Guilherand-Granges
Guilherand-Granges [ɡijʁɑ̃ ɡʁɑ̃ʒ] est une commune française située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes, juste à l'ouest de la ville de Valence, sur la rive droite du Rhône.
Autrefois située dans la province royale du Vivarais et adhérente à la communauté de communes Rhône-Crussol depuis 2014, cette petite ville est située à 1 km de Valence, chef-lieu de la Drôme dans la vallée du Rhône. La commune est actuellement la troisième ville ardéchoise par le nombre d'habitants, après Annonay et Aubenas.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Chef-lieu de canton (bureau centralisateur depuis la réforme de 2014) du département de l'Ardèche, la commune de Guilherand-Granges est située sur la rive droite du Rhône, face à Valence (préfecture de la Drôme), à 5 minutes du centre-ville.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le modeste massif de la montagne de Crussol qui domine l'ouest du territoire communal est constitué de couches géologiques d’origine sédimentaire superposées de façon très régulière et que l’on qualifie de série.
De par sa capacité à emmagasiner la chaleur, le calcaire permet l’implantation d’espèces végétales et animales méditerranéennes malgré la latitude assez élevée. La végétation est constituée pour moitié de pelouse sèche et pour l'autre moitié de chênaie verte, landes sur marnes, falaises, éboulis sur calcaire et même de chênaie pubescente en faible proportion.
C'est une petite montagne étirée sur trois kilomètres du nord au sud. Elle représente une ligne de crêtes assez régulière dont l’altitude passe progressivement de 306 à 406 mètres. Dans la direction est-ouest, elle apparaît d'abord comme un massif dissymétrique : vers l'est, une haute falaise calcaire, surplombant des éboulis, domine la région valentinoise, tandis que vers l'ouest, la pente s’abaisse moins brutalement jusqu'au Mialan, affluent du Rhône[1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 843 mm, avec 7,1 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 904,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire est bordé par le Rhône dans sa partie orientale et le bourg et par son affluent, le Mialan, dans sa partie septentrionale[8]. Ce cours d'eau, d'une longueur de 19,9 km rejoint le fleuve en limite du territoire communal[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Guilherand-Granges est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valence, une agglomération inter-départementale dont elle est une commune de la banlieue[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune du pôle principal[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (67,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (50,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (17,6 %), eaux continentales[Note 2] (6,2 %), forêts (2,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), cultures permanentes (1,6 %)[15].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Située sur le parcours de l'ancienne route nationale 86, déclassée en route départementale (RD86) et reliant historiquement Lyon à Nîmes, la commune de Guilherand-Granges se trouve à 12 kilomètres de la gare de Valence-TGV et à 1,6 kilomètre de celle de Valence-Ville. On peut y accéder par l'autoroute A7.
Ponts
[modifier | modifier le code]Deux ponts relient les communes de Guilherand-Granges et Soyons à la ville de Valence.
- le pont Frédéric-Mistral achevé en 1967, est situé à l'est de la commune de Guilherand-Granges. Ce pont est toujours en service et mène directement au centre-ville de Valence ;
- le pont des Lônes inauguré le , situé à l'extrémité sud de la commune de Guilherand-Granges, partagé avec la commune voisine de Soyons, est, enfin, le « deuxième pont », longtemps attendu pour atténuer les problèmes de circulation entre les deux rives du Rhône. Il permet une desserte des quartiers sud de Valence et offre un accès direct au périphérique valentinois.
Durant les longues périodes où aucun pont n'était disponible, un bac à traille permettait de traverser le Rhône. Sur le territoire de la commune de Guilherand-Granges, une ancienne pile utilisée par ce bac est encore dressée.
Voies ferroviaires
[modifier | modifier le code]La commune est également traversée selon un axe nord-sud par la ligne de Givors-Canal à Grezan, aussi appelée « ligne de la rive droite du Rhône » dont le trafic voyageurs a été supprimé en 1973.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Guilherand-Granges est desservie par le réseau de bus Citéa (lignes Cité 4, 6, 8, 14 et 46) et par le réseau régional de cars de l'Ardèche, Le Sept (lignes 03, 03+ et 12) et les cars de la région Auvergne-Rhône-Alpes (ligne 73)[16],[17],[18].
Autopartage
[modifier | modifier le code]Guilherand-Granges dispose de la première voiture d'autopartage du département de l'Ardèche, mise à disposition par Citiz Alpes Loire[19],[20].
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]L'ensemble du territoire de la commune de Guilherand-Granges est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées dans la vallée du Rhône et la Basse Ardèche, mais en limite orientale de la zone no 2 qui correspond au plateau ardéchois[21].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
---|---|---|
Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Autres risques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]D'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, le nom Guilherand provient du nom d'homme germanique Williramn[23].
Grange, nom commun, "bâtiment destiné à abriter les récoltes", vient du latin populaire *granica dérivé de granum, "grain".
Initialement, la commune s'appelait « Guilherand » et n'était composée que d'un village situé au pied de la colline de Crussol et d'un deuxième hameau « les Granges ». Le hameau des Granges, situé en bordure du Rhône au débouché du pont ouvert en 1830 menant à Valence, s'est développé au cours du XXe siècle jusqu'à devenir la partie plus peuplée de la commune.
Compte tenu de la proximité immédiate de Valence et de l'homonymie avec la commune de Granges-les-Beaumont proche de Romans, ce quartier a alors été nommé « Granges-lès-Valence » par la Poste, sans être jamais été appelé ainsi par les autres administrations.
À la suite de la demande du conseil municipal, un décret du a autorisé la commune de « Guilherand » à changer de nom pour s'appeler dorénavant « Guilherand-Granges » (JO du ).
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]La ville de Guilherand-Granges est administrée par 33 élus et 140 agents communaux qui exercent tous une mission de service public.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]- Bad Soden-Salmünster (Allemagne) depuis 1996[26]
- Casalmaggiore (Italie)
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[27],[Note 3].
En 2021, la commune comptait 11 203 habitants[Note 4], en évolution de +3,14 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]La commune de Guilherand-Granges possède sur son territoire une clinique et un laboratoire d'analyses médicales .
Sports
[modifier | modifier le code]- La commune est le point de départ et d'arrivée de la première journée de la course Classic de l'Ardèche 2022.
- Le Cardinals Volleyball est un club de Volley reconnu évoluant dans le championnat national[30],[31]. Créé le 11 avril 2012 par Gérald Martinon, Nelly Da Costa et Carine Rapine, le club est spécialisé dans l'initiation au Volleyball et à la performance. Depuis 2015, le club est labellisé "club formateur" [32] par la fédération française de Volleyball, fédération délégataire d'État. Sa base de jeu se situe au complexe sportif Jean François Lamour.
Médias
[modifier | modifier le code]La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :
- Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
- Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas.
Cultes
[modifier | modifier le code]Culte catholique
[modifier | modifier le code]La communauté catholique de Guilherand-Granges est rattachée à la paroisse « Saint-Pierre de Crussol », elle-même rattachée au diocèse de Viviers[33].
Culte protestant
[modifier | modifier le code]Plusieurs établissements de cultes sont installées sur le territoire de la commune :
- Temple Protestant de Guilherand-Granges, avenue Georges Clemenceau[34].
- Église Chrétienne Evangélique, rue de Beauregard[35].
- Église Protestante Évangélique du Pays de Crussol, quartier des Croisières[36].
- Église Évangélique La Maison De Dieu, rue Alexandre Bottet[37].
Économie
[modifier | modifier le code]Guilherand-Granges dispose d'un tissu industriel dynamique et diversifié[38].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Pile de l'ancien bac à traille en bordure du Rhône ;
- Églises rattachées à la paroisse catholique Saint-Pierre de Crussol [39] : Sainte-Eulalie au "village" (XIXe siècle) et Sainte-Thérèse aux "Granges" (XXe siècle) [40]. Elles ont été consacrées respectivement les et [41] ;
- Temple de l'Église protestante unie de France ouvert au culte en 1971[40].
- Monument aux morts communal. Situé à l'origine à proximité de la mairie, celui-ci a été déplacé dans un espace vert[42].
Espaces verts et fleurissement
[modifier | modifier le code]En 2015, la commune obtient le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris[43].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean Chièze (1898-1975), graveur et illustrateur ;
- Bernard Nayroles (1937-2019), mathématicien, professeur des Universités[44] ;
- Dominique Bathenay (né en 1954), footballeur ;
- Pascal Fugier (né en 1968), footballeur ;
- Benoît Peschier (né en 1980), kayakiste, champion olympique ;
- Fiona Porte (née en 1989), traileuse française ;
- Jérôme Boyer (né en 1989), photographe et vidéaste français, commercialisant des clichés et vidéos sur les fétichismes dans 78 pays[45] ;
- Elena Faliez (1995-), mannequin, Miss Île-de-France 2024.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D’or à deux lettres capitales G adossées et enlacées de sinople. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Site rhonecrussol.fr, page "Étude géologique sur le site naturel de Crussol-Soyons", consulté le 13 novembre 2021.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Guilherand-Granges et Étoile-sur-Rhône », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau (V4000520) ».
- Site gralon.net, page sur le Mialan, consulté le 13 novembre 2021.
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Citéa
- Le Sept
- La Région.
- « Une station d’auto partage en centre-ville ».
- « Ardèche – Mobilité : une nouvelle station d’autopartage ».
- Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
- Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
- Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud,1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 337
- Antressangle 1998, p. 55.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 à Guilherand-Granges, publié le sur le site du Conseil départemental de l'Ardèche (consulté le ).
- « Städtepartnerschaft » Site web de la ville de Bad Soden-Salmünster, consulté le 8 avril 2017.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- David Milhot, « Volley-ball - Les Cardinals de Guilherand-Granges se frottent à la Nationale 3 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Mistral tv Drôme Ardèche, (consulté le ).
- « Ardèche. Volley : une montée en nationale historique pour les Cardinals de Guilherand-Granges », sur ledauphine.com (consulté le ).
- « Listing clubs labellisés en France ».
- Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse Saint-Pierre de Crussol.
- « Eglise Protestante Unie de France ».
- « Église Chrétienne Évangélique de Guilherand ».
- « Église Protestante Évangélique du Pays de Crussol ».
- « La Maison de Dieu ».
- « Créer des listes personnalisées d'entreprises avec Verif.com », sur verif.com (consulté le ).
- site de la paroisse Saint-Pierre de Crussol
- site 40000clochers.com
- Annuaire du diocèse de Viviers.- 1996.- 224 p.
- Sute ledauphine.com, article "Guilherand-Granges : 50 000 euros pour déplacer le monument aux morts".
- « Les villes et villages fleuris - Site officiel des Villes et Villages Fleuris, label de qualité de vie », sur cnvvf.fr (consulté le ).
- site LMA
- « Page Google de l'auto entreprise Bob45 photos vidéos » (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Gilbert Antressangle (préf. Dr Henri-Jean Arnaud), Guilherand-Granges : Histoire et anecdotes, Le Cheylard, Éditions Dolmazon, , 256 p., 24 cm (ISBN 2911584066, OCLC 406789057, BNF 37070089, SUDOC 049718401, présentation en ligne, lire en ligne)