Spie
SPIE | |
Logo de l'entreprise. | |
Création | 1900 (Société parisienne pour l'industrie des chemins de fer et des tramways électriques) |
---|---|
Dates clés | 1968 : fusion avec la Société de construction des Batignolles 2003 : scission avec Spie Batignolles |
Fondateurs | Édouard Empain |
Forme juridique | Société anonyme |
Action | Euronext : SPIE |
Slogan | « Spie, l'ambition partagée. » |
Siège social | Cergy-Pontoise France |
Direction | Gauthier Louette (président-directeur général) |
Activité | Collectivités, énergie, infrastructures, tertiaire, industrie |
Filiales | SPIE CityNetworks
Spie ICS (ex-Spie Communications) |
Effectif | 48 000 (2022) |
SIREN | 399258755 |
Site web | www.spie.com |
Capitalisation | 2 563 M€ (avril 2019) |
Chiffre d'affaires | 10 241 M€ (2022) |
Résultat net | 213,2 M€ (2022) |
Société précédente | AMEC SPIE (d) |
modifier - modifier le code - voir Wikidata |
SPIE (Société Parisienne pour l'Industrie Électrique) est une société française spécialisée dans les domaines du génie électrique, mécanique et climatique, de l’énergie et des réseaux de communication. Son métier est la réalisation, l’assistance à l’exploitation et la maintenance d'équipements industriels. Spie est coté en bourse avec le code SPIE[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Débuts
[modifier | modifier le code]La SPIE a une double origine : d'une part, la Société de construction des Batignolles fondée en 1871 par Ernest Goüin, et d'autre part, la Société parisienne pour l'industrie des chemins de fer et des tramways électriques (SPICF), appelée aussi la "Parisienne électrique"[2], fondée en 1900, par le baron Empain.
La SPICF doit réaliser les travaux d'infrastructures électriques du métro de Paris lancés en 1900. Le baron Empain avait décroché l'appel d'offre en 1898 et fondé dans ce but la Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris. La SPICF est chargé d'électrifier les rames et de proposer une politique tarifaire. Empain fait appel à la société Girolou, fondée par Alexandre Giros et Louis Loucheur, pour compléter l'électrification vers 1905[3].
Seconde guerre mondiale et nationalisations
[modifier | modifier le code]Pendant la guerre, elle compte parmi ses administrateurs Guy de la Rochette (1940-1945)[2], Edouard Empain (1936-1944)[2], Lucien Esbran (1939-1944)[2] et Edmond Roux (1940-1944)[2], un ancien de la Société générale de force et lumière (SGFL)[4] du magnat Pierre-Marie Durand, deuxième électricien francais, derrière la Lyonnaise des Eaux et de l’Electricité (SLEE, ou groupe Mercier). Après une crise au conseil d’administration de la SGFL, plusieurs personnalités appuyées par le CCF, avaient remplacé le banquier-adminstrateur traditionnel. Parmi elles, Edmond Roux était devenu conseiller de Pierre-Marie Durand et administrateur de plusieurs filiales[5] du groupe mais aussi de la Compagnie du Gaz de Lyon et de la Société générale pour l’industrie électrique. Il est par ailleurs président du Syndicat professionnel des Producteurs et Distributeurs d'énergie électrique[6],[7],[8], fondé au début du XXe au 16, rue de la Baume à Paris[4], et a siégé à ce titre, sous l'occupation, avec Robert Desprès, de L'Énergie industrielle, autre société de Pierre-Marie Durand, au Comité de l’Energie Electrique (COE), « instance clé de l’organisation économique » sous Vichy[9] qu'il préside tout en se déclarant « hostile à tout autoritarisme prolongé du Comité »[10]. Roger Boutteville, directeur de L'Union d'électricité, est nommé après la guerre président d'une commission de l'électricité du CNPF, un « lot de consolation » pour les anciens du COE qui ne trouvent pas leur place à l’EDF », où siègent aussi Paul Huvelin et Edmond Roux[11]
C'est lui qui négocie après la guerre, face au ministre communiste Marcel Paul, avec Jean-Marie Louvel, un adjoint de Paul Huvelin à la Société générale d'entreprises (SGE), qui a rejoint le MRP par "opportunisme"[12], pour en devenir le trésorier, maire du Vésinet et président la Commission de l'équipement national au Palais Bourbon, d'importantes compensations des actionnaires des compagnies d'électricité nationalisées[7] par la loi d'. Le MRP s’était penché tôt sur la nationalisation, dès son congrès constitutif de [12], pour demander d'en exclure la distribution d'électricité[12] et les usines d’électrochimie et d’électrométallurgie, soit la moitié de la production[12]. Une "Commission Perrier" de compromis [12] se réunit quatre fois entre janvier et , Roger Boutteville et Edmond Roux y représentent le CNPF[12]. Finalement, Jean-Marie Louvel obtient que les actionnaires soient dédommagés par des obligations à intérêt 3 %[12] plutôt que les 2% proposés par la SFIO[12], plus une part selon l’accroissement des recettes[12], compromis censé équilibrer le 1 % demandé par le PCF pour les œuvres sociales[13]. Le groupe Empain a été concerné comme les autres géants du secteur, la CGE et la SGE, les groupes Mercier et Durand, ou L'Énergie industrielle[12].
Après-guerre
[modifier | modifier le code]En 1946, la société devient la Société parisienne pour l'industrie électrique (SPIE). André Berthelot, fils de Marcellin Berthelot, en est nommé président du conseil d'administration l'année suivante.
L'année 1964 est celle de la création de Jeumont-Schneider, qui s'investit dans les premiers grands projets d'automatisation des sites de production. Les Jeumont (groupe Empain) est réuni avec LMESW (groupe Schneider)[14] qui a les licences Westinghouse.
En 1967, alors que les Goüin se désengagent, Spie fusionne avec la Société de construction des Batignolles (SCB) pour former Spie Batignolles[15].
L'année 1967 voit aussi une réalisation importante du groupe[7], l'entrée en service dans les Ardennes, à la frontière franco-belge, du premier réacteur à eau pressurisée de la Centrale nucléaire de Chooz, un projet franco-belge, qui provient d'une licence américaine acquise auprès de la société Westinghouse, par la Franco-Américaine de Constructions Atomiques (Framatome) en [16]. Basé sur le modèle du réacteur de la centrale nucléaire de Yankee Rowe, il affiche une pression primaire plus élevée[17].
Mais Westinghouse ne se voit pas accorder, en [18], l'autorisation d'investissement dans Jeumont-Schneider par le ministre de l'économie et des finances. Alors que le gouvernement belge a donné son accord à la cession à Westhinghouse des Ateliers de constructions électriques de Charleroi[18], Valéry Giscard d'Estaing suggère à l'américain de s'associer avec un français dans la reprise de la partie française[18], avant d'exprimer un refus plus clair en [19], obligeant le Baron Empain à se tourner en mai 1970 vers la CGE ou la Compagnie électromécanique (CEM), pour vendre à 200 millions de francs ses 61%[20].
En 1969, le groupe Empain prend possession de la totalité de Schneider Electric ; Spie Batignolles devient une filiale du groupe Empain-Schneider.
Spie Batignolles absorbe la Compagnie industrielle de travaux (CITRA) en 1972.
En 1981, après la sortie du capital de la famille Empain, le groupe Empain se restructure et prend le nom de Schneider Electric ; Spie Batignolles est toujours une filiale.
En 1982 la division « Électricité nucléaire » et Trindel intégrant le groupe, l'ensemble prend le nom de Spie Trindel.
Avant 1984, rachat de Coignet SA avec l'aide des Charbonnages de France[21].
Spie Batignolles construit les montagnes russes en bois nommées Anaconda dans le parc alors nommé Big Bang Schtroumpf, rebaptisé Walygator Parc depuis 2007, les plus hautes d’Europe entre 1989 et 2001 d'après les plans de William Cobb[22].
En 1997, l'entreprise est vendue par Schneider et est l'objet d’une reprise d'entreprise par ses salariés (une RES) de cinq ans, lors du rachat de l'entreprise par les salariés associés à l'anglais Amec.
En 1998, Spie Batignolles prend le nom de Spie et se compose de trois grandes filiales :
- Spie Batignolles, spécialisée dans les activités de construction ;
- Spie Enertrans, spécialisée dans les activités énergétiques et de transport ferroviaire ;
- Spie Trindel, spécialisée dans l'ingénierie électrique et les services de proximité.
En 1999, Spie achète l'entreprise de génie climatique Laurent Bouillet.
En 2001, Spie achète Matra Nortel Communications Distribution qui prend ensuite le nom de Spie Communications, et désormais Spie ICS (« ICS » pour « Integrated connectivity solutions »).
En 2003, Spie Batignolles, filiale « construction » de Spie est cédée à ses cadres dirigeants. Dans le même temps Amec prend le contrôle de Spie qui devient Amec Spie.
Ensuite en 2004, l'entreprise Amec Spie crée plusieurs filiales comme Spie Communications. Mais l'organisation a besoin de ressources humaines externes car elle manque d'effectifs.
En 2006, le groupe Amec cède Spie au fonds d'investissement PAI partners. Après l'aval de la Commission européenne (Bruxelles) le , la société prend un nouveau nom, « Spie », en lieu et place de « Amec Spie ». Un nouveau logotype est en conséquence créé.
En 2007, Spie rachète la division ingénierie électrique d'Amec qui prend le nom de Spie Matthew Hall. La même année, Spie Nederland rachète Controlec, puis l'entreprise néerlandaise Heijmans Industrial Services (HIS), spécialisée dans la conception, le développement, la rénovation, la modification et l'entretien d'installations mécaniques Spie acquiert le Néerlandais, l'année suivante.
En 2008, Spie acquiert plusieurs entreprises :
- les entreprises françaises Lapierre[23], Paternoster, Gefca, Juret, Roussel et Socotech ;
- l'entreprise hollandaise Heijmans Industrial Services (HIS) ;
- l'entreprisee belge Anca-Tech.
SPIE renforce sa présence au Royaume-Uni en 2009 avec le rachat de WHS, une société spécialisée en installations électriques et instrumentation dans le secteur de l’énergie.
En 2011, SPIE est cédée par PAI Partners au consortium Clayton, Dubilier & Rice (en), AXA Private Equity et Caisse de dépôt et placement du Québec.
SPIE acquiert la division de services en énergie et bâtiment du groupe Hochtief en 2012.
En 2013, sept sociétés ont rejoint SPIE :
- Plexal Group en Australie ;
- La branche Services Solutions du groupe allemand Hochtief (désormais Spie GmbH) ;
- Alard et Electricity Network Solutions (ENS) au Royaume-Uni ;
- Le groupe Devis en Belgique ;
- L'activité Infrastructure Services & Projects (IS&P) du groupe KPN aux Pays-Bas. IS&P forme désormais une nouvelle division au sein de SPIE Nederland : SPIE-ICS (Spie Integrated Connectivity Solutions);
- Saint-Fons Métallurgie (SFM) en France a également rejoint SPIE.
Ces acquisitions, menées presque exclusivement dans le Nord-Ouest de l'Europe et en Allemagne, constituent pour le groupe un changement de dimension en termes d'effectifs, de résultats mais aussi d'opportunités de développement.
Un des principaux développements de l'année 2014 a été le déploiement d’un réseau et d’une expertise européens dans le domaine des solutions et services ICT avec les acquisitions de Fleischhauer en Allemagne et celles de Viscom et Connectis en Suisse. L'acquisition de Scotshield Fire and Security permet d'offrir une gamme de services d'installations à SPIE, de faire son entrée sur le marché de la sécurité au Royaume-Uni et de développer son expertise dans le domaine du bâtiment intelligent.
Avec l’acquisition stratégique du groupe Numac, prestataire de services techniques et de maintenance industrielle majeur proposant un portefeuille complet de services et de solutions par l’intermédiaire de ses quatre filiales, en , Spie renforce sa présence aux Pays-Bas.
En , SPIE fait son entrée à la bourse de Paris[24], annonce avoir acquis Leven Energy Services au Royaume-Uni[25] et avoir passé un contrat de facility management avec Generali[26].
En , SPIE rachète l'entreprise Agis Fire & Security, basée à Varsovie (Pologne) et spécialisée dans la protection incendie et la sécurité des bâtiments[27]. Avec ce rachat, SPIE a réalisé sa 100e acquisition en dix ans[28].
En , Spie annonce l'acquisition pour 850 millions d'euros de SAG, une entreprise allemande spécialisée dans les services pour les collectivités[29].
En , SPIE acquiert la société allemande PMS Sicherheitstechnik + Kommunikation (PMS)[30] et elle finalise l'acquisition de l'entreprise Mer ICT aux Pays-Bas[31].
En , SPIE annonce l'acquisition de l'entreprise belge SYSTEMAT (150 employés)[32].
En , SPIE intègre l'entreprise Vigilec, entreprise française de maintenance des réseaux d'électricité, gaz et télécommunications.
Début septembre 2021, SPIE dépose une offre de rachat pour l'entreprise Equans, filiale d'Engie, dans le but de créer "le champion européen pure-player des services multi-techniques"[33].
En août 2024, SPIE a finalisé l'acquisition de 87 % d'OTTO Life Science Engineering GmbH, Allemagne (OTTO LSE), après que les autorités antitrust compétentes ont approuvé la transaction[34].
Direction de SPIE
[modifier | modifier le code]Présidents
[modifier | modifier le code]- André Berthelot : 1901-1937
- René Berthon : 1968-1982
- Georges de Buffévent : 1982-1992
- Claude Coppin : 1992-1995
- André Chadeau : 1995-1997
- Jean Monville : 1997-2009
- Gauthier Louette : depuis 2010
Actionnaires
[modifier | modifier le code]Nom | % |
---|---|
Caisse de dépôt et placement du Québec | 10,6% |
Peugeot Invest SA (Île-de-France) | 5,46% |
Aviva Investors Global Services Ltd. | 4,17% |
Natixis Investment Managers International SA | 3,93% |
Spie SA Employee Stock Ownership Plan | 3,57% |
Norges Bank Investment Management | 2,36% |
CRUX Asset Management Ltd. | 2,32% |
Financière de l'Échiquier SA | 2,29% |
The Vanguard Group, Inc. | 2,10% |
Gauthier Louette | 1,57% |
Mécénat
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- Spie entre en Bourse
- "Le groupe Empain en France. 1883-1948", thèse de de Doctorat de Caroline Suzor à l'Université catholique de Louvain en 2009 [1]
- Xavier Bezançon, et Daniel Devillebichot, Histoire de la construction moderne et contemporaine en France, Paris, Eyrolles, 2014, pp. 129-130.
- "Le patronat de l’électricité en France dans l’entre-deux-guerres", par Henri Morsel, dans le "Bulletin d'histoire de l'électricité" en 1991 [2]
- "Entreprises et pouvoir économique dans la région Rhône-Alpes (1920-1954)" par Hervé Joly, François Robert, et Alexandre Giandou, en 2009, dans les cahiers du Centre Pierre Léon d’histoire économique et sociale, à l'Institut des Sciences de l’Homme de Lyon [3]
- "Le chef d'entreprise: Évolution de son rôle au XXe siècle" par Germain Martin et Philippe Simon, en 1946 [4]
- "Histoire secrète du patronat de 1945 à nos jours: Le vrai visage du capitalisme français" par Frédéric Charpier, Martine Orange, Erwan Seznec. Editions La Découverte, 2014 [5]
- "E.D.F. et la main invisible, ou, Genèse de E.D.F" par Jean Janiaud, page 71
- "Force et Lumière : 1899-1914. Étude d’une société de production-distribution d’électricité", par Anne Bertrand-Camitaud, dans le Bulletin d'histoire de l'électricité en 1985 [6]
- "Relations entre pouvoirs publics, autorités d’occupation et société d’électricité (1940-1944)", par Patrice Paulé dans le Bulletin d'histoire de l'électricité en 1997 [7]
- "Un grand patronat français peu renouvelé à la Libération" par Hervé Joly [8]
- "Le rôle de Jean-Marie Louvel, président de la commission de l’équipement national lors de la nationalisation de l’électricité de 1945 à 1949", par Christophe Mauboussin dans le Bulletin d'histoire de l'électricité, en 1996 [9]
- Interview du ministre Marcel Paul dans «Les nationalisations ont-elles été une spoliation ? », par J.-C. Asselain, contribution à "Les nationalisations de la Libération.De l'utopie au compromis", sous la direction de Claire Andrieu, Lucette Le Van et Antoine Prost, Éditeur Presses de Sciences, en 1987, page 271 [10]
- Historique du groupe Schneider et de sa restructuration sur creusot.net
- Xavier Bezançon, et Daniel Devillebichot, Histoire de la construction moderne et contemporaine en France, Paris, Eyrolles, 2014, pp. 322.
- Christian Bataille et Robert Galley, « Rapport sur l'aval du cycle nucléaire », sur assemblee-nationale.fr, (consulté le ).
- Physique, fonctionnement et sûreté des REP - Collection Génie Atomique, Hubert Grard
- "Alsthom, C.G.E. et Thomson-C.S.F. se sont rapprochées pour reprendre Jeumont-Schneider" dans Le Monde du 25 janvier 1969 [11]
- Article d'Alphonse Thélier dans Le Monde du 8 décembre 1969 [12]
- "La C.G.E. souhaiterait un dénouement rapide de l'affaire Jeumont-Schneider". Article dans Le Monde du 27 mai 1970, par Jacqueline Grappin [13]
- [PDF] Le Figaro, 24 avril 1984 — fr. « Florilège de travaux remportés par DTP dans le Sud-Est asiatique ».
- « Une nouvelle industrie touristique Un marché sans illusions pour les Français », sur Le Monde, (consulté le ).
- « Le groupe Spie acquiert Gefca et Lapierre et renforce son offre multitechnique de proximité », sur spie.com.
- « Spie réussit son entrée à la Bourse de Paris », sur lemonde.fr.
- « Spie: acquisition de Leven Energy Services au Royaume-Uni », sur abcbourse.com.
- « Spie: contrat de 'facility management' avec Generali », sur abcbourse.com.
- « Spie fait une acquisition en Europe de l'Est », sur lefigaro.fr.
- « Spie, le "serial" acheteur "Made in France" : 100 acquisitions en 10 ans », sur latribune.fr.
- « Spie achète l'allemand SAG pour 850 M d'euros », sur lefigaro.fr, Le Figaro, .
- « Spie prend de l'ampleur avec PMS en Allemagne », sur fusacq.com.
- « Spie a finalisé l'acquisition de MER ICT », sur fusacq.com.
- « BREF - Spie acquiert le groupe belge Systemat », Investir, (lire en ligne, consulté le )
- « Spie dépose une offre pour acheter Equans, filiale d'Engie », sur LEFIGARO (consulté le ).
- (de) « SPIE unterzeichnet Vereinbarung zum Erwerb der Otto Life Science Engineering GmbH », sur SPIE (consulté le )
- Zone Bourse, « SPIE : Actionnaires Dirigeants et Profil Société | SPIE | FR0012757854 | Zone bourse », sur zonebourse.com (consulté le ).
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean Monville, Xavier Bezançon, Une histoire de Spie, 2010, (ISBN 978-2-87-623-278-5) (consulter en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Bibliothèque Spie
- Ressource relative aux organisations :