Bénédicte Sère
Institut Universitaire de France (IUF, membre senior), 2021
Visiting Professor at Columbia University, History Department (in the City of New York)
Visiting Professor at Jewish Theological Seminar (NYC); Univ. Paris Nanterre / EHESS Paris (CeSor)
2004 PhD Univ. Paris I Panthéon-Sorbonne; 2015, Post-Doctoral Thesis Univ. Paris Nanterre
Phone: +1-332-270-6232
Address: NYC
Visiting Professor at Columbia University, History Department (in the City of New York)
Visiting Professor at Jewish Theological Seminar (NYC); Univ. Paris Nanterre / EHESS Paris (CeSor)
2004 PhD Univ. Paris I Panthéon-Sorbonne; 2015, Post-Doctoral Thesis Univ. Paris Nanterre
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Books by Bénédicte Sère
Des iie et iiie siècles jusqu’au cœur du xve siècle, avec des incursions dans l’époque moderne, le traitement de la question se distingue par la volonté d’examiner la dimension ecclésiale du problème, restée peu défrichée jusqu’à présent et propose, ce faisant, une autre lecture du dialogue possible entre histoire et sciences sociales.
Des iie et iiie siècles jusqu’au cœur du xve siècle, avec des incursions dans l’époque moderne, le traitement de la question se distingue par la volonté d’examiner la dimension ecclésiale du problème, restée peu défrichée jusqu’à présent et propose, ce faisant, une autre lecture du dialogue possible entre histoire et sciences sociales.
Téléchargez l'avis de parution de ce numéro : https://2bu8s.r.a.d.sendibm1.com/mk/cl/f/PGjc05X8aWpbUiExvgsNrNhcZUeozeJ9CZQL3v38oQzkTqzk4ArHts-PDS88mrJcUkfPptxjxk1SC63sTFuqcW0rb1JnamqfWrjbXXsUL4H4pfIJRIUfCq5NzYYg4no_OHVodIU0fE_14A1AN2I87FtBV1P7aWhPGc5guABBLR5806YIfFotaQOC0g9w36LoKusOjWtPNlJFzbIhZV3_7PzO_qjfgCGpOGzFUbL4xWN5l5l0wqPlQAUGaNfM9MB66thmB0z_1BLBlIt6uhYJN8wvcfbzvAbBxR4ZQC4pFGFF6CmkLFzLXkerKUd_oca6SqfB1POZ_trvObsZrwyHEsKL9nPQdQ7MJChkvlVF7WOqud77zQVZZHTyJHU
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Une histoire du Grand Schisme écrit sous l’angle des polémiques et des constructions doctrinales issues des controverses, tel est le but de l’ouvrage. Il s’agit, en reconstituant la trame de l’intertextualité du temps de mesurer le poids des polémiques dans les orientations politiques et ecclésiologiques des acteurs du temps et des institutions, soucieuses de prendre place dans l’espace public en vue d’un contrôle de l’opinion. Les réseaux textuels et discursifs révèlent alors toute une ambiance : celle d’un temps de violences symboliques et de non-dits, de censures et de pressions, selon les rapports de force des partis en présence. La personne du pape avignonnais Benoît XIII divise plus encore que le pape romain du temps. Si l’enjeu reste l’unité de l’Église, le désir d’éviction d’un pape opiniâtre aura permis la mise au point de tactiques canoniques voire d’innovations ecclésiologiques. Temps de crise indéniablement, le Grand Schisme s’avère également un temps de dynamisme et d’audaces ecclésiologiques inédits.
Maître de Conférences HDR de l’Université de Paris Ouest Nanterre, Bénédicte Sère est spécialiste d’histoire culturelle et sociale de la pensée, d’anthropologie scolastique, d’histoire des émotions et d’ecclésiologie.
par cet ouvrage grâce aux regards croisés d’historienne et de littéraire qui, au travers de cent
termes, parviennent à rendre compte d’une réalité souvent difficilement saisissable et d’une
littérature aussi complexe que riche. Car il ne s’agit pas ici de définir exhaustivement chaque
mot à la manière d’un dictionnaire ou d’un lexique, mais bien de saisir quelque chose de cette
ambiance du Moyen Âge occidental, dont Jean Huizinga écrivait au début du XXe siècle qu’il s’y
mêlait « l’odeur de la rose et du sang ».
De la « confrérie » au « village », de la « confession » au « Graal », de l’« ost » à la
« fin’amor », ces 100 mots invitent le lecteur contemporain à se représenter le Moyen Âge entre
tradition et modernité, un Moyen Âge autre et nôtre.
Auteur(s) Bénédicte Sère (Auteur)
Editeur(s) Brepols
Date de parution : 01/03/2007
Collection(s) Bibliothèque d'histoire culturelle du Moyen Age
Quatrième de couverture :
Bibliothèque d'Histoire Culturelle du Moyen Âge 4
Penser l'amitié au Moyen Âge
Sans conteste, l'amitié innerve le monde médiéval. Le vocable sature les textes tant pratiques que théoriques. Il concerne toute la société, l'élite, les milieux princiers et la noblesse autant que les humbles et le monde ordinaire. Au regard de l'insistance des sources médiévales à dire l'amitié dans sa factualité et sa réalité, il s'avère nécessaire de s'interroger sur la pensée de l'amitié au Moyen Âge. A-t-on pensé l'amitié au Moyen Âge ? Plus exactement posé : quels sont les cadres intellectuels, institutionnels et structurels qui poussent les hommes des XIIIe-XVe siècles à penser l'amitié ; quelles sont les conditions historiques et les événements culturels qui façonnent les contours d'une telle conceptualisation ?
Les médiévaux puisent à la source aristotélicienne un matériau exceptionnellement dense : la philia de l'Éthique à Nicomaque est par excellence le lien social qui unit les citoyens. Penser l'amitié au Moyen Âge à partir de l'auctoritas aristotélicienne, c'était, en quelque sorte, nommer l'expérience proprement médiévale de l'amitié elle-même, définie par la précellence de son acception sociale.
Events by Bénédicte Sère
with Dominique Iogna-Prat, Frédéric Gabriel, Alain Rauwel, Philippe Büttgen, Bénédicte Sère
Discussants : Shira Billet, Clémence Boulouque, Neslihan Şenocak , Helmut Reimitz, Alan Cooper
Politische, soziale, religiöse und kulturel- le Vielfalt in der Zeit Sigismunds von Luxemburg (1368–1437)
Michel-Yves PERRIN
Civitas confusionis
De la participation des fidèles aux controverses doctrinales
dans l’Antiquité tardive (début du IIIe siècle – c. 430)
(Paris, Nuvis, 2017)
Des iie et iiie siècles jusqu’au cœur du xve siècle, avec des incursions dans l’époque moderne, le traitement de la question se distingue par la volonté d’examiner la dimension ecclésiale du problème, restée peu défrichée jusqu’à présent et propose, ce faisant, une autre lecture du dialogue possible entre histoire et sciences sociales.
Des iie et iiie siècles jusqu’au cœur du xve siècle, avec des incursions dans l’époque moderne, le traitement de la question se distingue par la volonté d’examiner la dimension ecclésiale du problème, restée peu défrichée jusqu’à présent et propose, ce faisant, une autre lecture du dialogue possible entre histoire et sciences sociales.
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Une histoire du Grand Schisme écrit sous l’angle des polémiques et des constructions doctrinales issues des controverses, tel est le but de l’ouvrage. Il s’agit, en reconstituant la trame de l’intertextualité du temps de mesurer le poids des polémiques dans les orientations politiques et ecclésiologiques des acteurs du temps et des institutions, soucieuses de prendre place dans l’espace public en vue d’un contrôle de l’opinion. Les réseaux textuels et discursifs révèlent alors toute une ambiance : celle d’un temps de violences symboliques et de non-dits, de censures et de pressions, selon les rapports de force des partis en présence. La personne du pape avignonnais Benoît XIII divise plus encore que le pape romain du temps. Si l’enjeu reste l’unité de l’Église, le désir d’éviction d’un pape opiniâtre aura permis la mise au point de tactiques canoniques voire d’innovations ecclésiologiques. Temps de crise indéniablement, le Grand Schisme s’avère également un temps de dynamisme et d’audaces ecclésiologiques inédits.
Maître de Conférences HDR de l’Université de Paris Ouest Nanterre, Bénédicte Sère est spécialiste d’histoire culturelle et sociale de la pensée, d’anthropologie scolastique, d’histoire des émotions et d’ecclésiologie.
par cet ouvrage grâce aux regards croisés d’historienne et de littéraire qui, au travers de cent
termes, parviennent à rendre compte d’une réalité souvent difficilement saisissable et d’une
littérature aussi complexe que riche. Car il ne s’agit pas ici de définir exhaustivement chaque
mot à la manière d’un dictionnaire ou d’un lexique, mais bien de saisir quelque chose de cette
ambiance du Moyen Âge occidental, dont Jean Huizinga écrivait au début du XXe siècle qu’il s’y
mêlait « l’odeur de la rose et du sang ».
De la « confrérie » au « village », de la « confession » au « Graal », de l’« ost » à la
« fin’amor », ces 100 mots invitent le lecteur contemporain à se représenter le Moyen Âge entre
tradition et modernité, un Moyen Âge autre et nôtre.
Auteur(s) Bénédicte Sère (Auteur)
Editeur(s) Brepols
Date de parution : 01/03/2007
Collection(s) Bibliothèque d'histoire culturelle du Moyen Age
Quatrième de couverture :
Bibliothèque d'Histoire Culturelle du Moyen Âge 4
Penser l'amitié au Moyen Âge
Sans conteste, l'amitié innerve le monde médiéval. Le vocable sature les textes tant pratiques que théoriques. Il concerne toute la société, l'élite, les milieux princiers et la noblesse autant que les humbles et le monde ordinaire. Au regard de l'insistance des sources médiévales à dire l'amitié dans sa factualité et sa réalité, il s'avère nécessaire de s'interroger sur la pensée de l'amitié au Moyen Âge. A-t-on pensé l'amitié au Moyen Âge ? Plus exactement posé : quels sont les cadres intellectuels, institutionnels et structurels qui poussent les hommes des XIIIe-XVe siècles à penser l'amitié ; quelles sont les conditions historiques et les événements culturels qui façonnent les contours d'une telle conceptualisation ?
Les médiévaux puisent à la source aristotélicienne un matériau exceptionnellement dense : la philia de l'Éthique à Nicomaque est par excellence le lien social qui unit les citoyens. Penser l'amitié au Moyen Âge à partir de l'auctoritas aristotélicienne, c'était, en quelque sorte, nommer l'expérience proprement médiévale de l'amitié elle-même, définie par la précellence de son acception sociale.
with Dominique Iogna-Prat, Frédéric Gabriel, Alain Rauwel, Philippe Büttgen, Bénédicte Sère
Discussants : Shira Billet, Clémence Boulouque, Neslihan Şenocak , Helmut Reimitz, Alan Cooper
Politische, soziale, religiöse und kulturel- le Vielfalt in der Zeit Sigismunds von Luxemburg (1368–1437)
Michel-Yves PERRIN
Civitas confusionis
De la participation des fidèles aux controverses doctrinales
dans l’Antiquité tardive (début du IIIe siècle – c. 430)
(Paris, Nuvis, 2017)
La recuperación de la tradición conciliar del siglo XV y ha estado mediada por movimientos como el Galicanismo, Richerismo, Febronianismo y el Josefinismo que en su afán por revitalizar la importancia de la tradición conciliar del siglo XV dentro de la Iglesia, se han abocado en muchos casos al estudio de sus fuentes. Sin embargo, la declaración de la infalibilidad papal realizada por Concilio Vaticano I (1870) convirtió no sólo estos movimientos sino también al propio pensamiento conciliar del siglo XV en temas más dignos de olvido que de estudio. Por el contrario, la convocatoria al Concilio Vaticano II de 1959 creó un marco institucional mucho más favorable al desarrollo de los estudios concilares. En este contexto algunos teólogos e historiadores comenzaron mirar con mayor atención a la tradición de los precedentes conciliares y en especial a los concilios del siglo XV. Por estos motivos, muchas de las interpretaciones divergentes acerca del conciliarismo continúan estando arraigadas en criterios teológicos y/o canónicos postulados a priori con un evidente contenido polémico y apologético. Esta conferencia se propone abordar las nuevas perspectivas y enfoques de los estudios conciliares del siglo XV reparando al mismo tiempo en la importancia de entender a la tradición conciliar dentro de un marco historiográfico extenso que va desde XVII hasta el siglo XXI.
De l’oeuvre latine et française à sa réception européenne (XVe-XVIIIe siècle)
Université Paul-Valéry Montpellier 3