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Les grandes œuvres top chrono.

Les grandes œuvres top chrono

1 à 25 sur 125 épisodes

  • Barbada : Orlando

    Ce roman de Virginia Woolf – non, ce n'est pas l'arrière-grand-tante de Marilou – écrit en 1928 suit le parcours d'un poète immortel qui change de sexe et qui vit à travers les siècles. Inspiré par l'amour de Woolf pour la poète Vita Sackville-West, Orlando est une exploration poétique de l'identité de genre et de la fluidité sexuelle. Cet hommage à la bisexualité et au lesbianisme est le livre le plus vendu du vivant de Woolf, « ce qui ne fait d'ailleurs pas un pli sur la poche à l'aristocratie de l'époque, puisque l'homosexualité féminine était considérée comme inoffensive... Ça, c'est un complimarde », précise Barbada, dans cet épisode de sa série sur l'art queer.
  • Barbada : Hosanna

    Barbada s'intéresse à cette pièce de Michel Tremblay créée en 1973 et incontournable du théâtre québécois dans sa série sur l'art queer. Claude Lemieux, alias Hosanna, se travestit en Elizabeth Taylor pour une soirée d'Halloween. Après une nuit décevante et des moqueries, Hosanna retourne chez lui pour affronter son identité et ses conflits avec son partenaire, Cuirette. « Aujourd'hui, on est ailleurs. Sur quatre saisons, il y a eu trois drag queens à Big Brother Célébrités », souligne Barbada. L'œuvre marque une étape charnière dans la représentation des personnages queer au théâtre québécois, tout en restant universelle et intemporelle.
  • Barbada : RuPaul's Drag Race

    C'est l'émission qui a placé l'art de la drag sous les projecteurs. Depuis 2009, ce concours met en scène des drags rivalisant dans des épreuves de lip-sync, de danse, de couture, d'impro et de performance, entre autres. « Aujourd'hui, drag queen, c'est plus juste une affaire d'homme gai qui s'habille en femme, c'est pour tout le monde, par tout le monde, et dans la forme que tu veux », précise Barbada dans cet épisode de sa série sur l'art queer. La téléréalité célèbre la diversité, le plaisir et la liberté, tout en défiant les normes sociales et en enrichissant la culture queer.
  • Barbada : C.R.A.Z.Y.

    Barbada s'intéresse au film de Jean-Marc Vallée dans sa série thématique sur l'art queer. Sorti en 2005, le film raconte l'histoire de Zack, un jeune garçon des années 70 qui découvre son homosexualité dans une famille catholique. Ce qu'on ne sait peut-être pas, c'est que l'action, au départ, devait se dérouler à Boston. « Imagine, le film ça aurait pu être Timothée Chalamet qui fait son coming-out à ses parents, Vin Diesel et Meryl Streep », fantasme Barbada. Ce classique québécois s'accompagne d'une bande sonore – capotée pour l'époque, et ça l'est encore aujourd'hui – où figurent notamment David Bowie, Pink Floyd et les Rolling Stones.
  • Mégan Brouillard : Zone

    Pour sa série sur l'art qui parle du peuple, Mégan Brouillard découvre la pièce de théâtre Zone de Marcel Dubé. L'œuvre écrite en 1952 met en scène une gang de jeunes qui souhaitent échapper à la pauvreté en faisant la contrebande de cigarettes. L'histoire de ces voyous aux noms de bandits les moins cools que Mégan a vus de toute sa vie – Tarzan, Tit-Noir, Moineau, Passe-Partout et Ciboulette – entremêle une langue populaire « passée date », des crimes, un triangle amoureux, une trahison, une évasion et une mort tragique.
  • Mégan Brouillard : Ru

    Mégan Brouillard plonge dans l'histoire de Ru, le roman de Kim Thúy qui « s'est vendu comme des petits air fryers chauds », pour sa série sur l'art qui parle du peuple. L'autofiction riche en figures de style et en chapitres courts relate – pas du tout en ordre chronologique – le récit de l'autrice au Vietnam avant et après l'arrivée des communistes, sa fuite du pays avec les boat people et sa nouvelle vie au Québec.
  • Mégan Brouillard : Pour la suite du monde

    Mégan Brouillard se penche sur Pour la suite du monde, un « chef-d'œuvre du cinéma direct », dans sa série thématique sur l'art qui parle du peuple. Le documentaire canadien sorti en 1963 raconte l'histoire des insulaires de L'Isle-aux-Coudres qui tentent de faire revivre la pêche au marsouin, une « affaire de sorcière ben compliquée », d'après Mégan. Le film ouvre également une fenêtre sur le langage et les traditions d'antan, de véritables « scènes de film d'horreur » qui ont fasciné Mégan.
  • Mégan Brouillard : Les unions qu'ossa donne?

    L'humoriste Mégan Brouillard s'intéresse au tout premier monologue d'Yvon Deschamps : Les unions qu'ossa donne?, dans cet épisode d'une série thématique sur l'art qui parle du peuple. Fortement inspiré par l'histoire de l'aïeul « pépère Deschamps », le personnage d'Yvon – un « perdant sympathique » et inconscient de sa misère, explique Mégan – dénonce avec humour l'exploitation ouvrière et les conditions de travail pitoyables des travailleuses et travailleurs québécois.
  • Yannick De Martino : Requiem pour un beau sans-cœur

    Avant d'incarner un chef de police attendrissant dans District 31, le comédien Gildor Roy s'est glissé dans la peau de l'un des personnages les plus complexes du cinéma québécois : le criminel notoire Régis Savoie dans Requiem pour un beau sans-cœur. À travers le regard des gens que ce hors-la-loi a côtoyés, le film à suspense de 1992 relate les derniers jours de celui que Yannick qualifie de « maudit malade ». Avec ses scènes tendues et violentes, le film a marqué les esprits.
  • Charles Beauchesne : Les mille et une nuits

    Le plus célèbre des recueils de contes orientaux contient des récits perses, indiens et arabes remontant aussi loin que le 2e siècle avant Jésus-Christ. On doit sa traduction française à Antoine Galland, qui y a ajouté au 17e siècle la fameuse histoire d'Aladin ou la lampe merveilleuse. L'auteur original est inconnu et les contes ont surtout été transmis par tradition orale. « C'est-à-dire en les racontant et en changeant plein de détails dépendamment à quel point t'étais saoul », précise Charles Beauchesne.
  • Garihanna Jean-Louis : La nuit étoilée

    La nuit étoilée est un des tableaux les plus connus de Vincent Van Gogh. Le contraste marquant entre le bleu nuit et la brillance de la lune et des étoiles cache une histoire des plus étonnantes. Garihanna Jean-Louis nous apprend dans quel contexte le maître postimpressionniste a imaginé ce paysage et explique comment il s'est coupé l'oreille. Des différentes histoires liées à ses innombrables tableaux à son passage en psychiatrie, découvrez le portrait d'un personnage « obsessif et incompris ».
  • Yannick De Martino : Le fabuleux destin d'Amélie Poulain

    Yannick De Martino analyse ce classique du cinéma français mettant en vedette Audrey Tautou et sa coupe au carré. Amélie Poulain, une jeune femme un peu mésadaptée vivant dans le quartier parisien de Montmartre, se donne pour mission de changer la vie des gens qui l'entourent... en ne se mêlant pas de ses affaires, sur fond de musique d'accordéon. Elle finit par développer un amour obsessionnel pour un autre excentrique, Nino, obnubilé par les clichés ratés de photomatons.
  • Charles Beauchesne : Notre-Dame de Paris

    Le roman voit le jour en plein mouvement romantique, soit la période de l'exaltation des sentiments où l'on cherchait à provoquer des émotions et c'est gagné! N'en déplaise à Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, la cathédrale gothique à l'origine de l'histoire au 19e siècle, avait l'air d'un trou à rats idéal pour faire une surdose d'héroïne, comme le rappelle Charles Beauchesne. L'immense succès de l'œuvre d'Hugo aura servi à attirer l'attention sur l'état pitoyable de ce monument emblématique de la Ville Lumière avant qu'un incendie lui réserve à nouveau un sort misérable en 2019.
  • Garihanna Jean-Louis : L'ironie du policier noir

    Le peintre Jean-Michel Basquiat est considéré comme un pionnier de l'underground new-yorkais. Il a inventé son propre langage artistique avec ses collages et ses graffitis. Sa toile L'ironie du policier noir présente un homme noir, semi-brisé, vêtu d'un uniforme de police avec un grand chapeau. Sans Basquiat, il n'y aurait pas de Banksy ni de Kevin qui dessine un tag sous un viaduc en croyant être un artiste! Garihanna Jean-Louis évoque également la relation ambiguë de l'artiste avec Andy Warhol.
  • Charles Beauchesne : Le chien des Baskerville

    Arthur Conan Doyle ne voulait pas être connu pour ses romans policiers qui mettent en scène Sherlock Holmes. Un échec cuisant, peut-on dire. Il préférait plutôt écrire des romans sur le Moyen Âge. Charles Beauchesne raconte dans quelles conditions l'auteur a finalement décidé de renouer avec le personnage de Sherlock Holmes, sept ans après avoir tué son célèbre détective. Un indice? Des menaces!
  • Bruno Blanchet : le Burj Khalifa

    Bruno anime un petit jeu-questionnaire sur cet édifice emblématique de Dubaï. À gagner : un tour dans l'ascenseur ultra-rapide qui permet d'accéder en quelques secondes au 148e étage, d'où l'on peut contempler du sable à perte de vue. Ce prix est d'une valeur de 206 $! C'est l'occasion de découvrir les prouesses d'ingénieries qui ont été nécessaires pour construire ce bâtiment de verre et de métal dans des conditions aussi inhospitalières que le désert.
  • Garihanna Jean-Louis : la grotte de Lascaux

    « Ce n'est pas juste une cave moisie avec des barbots sur les murs », s'étonne Garihanna Jean-Louis, mais c'est certainement « la plus belle et la plus impressionnante ». Ce site paléolithique mondialement connu renferme de nombreux dessins et gravures dont celle d'un homme qui se placera au cœur d'une grande énigme. Et cette personne « à la tête d'oiseau et au penis cassé », comme l'humoriste la décrit, n'est qu'un des nombreux mystères de cette découverte exceptionnelle.
  • Charles Beauchesne : Alice au pays des merveilles

    Prendre une drogue psychédélique ou lire le roman « flyé ben raide » de Lewis Carroll? Charles Beauchesne opte pour le second choix histoire d'avoir « exactement le même effet » tout en ayant l'option de pouvoir « juste fermer quand on a envie que ça arrête ». Il se demande comment ce mathématicien est devenu un auteur aussi weirdo, créateur d'une panoplie de personnages plus « débiles » les uns que les autres. En passant, peu importe le moment où vous écoutez cet épisode, il pourrait s'agir du jour de votre non-anniversaire, alors pas bonne fête!
  • Yannick De Martino : American Psycho

    Dans ce film culte signé Mary Harron, Christian Bale incarne un riche homme d'affaires qui partage son temps entre les sorties aux restaurants et les meurtres sordides. « Un gars occupé, quoi », résume Yannick De Martino. L'humoriste raconte la genèse de cette comédie noire adaptée du roman éponyme de Bret Easton Ellis, qui a fait scandale à sa sortie.
  • Bruno Blanchet : Angkor Wat

    Symbole religieux grandiose, le temple d'Angkor Wat a été le siège de l'empire khmer, qui a rayonné pendant cinq siècles sur l'Asie du Sud-Est. De nos jours, les touristes se pressent pour le voir, mais peu ont eu le plaisir de le visiter, comme Bruno, après avoir mangé de la « happy pizza » (pizza joyeuse). Les ingrédients spéciaux qui pimentent ce mets lui ont permis d'y passer une nuit rocambolesque.
  • Garihanna Jean-Louis : La trahison des images

    Faut-il douter que la réalité existe? C'est toute la question que pose le peintre surréaliste René Magritte, auteur de cette œuvre déstabilisante connue aussi sous le nom de « Ceci n'est pas une pipe ». Mais si cette peinture qui représente une pipe n'en est pas une, qu'est-ce que c'est? Minute papillon, ne cédez ni à l'agacement ni à l'excès d'assurance. Garihanna Jean-Louis vous explique le mystère tout en se demandant « si c'est Magritte le génie ou nous les cons ».
  • Charles Beauchesne : Le deuxième sexe

    Le livre de Simone de Beauvoir est l'ouvrage par excellence en matière de féminisme. Sa parution il y a 75 ans en 1949 a donné lieu à une véritable révélation pour les femmes et provoqué un élan d'indignation dans le milieu intellectuel français de l'époque. Sûrement parce que sans le savoir la philosophe avait lancé un mouvement qui inspirera « des génération d'amazones prêtes à démanteler brique par brique le patriarcat vers un monde où tout le monde est égal » remarque Charles Beauchesne.
  • Yannick De Martino : Les ordres

    Grand classique du cinéma québécois, Les ordres de Michel Brault raconte l'histoire de cinq personnages arrêtés injustement, détenus et humiliés durant la crise d'Octobre. L'invocation de La loi sur les mesures de guerre permettait à la police d'arrêter sans mandat quiconque lui paraissait suspect, soit des gauchistes et des souverainistes. « Les Cowboys Fringants et Émile Bilodeau auraient été coffrés assez rapidement », remarque judicieusement Yannick De Martino.
  • Bruno Blanchet : le Centre Pompidou

    Surnommé (affectueusement ou par dérision, c'est selon) Notre-Dame de la Tuyauterie, le Centre Pompidou a été construit sur un ancien stationnement parisien. Le président Georges Pompidou voulait offrir un lieu d'envergure pour les arts et la culture modernes. L'immense édifice a ceci de vraiment spécial : toute sa tuyauterie est apparente à l'extérieur du bâtiment, ce qui a créé la controverse lors de son inauguration, en 1977.
  • Barbada : Le parc Belmont

    Si vous faites partie des gens qui sont nés à Montréal ou qui ont visité la métropole avant 1983, vous avez probablement joué dans les mythiques manèges du parc Belmont. Sinon, peut-être que vous connaissez Diane Dufresne, une chanteuse qui rend les drag queens jalouses par ses performances éclatées. Elle a d'ailleurs interprété une chanson de Luc Plamondon portant le nom de l'emblématique parc d'attractions. Par contre, le sujet de son œuvre musicale était loin d'être festif comme un tour de manèges à la ronde souligne Barbada!