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NoticiasTranscripción
00:00 Une brèche salariale très notorie.
00:02 Quels sont les pays avec les plus grands avancées pour la réduire ?
00:06 Je pense qu'il faut faire une différence entre les pays fédéraux.
00:11 Aujourd'hui, nous avons des pays comme la Norvège, les Pays-Bas, l'Angleterre, l'Australie, le Brésil.
00:16 Si nous les transmettons à d'autres latitudes, ces conditions sont équipées.
00:20 Les États-Unis et la Dinamarque ont aussi récemment été ajoutés.
00:24 Si nous les transmettons à l'échelle de l'escénario,
00:26 pas tant au niveau fédéral, mais plutôt de la ligue professionnelle,
00:30 nous avons une bande, la France,
00:32 où la moyenne salariale est de 42 000 euros.
00:36 Nous avons l'Allemagne, qui est le deuxième,
00:39 l'Angleterre.
00:41 Curieusement, les États-Unis sont le quatrième dans ce cadre.
00:44 Nous avons aussi les pays comme la Suède, l'Australie,
00:47 et l'un qui représente très bien les intérêts de la Centrale-Amérique,
00:50 qui est le Mexique, qui a été aussi marqué,
00:53 non seulement en ce qui concerne la position de la ligue professionnelle,
00:57 mais aussi comme la ligue secondaire,
00:59 qui est la division qui est un peu sous-jacente à la ligne élite.
01:03 - En ce qui concerne les pays meilleurs positionnés,
01:05 quels sont les focs rouges?
01:08 - Nous en avons beaucoup, malheureusement.
01:11 Il y en a beaucoup dans la liste, contre les peuples avandérés.
01:14 En fait, de ces sélections qui surprennent au Mondial en Nigéria,
01:17 à Maïka, les conditions sont extrêmement ingrates,
01:21 non seulement pour les footballeurs, mais aussi pour les entraîneurs,
01:24 pour les physiothérapeutes.
01:26 Ici, au niveau de l'Amérique du Sud, nous ne pourrions pas être très loin.
01:29 Nous avons encore des pays comme l'Argentine
01:32 qui se bat en termes de négociations collectives.
01:36 En Colombie, la situation est aussi très similaire.
01:39 Nous avons des ligues professionnelles qui ne durent pas longtemps.
01:42 Et le discours a été que, graduellement,
01:45 les conditions se comparent,
01:47 mais nous avons encore beaucoup de focs rouges.
01:50 - Manuela, que pensez-vous que va changer après cette Coupe du Monde
01:53 qui est prévue d'être si médiatique?
01:55 - Je pense qu'il y a quelque chose qui est extrêmement promisant
01:59 et qu'il y a déjà beaucoup de choses qui ont changé.
02:01 Nous ne pourrions pas être si moches de dire que nous sommes arrivé
02:04 un peu comme dans les scénarios précédents.
02:06 Pour la première fois, nous allons avoir 32 sélections.
02:08 Pour la première fois, il y a déjà la majorité de l'assistance
02:11 à ces stades vendus.
02:13 Il y a un scénario très intéressant qui a généré des conversations de valeur
02:16 face précisément au valeur que devaient avoir ces transmissions.
02:21 Je pense que pour la première fois, nous allons enfoquer le spectacle
02:24 sportif et tout ce qui peut se passer autour de la couleur.
02:28 Et pas nécessairement dans la différenciation que nous faisons
02:31 de l'attraction que peut être le football masculin
02:34 contre le football féminin.
02:35 Je pense que nous avons changé la narrative.
02:38 - Que peut-on faire pour professionnaliser plus le football
02:42 pratiqué par les femmes en Amérique latine?
02:44 Il y a des pays comme l'Argentine où non toutes les femmes
02:47 qui le pratiquent en Ligue ne le font pas.
02:50 - Nous avons toujours parlé, quand j'étais active,
02:55 je disais qu'il ne faut pas signer des contrats pour être professionnel.
02:58 Je pense que c'est un travail partagé de tous ceux qui font partie
03:01 de l'écosystème.
03:02 D'un côté, vous qui le visibilisez constamment,
03:05 pas seulement comme un sujet de mode, mais comme un scénario constant.
03:09 Qui le dirige?
03:10 Je vais assurer les conditions pour que les Ligues aient
03:13 une sostenibilité en termes sportifs.
03:15 Qui est immersé comme les protagonistes?
03:17 Nous devons nous préparer de manière plus responsable.
03:20 Et bien sûr, tous ceux qui le dirigent dans ce scénario
03:23 de rentabilité doivent continuer d'investir,
03:25 non pas comme un scénario de mode, mais comme une investition