Aller au contenu

Championnat du monde des voitures de tourisme

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis WTCC)
Championnat du monde des voitures de tourisme
Description de l'image WTCC_logo.svg.
Généralités
Sport compétition automobile
Création 1987
Disparition 2017
Autre(s) nom(s) World Touring Car Championship (WTCC)
Organisateur(s) FIA
Eurosport Events - KSO
Éditions 14
Catégorie Tourisme
Périodicité Annuelle
Nations monde
Statut des participants Pilotes
Pilotes indépendants
Site web officiel fiawtcc.com

Palmarès
Tenant du titre Thed Björk
Plus titré(s) Yvan Muller (4)
Pour la dernière compétition voir :
Championnat du monde des voitures de tourisme 2017
La Ford Sierra RS 500 de Klaus Ludwig et Klaus Niedzwiedz, vice-championne du monde pour le premier WTCC 1987 (écurie Eggenberger Motorsport, 4 des 11 courses victorieuses).
José María López et Yvan Muller, saison 2014 du WTCC (voitures plus puissantes et plus évoluées aérodynamiquement, les TC1) : dès sa première participation, Citroën remporte 17 des 23 courses, et les deux titres constructeur et pilote.
Photo en portrait d'Yvan Muller.
Yvan Muller, détient les records de titres (4 fois champion WTCC) et de victoires (47).

Le Championnat du monde des voitures de tourisme (en anglais : World Touring Car Championship, ou WTCC) était un championnat de course automobile. Il opposait des automobiles de grande production, dites de « tourisme ».

La première édition du championnat du monde des voitures de tourisme a été organisée en 1987, puis un nouveau championnat a été lancé en 2005, sur la base du championnat européen (ETCC) lui-même créé en 2001, et disputé jusqu'en 2017. À cette date, la FIA décide de fusionner le WTCC (Championnat du monde des voitures de tourisme) avec une autre série concurrente, le TCR International Series pour reformer la Coupe du Monde des voitures de tourisme (WTCR).

Une première version du championnat

[modifier | modifier le code]

La première version du WTCC a été lancée en 1987, en concurrence au championnat FIA ETCC existant depuis 1963. À l'issue d'une première saison couronnée de succès, voyant la Ford Sierra RS 500 du duo Klaus Ludwig - Klaus Niedzwiedz s'imposer au général, le championnat est abandonné, notamment en raison des nouvelles spécifications techniques voulues par la FIA pour 1988, que les constructeurs n'approuvent pas. De 1993 à 1995, la FIA organise la Coupe du monde des voitures de tourisme.

Retour du WTCC (2005-2017)

[modifier | modifier le code]
Années 2005-2009
[modifier | modifier le code]

L'année 2005 voit la naissance du FIA WTCC (World Touring Car Championship, ou Championnat du monde des voitures de tourisme), qui prend ainsi la suite de l'ETCC. Il devient ainsi le troisième championnat du monde FIA, après la Formule 1 et le WRC. Le promoteur de ce championnat est la société d'organisation anglaise KSO (Kigema Sport Organisation Ltd.), filiale de la chaîne de télévision européenne Eurosport, qui se charge par ailleurs de retransmettre les courses en direct. Les voitures répondent à la réglementation Super 2000 (essence et Diesel).

Le WTCC bâtit son succès sur des courses très animées, leur durée très courte de 50 kilomètres et sans ravitaillements forçant les pilotes à l'attaque maximale. Deux courses sont organisées par week-end. Bien que majoritairement disputé en Europe, une course se court au Mexique et la dernière épreuve du championnat se déroula sur le célèbre circuit de Macao jusqu'à 2014.

En 2005, cinq constructeurs étaient engagées officiellement : BMW, Alfa Romeo, SEAT, Chevrolet et Ford. BMW a remporté en 2005 les deux championnats (pilotes et constructeurs). Honda et Peugeot étaient aussi présents dans la discipline par le biais d'équipes privées. Andy Priaulx sur BMW, champion d’Europe en titre, remporte cette première édition.

Alfa Romeo décide fin 2005 de se retirer officiellement et provisoirement du championnat. Cependant, en 2006, trois Alfa Romeo de l'année passée continuent à être engagées de manière semi-officielle par le team N.Technology, qui engageait déjà les voitures officielles les années précédentes. Cette saison 2006 va être pleine de suspense : onze pilotes différents s'imposent et avant le dernier week-end à Macao, neuf pilotes peuvent décrocher le titre. Andy Priaulx conserve néanmoins son titre, ainsi qu'en 2007 malgré la grosse concurrence des Seat. Pour la première fois, une manche portugaise est organisée, à Porto.

En 2008, une manche au Japon sur le Aïda, fait son entrée. Alfa Romeo ayant définitivement quitté le championnat, l'équipe N.Technology s'est tournée vers Honda et engage une voiture à partir du troisième weekend du championnat à Valencia par le Britannique James Thompson. Malgré une victoire, le partenariat ne sera pas renouvelé la saison suivante. Ce sont les Seat León qui remportent le championnat, Seat devient le premier constructeur équipé d'un moteur Diesel à remporter un championnat du monde FIA. Le français Yvan Muller devient champion du monde des pilotes. Cette saison a vu le nombre records de pilotes vainqueurs : 14 en 24 courses.

À partir de 2009, le Maroc organise aussi une épreuve, à Marrakech[1]. Seat est une nouvelle fois le constructeur à battre en 2009, Gabriele Tarquini bat de justesse son coéquipier Yvan Muller.

Fin 2009, BMW Motorsport annonce qu'il n'engagerait plus que deux voitures en 2010 pour Augusto Farfus et Andy Priaulx[2], Jörg Müller et Alessandro Zanardi quittent donc le championnat. Seat Sport a quant à lui annoncé qu'il se retirait du WTCC mais qu'il continuerait à apporter un soutien technique aux teams privés qui souhaiterait acquérir leurs modèles[3]. SR-Sport engage quatre Seat TDI pour le tenant du titre Gabriele Tarquini, Tiago Monteiro, Jordi Gené et le vainqueur de la catégorie indépendants 2009 Tom Coronel[4],[5] Rickard Rydell en revanche se retrouve sans volant.

Années 2010-2013
[modifier | modifier le code]

La nouvelle décennie voit la montée de Chevrolet. L'ancien champion Yvan Muller a rejoint le constructeur américain, et devient le premier pilote à reconquérir le titre, à bord d'une Chevrolet Cruze. En 2011, le seul constructeur officiel présent est Chevrolet, les Seat et BMW étant présentes à titre semi-privé, malgré la brève présence de Volvo. La domination de Chevrolet est désormais complète, elles remportent 21 des 24 courses, avec Yvan Muller qui gagne son troisième titre, et ses coéquipiers Robert Huff et Alain Menu en embuscade. Leur domination se poursuit en 2012, pourtant le WTCC attire plus d'un demi-milliard de téléspectateurs[6] et une nouvelle manche en dehors de l’Europe se dispute, pour la première fois le championnat fait escale aux États-Unis. Robert Huff, qui avait été battu de peu par Yvan Muller en 2011, s'adjuge cette fois le titre pour 12 points devant Alain Menu.

Chevrolet annonce son retrait officiel à l'issue de 2012, mais est toujours présent, engagé par le constructeur britannique Ray Mallock Ltd, avec entre autres Yvan Muller au volant qui s'adjuge un quatrième titre de champion du monde, malgré la présence des constructeurs officiels Lada et Honda. Honda remporte d'ailleurs le championnat constructeur et leur pilote no 1 Gabriele Tarquini est le concurrent le plus proche du français pour le titre.

Dernières années (2014-2017)
[modifier | modifier le code]

Le Citroën annonce son arrivée dans le championnat WTCC à partir de 2014 avec Sébastien Loeb comme pilote[7] à bord d'une C-Élysée. Yvan Muller sera le coéquipier du champion du monde des rallyes, tout comme l'argentin José María López. A cette occasion, Citroën demande la mise en place au sein du WTCC d'une nouvelle réglementation technique baptisée TC1. Cette réglementation propose des voitures plus puissantes et plus efficaces au niveau de l’aérodynamisme.

Le , Citroën Racing participe pour la première fois de son histoire au WTCC. Trois voitures sont engagées avec à leurs volants Sébastien Loeb, Yvan Muller, et José María López. Les trois C-Elysée s'imposent dès leurs premiers tours de roues sur le circuit Moulay El Hassan à Marrakech au Maroc. L'écurie Citroën Racing remporte les titres constructeur 2014 et 2015, tandis que son pilote José María López gagne les deux titres pilotes.

Il en est de même en 2016, malgré plusieurs handicaps de lest imposés à Lopez et Citroën pour tenter de contrer leur domination.

Cette même année, le WTCC subit une grave crise, car si Volvo fait son retour à travers l'équipe Cyan Polestar, le championnat perd 2 des 4 constructeurs engagés : Citroën, qui choisit de privilégier son engagement en WRC en délaissant le supertourisme, et Lada, qui faute d'intérêt médiatique pour son image, se retire. S'ajoute à cela le retrait de nombreux pilotes, certains choisissant de partir en TCR, championnat de Supertourisme concurrent, d'autres partant vers de nouvelles disciplines comme le champion en titre José Maria Lopez, qui signe chez Toyota en WEC. À la fin de la saison 2016, Yvan Muller annonce son retrait, choisissant de devenir pilote d'essai pour Cyan Polestar.

La saison 2017 n'accueille que 16 voitures, le minimum de partants imposés pour le déroulement d'un Championnat du Monde FIA. Cette saison est le théâtre d'un long duel entre Norbert Michelisz et Thed Björk. Ce dernier devient Champion du Monde à l'issue de la finale au Qatar. Cette saison sera la dernière puisque fin 2017, la FIA décide de fusionner le WTCC (Championnat du monde des voitures de tourisme) avec une autre série concurrente, le TCR International Series pour reformer la Coupe du monde des voitures de tourisme (WTCR).

Photo d'une Chevrolet Lacetti S2000 en course.
La Chevrolet Lacetti S2000 WTCC 2006 de Nicola Larini.
Photo d'une Alfa Romeo 156 S2000 en course.
Alfa Romeo 156 S2000 WTCC 2006.
Photo d'une Seat Leon S2000 en course.
Seat Leon S2000 WTCC 2006.
Photo de quatre voitures en course et en formation rapprochée à l'approche d'une courbe.
Course au Japon en 2011.

Circuits et pays

[modifier | modifier le code]

C'est un championnat disputé en majorité en Europe avec des épreuves en France, Belgique, Allemagne, Portugal, Hongrie, Autriche et en Russie. De 2005 à 2014, la dernière épreuve du championnat se déroulait en Chine, plus précisément à Macao. Il y a également des courses au BrésilCuritiba), au MexiquePuebla) et au Japon (Okayama). Le Maroc est aussi à l'honneur depuis 2009 avec une manche disputée à Marrakech sur un circuit provisoire, une première, car depuis 1958 il n'y avait plus eu de courses automobiles internationales dans le pays[1]. Le championnat a fait une brève apparition en Amérique du Nord de 2012 à 2013 avec une épreuve aux États-Unis sur le Sonoma Raceway en Californie.

La plupart des circuits visités sont totalement différents de ceux utilisés par la Formule 1, d'autres sont des circuits de Formule 1 qui offrent un tracé raccourci et différent (exemples : le circuit de Suzuka avec son tracé Est ou le circuit de Shanghai et son tracé court).

Si ces événements sont moins prestigieux que les Grand Prix, il n'en sont pas moins populaires. Parmi les événements on compte des courses d'anciens circuits de F1 tels que le circuit de Pau-Ville (dans le cadre du Grand Prix de Pau), le circuit de Boavista (dans le cadre du Grand Prix de Porto) ou encore le circuit Paul-Ricard depuis 2014.

Déroulement des épreuves

[modifier | modifier le code]

Les meetings sont appelés des « courses » (« race » en anglais, suivi du nom du pays, exemple « Race of Italy », littéralement « Course d'Italie »).

Le week-end commence avec deux séances d'essais libres de 30 minutes chacune. Ensuite, il y a une séance d'essais qualificatifs. La séance de qualifications est divisée en deux parties : Q1 pour tous les pilotes, Q2 pour les douze pilotes les mieux classés dans la Q1. Au terme de la Q2, des points sont attribués aux cinq premiers pilotes classés (5, 4, 3, 2, 1).

Le jour de course commence avec le warm up de 15 minutes le matin ensuite viennent les deux courses qui varient entre 50 et 60 km (à partir de 2012). La première course démarre par un départ arrêté, l'ordre de départ de la grille est basée sur les douze plus rapides de la Q2. La deuxième course par un départ arrêté, en revanche les dix premiers de la première manche prennent le départ dans un ordre inversé, tandis qu'à partir du 11e chaque pilote conserve sa place sur la grille. Le but est de rendre les courses plus attrayantes et de provoquer des remontées avec des bagarres en course.

Distribution des points

[modifier | modifier le code]

Système de notation actuel

[modifier | modifier le code]

Depuis 2010

Grille de points depuis 2010
Position 1er 2e 3e 4e 5e 6e 7e 8e 9e 10e
Points 25 18 15 12 10 8 6 4 2 1

Ancien système de notation

[modifier | modifier le code]

De 2005 à 2009

Grille de points de 2005 à 2009
Position 1er 2e 3e 4e 5e 6e 7e 8e
Points 10 8 6 5 4 3 2 1

Pour la saison 1987

Grille de points 1987
Position 1er 2e 3e 4e 5e 6e 7e 8e 9e 10e
Points 20 15 12 10 8 6 4 3 2 1
  • Championnat du monde des pilotes
  • Championnat du monde des constructeurs
  • Trophée des équipes (sponsorisé par Yokohama)
  • Trophée des pilotes indépendants (sponsorisé par Yokohama)
  • Trophée des pilotes asiatiques (sponsorisé par Eurosport)

Championnat du monde des voitures de tourisme (WTCC)

[modifier | modifier le code]
Palmarès du Championnat du monde des voitures de tourisme WTCC
Saison Championnat du monde des voitures de tourisme Trophée indépendants
Champion Voiture Équipe Champion constructeur Pilote gagnant Voiture Équipe Équipe gagnante
2005 Andy Priaulx BMW 320i BMW Team UK BMW Marc Hennerici BMW 320i Wiechers-Sport Proteam Motorsport
2006 Andy Priaulx BMW 320si BMW Team UK BMW Tom Coronel Seat Leon GR Asia GR Asia
2007 Andy Priaulx BMW 320si BMW Team UK BMW Stefano D'Aste BMW 320si Wiechers-Sport Non attribué
2008 Yvan Muller SEAT León TDI SEAT Sport SEAT Sergio Hernández BMW 320si Scuderia Proteam Motorsport Scuderia Proteam Motorsport
2009 Gabriele Tarquini SEAT León 2.0 TDI SEAT Sport SEAT Tom Coronel SEAT León 2.0 TFSI SUNRED Engineering SUNRED Engineering
2010 Yvan Muller Chevrolet Cruze LT Chevrolet RML Chevrolet Sergio Hernández BMW 320si Scuderia Proteam Motorsport Scuderia Proteam Motorsport
2011 Yvan Muller Chevrolet Cruze 1.6T Chevrolet RML Chevrolet Kristian Poulsen BMW 320 TC Liqui Moly Team Engstler Liqui Moly Team Engstler
2012 Robert Huff Chevrolet Cruze 1.6T Chevrolet RML Chevrolet Norbert Michelisz BMW 320 TC Zengő Motorsport Lukoil Racing
2013 Yvan Muller Chevrolet Cruze 1.6T RML Honda James Nash Chevrolet Cruze 1.6T Bamboo Engineering RML
2014 José María López Citroën C-Elysée WTCC Citroën Total WTCC Citroën Norbert Michelisz Honda Civic WTCC Zengő Motorsport Lukoil Racing
2015 José María López Citroën C-Elysée WTCC Citroën Total WTCC Citroën Norbert Michelisz Honda Civic WTCC Zengő Motorsport ROAL Motorsport
2016 José María López Citroën C-Elysée WTCC Citroën Total WTCC Citroën Drapeau du Maroc Mehdi Bennani Citroën C-Elysée WTCC Drapeau de la France Sébastien Loeb Racing Drapeau de la France Sébastien Loeb Racing
2017 Thed Björk Volvo S60 Polestar TC1 Polestar Cyan Racing Volvo Drapeau du Royaume-Uni Tom Chilton Citroën C-Elysée WTCC Drapeau de la France Sébastien Loeb Racing Drapeau de la France Sébastien Loeb Racing

Championnat du monde des voitures de tourisme (1987)

[modifier | modifier le code]
Palmarès du championnat du monde des voitures de tourisme 1987
Saison Championnat du monde pilote Équipe gagnante
Champion Voiture Équipe
1987 Roberto Ravaglia BMW M3 Schnitzer Motorsport Eggenberger Motorsport

Victoires en WTCC

[modifier | modifier le code]

Classement couvrant la totalité des manches du WTCC dans sa version moderne.

Pilotes
no  Pilote Victoires
1 Drapeau de la France Yvan Muller 48
2 Drapeau du Royaume-Uni Robert Huff 29
Drapeau de l'Argentine José María López 29
4 Drapeau de la Suisse Alain Menu 23
5 Drapeau de l'Italie Gabriele Tarquini 22
6 Drapeau du Royaume-Uni Andy Priaulx 18
7 Drapeau du Brésil Augusto Farfus 15
8 Drapeau du Portugal Tiago Monteiro 11
9 Drapeau de l'Allemagne Jörg Müller 10
10 Drapeau de la Hongrie Norbert Michelisz 8
11 Drapeau du Royaume-Uni Tom Chilton 7
12 Drapeau du Maroc Mehdi Bennani 6
Drapeau des Pays-Bas Tom Coronel 6
Drapeau de la France Sébastien Loeb 6
15 Drapeau de la Suède Rickard Rydell 5
16 Drapeau de l'Espagne Jordi Gené 4
Drapeau de l'Italie Fabrizio Giovanardi 4
Drapeau de l'Allemagne Dirk Müller 4
Drapeau du Royaume-Uni James Thompson 4
Drapeau de l'Italie Alessandro Zanardi 4
21 Drapeau de la Suède Thed Bjork 3
Drapeau du Danemark Michel Nykjær 3
Drapeau de l'Argentine Esteban Guerrieri 3
23 Drapeau des Pays-Bas Nicky Catsburg 2
Drapeau de l'Italie Stefano D'Aste 2
Drapeau du Royaume-Uni James Nash 2
Drapeau de l'Espagne Félix Porteiro 2
Drapeau de la République populaire de Chine Ma Qinghua 2
29 Drapeau de la France Yann Ehrlacher 1
Drapeau de l'Allemagne Franz Engstler 1
Drapeau de l'Argentine Néstor Girolami 1
Drapeau de l'Espagne Sergio Hernández 1
Drapeau des Pays-Bas Duncan Huisman 1
Drapeau de l'Italie Nicola Larini 1
Drapeau de l'Italie Gianni Morbidelli 1
Drapeau de l'Espagne Pepe Oriola 1
Drapeau de l'Italie Salvatore Tavano 1
Drapeau de l'Allemagne Peter Terting 1
Drapeau du Royaume-Uni Colin Turkington 1
Constructeur
no  Écuries Victoires
1 Drapeau des États-Unis Chevrolet 88
2 Drapeau de l'Allemagne BMW 60
3 Drapeau de la France Citroën 57
4 Drapeau de l'Espagne SEAT 43
5 Drapeau du Japon Honda 20
6 Drapeau de l'Italie Alfa Romeo 14
7 Drapeau de la Russie Lada 6
8 Drapeau de la Suède Volvo 5

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b « L'impact positif du WTCC », Eurosport,
  2. WTCC : BMW réduit sa présence - Stéphane Gauthier, Racing Forever, 6 décembre 2009 (version archivée)
  3. « SEAT réoriente ses activités », Eurosport,
  4. « Monteiro ravi de continuer en WTCC », AUTOhebdo,
  5. « Tarquini remet son titre en jeu », AUTOhebdo,
  6. (en) « Half a billion viewers watched WTCC », sur fiawtcc.com,
  7. « Citroën et Loeb s'engagent », L'Équipe,

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Lien externe

[modifier | modifier le code]