oh.. Mais c’est rien du tout ça...” avant qu’il ne perde connaissance quelques jours plus tard. Michel, un de ses colocs avait plein de petites attentions pour lui. La semaine dernière, c’est lui qui a été accompagné à son tour par ses colocs et les amis de Lazare pour son grand passage...  Ne passez pas à côté de la rencontre qui peut changer votre vie ! Je cherche une personne pour rejoindre mon équipe sur le suivi des maisons et l’animation de la vie nationale de l’association.  👉 Poste basé à Nantes  👉 CDI temps plein Lien de l’offre en commentaire 👇 Témoignage de Victor

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    Comme la maire de Paris, Gilles procède au nettoyage de notre piscine, mais à la main ! Anne Hidalgo vous qui n'avez peur de rien, nous serions ravis de vous recevoir dans une de nos colocations solidaires entre sans-abri et jeunes actifs. Vous pourrez même piquer une tête dans la piscine de notre maison de campagne à Sarrians nettoyée par Gilles, fan de Johnny et ancien taximan !

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    Quand nos colocs entre sans-abri et jeunes actifs sont dans la presse people 😲 Un article pleine page dans Closer sur notre modèle et l'histoire d'une de nos familles responsables qui a vécu pendant trois ans dans notre maison de Toulouse. Pour nous qui mettons notre énergie à rendre visibles les invisibles, c'est une belle victoire de voir la presse people parler de nos colocs de la rue et de leurs relèvements silencieux ! La journaliste nous a contactés parce qu'elle avait été touchée par un témoignage vu sur les réseaux. C'est beau de voir que ces témoignages de vie sont des ondes de choc positives qui transmettent de l'espoir et un élan de vie à tous !

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