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Début du contenu

Espions, une histoire vraie.

Espions, une histoire vraie

  • Amaryllis Fox : espionne de la CIA chargée de traquer Al-Qaïda

    Une jeune Américaine de bonne famille, plutôt littéraire, s'engage par conviction dans la CIA après les attentats du 11 septembre 2001 et l'assassinat au Pakistan du journaliste Daniel Pearl. Pendant 10 ans, en tant qu'agente clandestine de la CIA, elle traque dans le monde entier les terroristes d'Al-Qaïda et les groupes qui seraient tentés de leur vendre des armes nucléaires.
  • Kim Philby : le plus british des espions de Sa Majesté passés à l’Est

    Il est le plus énigmatique des Cinq de Cambridge, ces cinq brillants étudiants de Cambridge qui, dans les années 1930, par conviction, s'engagent secrètement au service de l'Union soviétique. Membre de l'establishment, grand séducteur, le très distingué Kim Philby accède aux plus hautes fonctions de l'Intelligence Service britannique avant d'être démasqué.
  • Eddy Chapman : voyou et agent double

    Cambrioleur spécialisé dans les coffres-forts, escroc, grand amateur de femmes et de belles fringues, Eddy Chapman, cet Anglais du peuple, se révèle un des espions les plus extraordinaires de la Seconde Guerre mondiale. En 1942, sans scrupule, il s'engage dans l'Abwehr, les services secrets de l'Allemagne nazie, où il reçoit le nom de code « Fritz ».
  • Markus Wolf : chef de la Stasi et plus grand maître-espion du 20e siècle

    Avec ses 3000 agents et agentes à l'Ouest et son soutien au terrorisme international, Markus Wolf, qu'on surnomme « le plus grand maître-espion du 20e siècle », dirige pendant toute la guerre froide la Stasi, la puissante et terrible police secrète de l'Allemagne de l'Est. Longtemps homme sans visage, l'espion le plus redouté de l'Occident n'est identifié qu'en 1979 sur une photo prise à son insu.
  • Allen Dulles : premier civil nommé directeur de la CIA

    Allen Dulles est nommé directeur de la CIA en 1953; il est le premier civil à occuper ce poste-clé. Pendant huit longues années, Dulles, souvent controversé, règne sur l'agence de renseignement américaine pendant la période délicate de la guerre froide. Surnommé le Requin, ce petit-fils de pasteur presbytérien est pour les uns l'homme qui a permis au monde d'échapper à la menace soviétique. Pour les autres, il est celui qui, au mépris de la démocratie, a fait de la CIA un État dans l'État.
  • Ethel et Julius Rosenberg : espion et espionne atomiques ou victimes de l’anticommunisme?

    Ethel et Julius Rosenberg font l'objet d'une condamnation à mort aux États-Unis en 1951 pour espionnage au profit de l'URSS, et leur exécution sur la chaise électrique a lieu en 1953. Deux ans auparavant, on reconnaît coupable d'avoir volé les secrets de la bombe atomique au profit de l'Union soviétique le couple qui clamait pourtant son innocence. Les Rosenberg étaient-ils au service du NKVD, les services secrets soviétiques?
  • Maria Butina : l'espionne russe qui approcha Donald Trump

    Le 15 juillet 2018, Maria Butina, une Russe de 29 ans, est arrêtée aux États-Unis, soupçonnée d'avoir agi en tant qu'agente non déclarée d'un gouvernement étranger dans le but d'infiltrer des organisations politiques et de promouvoir les intérêts de la Fédération de Russie. De plus, elle avait depuis des années établi des relations étroites avec des membres de l'Association nationale des armes à feu, le puissant lobby américain proarmes proche du Parti républicain.
  • Anthony Blunt : l’historien d'art anglais agent du KGB

    En 1979, l'Angleterre découvre avec stupeur qu'Anthony Blunt, éminent historien d'art, directeur des collections royales, anobli par la reine, a été pendant près de vingt ans un espion soviétique, un des Cinq de Cambridge. Sir Anthony Blunt avait pourtant tout de l'Anglais parfait...
  • Kim Hyun-Hee : espionne nord-coréenne

    Kim Hyun-Hee est une espionne de la Corée du Nord, responsable de l'explosion d'un Boeing sud-coréen en 1987 qui a provoqué la mort de 115 personnes. L'ordre avait été signé de la main du propre fils du dictateur, Kim Il Sung. Après l'attentat, la tension était telle qu'on a cru à la reprise de la guerre entre les deux Corées.
  • Pham Xuan An : le (faux) ami des Américains

    Pendant toute la guerre du Vietnam, Pham Xuan An a été un brillant journaliste et correspondant à Saigon pour le magazine Time. Considéré par les Américains comme un ami et un fidèle allié, il espionnait en réalité pour le camp communiste, le Vietnam du Nord. Un secret qui n'est révélé que bien après la chute de Saigon en 1975.
  • Philip Agee : espion américain et pire ennemi de la CIA

    Espion américain pendant les années 60 en Amérique latine, Philip Agee démissionne après 12 ans de bons et loyaux services à la CIA. Exilé, il publie en 1975 Journal d'un agent secret, dans lequel il révèle au monde les opérations clandestines de l'organisation, qu'il qualifie lui-même de « crimes de l'impérialisme américain ». Des décennies plus tard, il incarne encore et toujours aux yeux de la CIA la figure absolue du traître.
  • Ana Montès : agente double pour Cuba

    Analyste hors pair des services de renseignement américain plusieurs fois décorée, Ana Montès était surnommée « la reine de Cuba » pour son travail d'espionnage auprès du régime de Fidel Castro. Pourtant, après 17 ans de services, elle a été arrêtée en 2001 sous les yeux ébahis de ses collègues. La raison? Elle était en fait une agente double qui recevait des ordres de La Havane grâce à un vulgaire transistor à ondes courtes.
  • Ramón Mercader : l’homme de Staline qui a assassiné Léon Trotsky

    Il est l'auteur d'un des assassinats politiques les plus spectaculaires du 20e siècle. Armé d'un pic à glace, Ramón Mercader a tué Léon Trotsky, héros de la révolution d'Octobre et pire ennemi de Staline, à Mexico en 1940. D'origine espagnole, l'assassin ayant pour nom de code Frank Jackson avait été formé par les services secrets soviétiques et a été arrêté peu de temps après. Emprisonné pendant 20 ans, il n'a jamais révélé sa véritable identité ni celle de ses commanditaires.
  • Reinhard Gehlen : l'espion d’Hitler passé à la CIA pendant la guerre froide

    Légende de l'espionnage des années 1970, Reinhard Gehlen a dirigé pendant plus de 20 ans les services secrets ouest-allemands. L'homme a réussi, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, à intéresser les services secrets américains en leur fournissant des milliers de documents confidentiels sur l'Union soviétique. Se présentant comme héros de l'anticommunisme, il a réussi le tour de force de jeter un voile sur son passé, notamment son service au sein du IIIe Reich d'Hitler.
  • Anna Chapman : jeune femme naïve ou espionne russe de haut vol?

    D'espionne russe à vedette de la télé, Anna Chapman connaît un destin étrangement hors du commun. Arrêtée aux États-Unis en 2010, à 28 ans, elle est expulsée vers la Russie. Elle est piégée comme une amatrice par le FBI, mais est pourtant accueillie en héroïne par Vladimir Poutine. Considérée comme « jolie et très sexy », elle devient une véritable célébrité dans son pays. Est-elle simplement une jeune femme naïve ou l'incarnation parfaite de l'espionnage moderne?
  • Jean Clémentin : agent des services secrets tchécoslovaques

    Surnommé Tintin par ses collègues, cet ancien rédacteur en chef du journal français Le canard enchaîné était une figure incontournable du Tout-Paris littéraire dans la deuxième moitié du 20e siècle. Jean Clémentin avait aussi un autre surnom, Pipa, car derrière cette figure parisienne se cachait un espion qui, de 1957 et 1969, a vendu des renseignements au StB, les services secrets de la République socialiste tchécoslovaque.
  • Ursula Kuczinski : nom de code, Sonya

    Allemande et communiste convaincue, elle a été la plus grande espionne de l'Union soviétique des années 1930 et 1940. Ursula Kuczinsky, au nom de code Sonya, a échappé plus d'une fois au pire dans des missions qui l'ont menée de Shanghaï à la Mandchourie en passant par l'Angleterre. Elle est aussi une des rares femmes à avoir accédé au rang prestigieux d'officier de l'Armée rouge pour ses faits d'armes. Son plus grand : transmettre à Staline les secrets américains de la bombe atomique.
  • Noor Inayat Khan : Indienne pacifiste et espionne redoutable de Churchill

    Qualifiée de maladroite, d'émotive et de trouillarde par ses chefs, Noor Inayat Khan s'est révélée l'une des opératrices radio les plus efficaces du Special Operations Executive (SOE), un service ultrasecret créé par le premier ministre britannique Winston Churchill durant la Seconde Guerre mondiale. Elle a d'ailleurs été la première femme du SOE envoyée en France sous occupation nazie comme opératrice radio, une première mission qui aura malheureusement été sa dernière, puisqu'elle a été victime d'une lâche trahison.
  • Marie-Madeleine Fourcade : nom de code, Hérisson

    Elle a été l'une des très rares femmes à diriger un réseau de renseignement dans l'Europe occupée de la Seconde Guerre mondiale : le réseau Alliance. Marie-Madeleine Fourcade avait choisi pour nom de code Hérisson, car ce petit animal est en apparence fragile et inoffensif. De figure controversée qui soutient Pétain au début de la guerre, elle devient une icône de la résistance en se rangeant derrière le général de Gaulle, pour lequel elle ne cachait cependant pas son mépris.
  • Oleg Gordievski : l’agent double exfiltré de Moscou pendant la guerre froide

    Brillant officier du KGB et soutien indéfectible du régime soviétique, Oleg Gordievski est ébranlé dans sa foi lorsqu'il est témoin de l'écrasement du Printemps de Prague, en 1968. Changeant de camp au péril de sa vie, il travaille comme agent double pour les services secrets britanniques jusqu'en 1985. Lorsqu'il est démasqué, il déclenche l'opération « Pimlico », qui doit l'aider à fuir l'Union soviétique au plus vite, laissant femme et enfants derrière lui.