Réacteurs EPR2 Selon Agnès Pannier-Runacher, le site du Bugey est un « bon candidat » grâce à sa filière nucléaire
La nouvelle est tombée tard, mercredi 19 juillet, au sortir du conseil de politique nucléaire tenu autour du président de la République, Emmanuel Macron. Après Penly (Seine-Maritime) et Gravelines (Nord), l’État “offre” une paire de réacteurs EPR 2 à la centrale nucléaire de Bugey, située à Saint-Vulbas. Pour Agnès Pannier-Runacher, la ministre de la Transition énergétique, de nombreux critères ont fait du site aindinois « un bon candidat ».
Qu’est-ce qui a fait pencher la balance du Conseil de politique nucléaire en faveur de Bugey pour ces deux EPR2 ?
Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique : « Ce qui est d’abord regardé dans la sélection d’un site, ce sont ses conditions géologiques, géographiques, la disponibilité du foncier, le régime d’eau du refroidissement, l’accès à la ressource en eau. Le choix de Bugey par rapport à celui de Tricastin se base sur ces éléments. À Tricastin, il fallait des études supplémentaires qui rendant les délais incompatibles. Le...
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