Panthers de la Floride
| Fondation | 1993 |
|---|---|
| Siège | Sunrise (Floride, États-Unis) |
| Patinoire (aréna) | Amerant Bank Arena |
| Couleurs |
Bleu marine, rouge, or, blanc |
| Ligue | Ligue nationale de hockey |
| Association | Association de l'Est |
| Division | Division Atlantique |
| Capitaine | Aleksander Barkov |
| Capitaines adjoints |
Aaron Ekblad Matthew Tkachuk Patric Hörnqvist |
| Entraîneur-chef | Paul Maurice |
| Directeur général | William Zito |
| Propriétaire | Sunrise Sports and Entertainment (Vincent Viola (en)) |
| Équipe(s) affiliée(s) |
Checkers de Charlotte (LAH) Ghost Pirates de Savannah (ECHL) |
| Site web | http://panthers.nhl.com/ |
Les Panthers de la Floride, en anglais Florida Panthers, sont une franchise professionnelle de hockey sur glace d'Amérique du Nord. Cette équipe de la Ligue nationale de hockey (également désignée par le sigle LNH) joue à Sunrise dans l'aire métropolitaine de Miami, et son siège est à Miami en Floride. Les Panthers sont membres de la division Atlantique de l'association de l'Est et jouent leurs matchs dans l'aréna du Amerant Bank Arena depuis 1998. Le nom de la franchise vient de la panthère de Floride.
L'équipe commence à jouer dans la LNH pour la saison 1993-1994. Elle atteint la finale de la Coupe Stanley en 1996, perdant face à l'Avalanche du Colorado. En 2023, la franchise floridienne réussit l'exploit de se qualifier pour la finale de la Coupe Stanley pour la deuxième fois de son histoire, en ayant terminé la saison régulière en huitième position de l'association Est.
Le , l'équipe gagne la coupe Stanley pour la première fois de la franchise contre les Oilers d'Edmonton. Les Florida Panthers ont battu les Edmonton Oilers (2-1), lundi à domicile, lors du match 7 de la finale de NHL[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Les débuts dans la LNH
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Le , Wayne Huizenga, un des dirigeants de la société Blockbuster Video, reçoit de la Ligue nationale de hockey une franchise et il annonce alors que la nouvelle équipe sera basée dans l'aire métropolitaine de Miami[2]. Au cours du mois de , Huizenga et la LNH annoncent ensuite que la nouvelle équipe fera ses débuts au cours de la saison 1993-1994[2] avec William Torrey (en) en tant que président, Bob Clarke vice-président et directeur général[3], Dean Jordan comme deuxième vice-président[2] et Roger Neilson entraîneur[3]. L'équipe de la Floride du Sud est officiellement nommée « Panthers de la Floride » le en référence à la panthère de Floride, une des sous-espèces de pumas[2].
Au cours de cette même saison 1993-1994, les Mighty Ducks d'Anaheim doivent faire leur début et un repêchage d'expansion est organisé au cours du mois de juin afin que les deux nouvelles équipes puissent avoir un effectif complet. Ainsi, quarante-huit joueurs sont choisis par les Ducks et par les Panthers, le premier choix de ces derniers se portant sur le gardien de but John Vanbiesbrouck[2]. Quelques jours plus tard, le repêchage d'entrée dans la LNH a lieu et l'équipe de la Floride choisit Rob Niedermayer[4].
L'équipe fait ses débuts dans la LNH le sur la glace des Blackhawks de Chicago dans un match nul qui s'est soldé par la marque de 4-4. Le premier but de l'histoire de la franchise a été inscrit par Scott Mellanby[2]. Trois jours plus tard, l'équipe connaît sa première victoire contre le Lightning de Tampa Bay dans l'aréna du Lightning avec un blanchissage[Note 1] 2-0 de Vanbiesbrouck[5]. Les Panthers jouent pour la première fois dans leur aréna, la Miami Arena, le face aux Penguins de Pittsburgh, dans une défaite de 2-1[5].
En , Bob Kudelski, qui vient d'arriver au club, et Vanbiesbrouck sont sélectionnés pour participer au 45e Match des étoiles de la LNH[5]. Kudelski marque deux buts lors de ce match dans une victoire de la Conférence de l'Est 9-8[6]. Au cours de ce même mois, les Panthers inscrivent cinq buts lors d'une même période contre les Canadiens de Montréal et remportent la rencontre 8-3[5]. Le dernier match de la saison est une victoire 4-1 contre les Islanders de New York pour un total de 83 points, le plus haut total pour une équipe dans sa première saison dans la LNH[5]. Malgré cette performance, l'équipe finit à la cinquième place de la division Atlantique[7] et n'est pas qualifiée pour les séries éliminatoires de la Coupe Stanley[8]. Bob Kudelski termine meilleur pointeur de l'équipe avec 70 points[Note 2] devant Scott Mellanby, auteur de 60 points[9]. Jesse Bélanger, bien qu'ayant déjà joué quelques rencontres avec les Canadiens et ayant remporté la Coupe Stanley 1993, est considéré comme joueur recrue[Note 3], et il termine troisième pointeur de l'équipe avec 50 points (un record pour une recrue des Panthers qui tient toujours au début de la saison 2010-2011[10]). Vanbiesbrouck est mis en avant en étant sélectionné dans la deuxième équipe d'étoiles de la LNH[11].
Au cours de l'été qui suit, Clarke est démis de ses fonctions de vice-président et directeur-général de la franchise et Bryan Murray est nommé pour le second des deux postes[5]. Par ailleurs, Ed Jovanovski est le premier choix de l'équipe au cours du repêchage de la LNH 1994, le tout premier joueur sélectionné[4] mais il ne rejoint pas immédiatement la LNH; il jouera encore une saison en ligue junior[5]. En raison d'une grève, seulement quarante-huit matchs sont joués au cours de la saison 1994-1995 et les Panthers terminent une nouvelle fois cinquième de la division et sont éliminés de la course aux séries[8]. Avec vingt-neuf points, Stu Barnes et Bélanger sont les deux meilleurs pointeurs de l'équipe[12].
Une défaite en finale, Year of the Rat
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À la suite de deux saisons sans qualifications pour les séries, la direction des Panthers décide de renvoyer l'entraîneur Neilson et nomme James MacLean pour le remplacer[5]. Ils profitent également de l'intersaison pour faire signer son premier contrat professionnel à Jovanovski pour une durée de cinq ans et un contrat de 5,7 millions de dollars[13] puis ils sélectionnent Radek Dvořák lors du premier tour du repêchage[4]. L'équipe fait également signer une prolongation de contrat pour leur gardien de but pour une durée de trois nouvelles saisons et une somme de 6,5 millions de dollars[14].
Les Panthers débutent la saison 1995-1996 en jouant le contre les champions en titre de la Coupe Stanley, les Devils du New Jersey et perdent la rencontre 4-0[15]. Le lendemain contre les Flames de Calgary, Scott Mellanby inscrit un doublé lors de la victoire 4-3 alors qu'il a tué un rat entre deux tiers temps dans les vestiaires. Vanbiesbrouck déclare alors après match que Mellanby a inscrit un Rat Trick en faisant un jeu de mots avec le terme anglais « hat trick » correspondant à trois buts par le même joueur – en français un coup du chapeau[16]. Les fans de l'équipe entendent parler de l'anecdote et, au cours des matchs qui suivent, des jouets en forme de rats sont jetés sur la glace du Miami Arena par les fans quand leur équipe inscrit un but[17].
Au cours du mois de janvier, MacLean, Mellanby et Vanbiesbrouck sont invités au 46e Match des étoiles de la LNH[16]. Le 23 de ce même mois, Johan Garpenlöv inscrit le premier coup du chapeau de l'histoire de l'équipe lors d'une victoire 5-4 contre les Capitals de Washington[16].
À la fin de la saison régulière, l'équipe de la Floride termine à la quatrième place de la association de l'Est et compte 92 points. Ils se qualifient pour la première fois pour les séries éliminatoires[7] et rencontrent en première ronde les Bruins de Boston, cinquièmes de la conférence. Les joueurs des Panthers ont l'avantage de la glace pour les première, deuxième, cinquième et septième parties le cas échéant[Note 4]. Lors du premier match des séries, joué devant une salle comble de 14 696 personnes, les Panthers l'emportent six buts à trois[16] avec le premier but inscrit par les Panthers par l'intermédiaire de Ray Sheppard[18]. Les Panthers éliminent leur opposant en cinq matchs grâce à trois victoires lors des trois premières rencontres. Le but de la victoire du cinquième match est inscrit par Bill Lindsay à cinq minutes de la fin de la rencontre.
L'équipe de la Floride rencontre au deuxième tour les Flyers de Philadelphie, premiers de la division Atlantique mais également de la conférence sur la saison régulière. Les Panthers surprennent les Flyers chez eux lors de la première date de la série avec un blanchissage de Vanbiesbrouck et deux buts inscrits par Barnes et par Dave Lowry[19],[20]. Les Panthers remportent les quatrième et cinquième matchs en prolongation par un but de Lowry pour la première date et par Mike Hough pour la seconde. Hough permet aux siens de mener la série 3-2 à la suite de deux prolongations[16]. Les joueurs de Floride font la surprise en éliminant les Flyers au cours du match suivant sur le score de 4 buts à 1 dans la salle de Miami[21]. Les Panthers sont opposés en finale de la conférence aux Penguins de Pittsburgh, deuxièmes de la conférence au cours de la saison et donc favoris de la série. Ce sont encore une fois les Panthers qui sortent victorieux de la série en sept matchs : ils surprennent les Penguins 5-1 sur leur glace lors du premier match en empêchant les deux vedettes, Mario Lemieux et Jaromír Jágr, d'inscrire le moindre but[22] puis remportent le dernier et septième match de la série le 1er juin. Les Panthers gagnent le match encore une fois sur la glace des Penguins 3-1 avec 39 arrêts de Vanbiesbrouck[23].
Ils remportent ainsi le titre de champions de l'association de l'Est et reçoivent le trophée Prince de Galles[24] après seulement leur troisième saison[25]. Ils retrouvent en finale de la Coupe Stanley l'Avalanche du Colorado, nouvelle forme de la franchise des Nordiques de Québec, et deuxième équipe de la Conférence de l'Ouest sur la saison régulière. Après avoir gagné le premier match 3-1, le Colorado remporte également le deuxième match. Au cours de cette rencontre, Peter Forsberg inscrit un triplé en une période, devenant le sixième joueur de l'histoire a réaliser cette performance[26]. L'équipe remporte également le troisième match dans la patinoire des Panthers sur la marque de trois buts à deux, le but vainqueur étant inscrit par Joseph Sakic. Lors du quatrième match, l'Avalanche du Colorado et les Panthers de la Floride ne parviennent pas à inscrire le moindre but lors du temps réglementaire, Patrick Roy et Vanbiesbrouck arrêtant 29 et 35 tirs chacun. Trois périodes de prolongation sont nécessaires pour voir un vainqueur et le but du défenseur de l'Avalanche, Uwe Krupp, le seul but du match, est inscrit au bout de 104 minutes et 31 secondes de jeu[25]. Deux jours plus tard, les fans de la franchise accueillent l'ensemble de l'équipe pour les remercier de la saison qu'ils viennent de vivre[16].
Identité de l'équipe
[modifier | modifier le code]Les maillots et logotypes
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Les couleurs des maillots[Note 5], sont pour une équipe de hockey une des caractéristiques pour l'identifier. Les Panthers évoluent depuis leur première saison dans des tenues à dominante bleu marine, rouge, or et blanc. Une panthère dessinée et bondissant vers l'avant est présente sur la majorité des maillots jusqu'en 2016[27].
En plus de ce logo de la panthère, l'équipe possède d'autres logos dont celui d'un soleil devant lequel un palmier et une crosse de hockey sont croisés afin de rappeler le soleil de la Floride[27]. L'équipe met également en place par la suite une variante de la panthère cassant une crosse en deux[27].
-
Premier logo principal -
Logo principal depuis 1999 -
Logo principal depuis 2016 -
Logo secondaire
La mascotte
[modifier | modifier le code]Comme de nombreuses équipes professionnelles américaines, les Panthers ont une mascotte qui occupe une grande part dans l'animation aussi bien des avant-matchs que des pauses entre les tiers-temps.
La mascotte des Panthers est nommée en l'honneur de la Coupe Stanley dès la première saison de la franchise en . Les dirigeants choisissent logiquement une panthère en tant que mascotte de l'équipe et lui donnent le nom de « Stanley C. Panther »[28].
Les joueurs et entraîneurs
[modifier | modifier le code]Au temple de la renommée
[modifier | modifier le code]Deux joueurs, Dino Ciccarelli et Igor Larionov, ont porté les couleurs de l'équipe avant d'être admis au temple, même si leur impact sur la franchise n'est pas notable. Ciccarelli et Larionov ne jouent en effet qu'une trentaine de matchs avec l'équipe[29],[30].
Mis à part ces deux joueurs, les deux personnalités suivantes sont liées à la franchise et membres du Temple de la renommée du hockey :
- William Torrey (en), ancien président de l'équipe et directeur-général en 1993 et 2001. Il est admis au temple en 1995[31] ;
- Roger Neilson, entraîneur de l'équipe entre 1993 et 1995. Il est admis en 2002 après une carrière de près de quinze ans dans la LNH[31].
Alignement actuel
[modifier | modifier le code]Cette section présente la liste des joueurs actuels des Panthers. Cet effectif peut varier au cours de la saison selon les blessures des joueurs et des renforts possibles venant des franchises associées.
| No | Nom | Nat. | Position | Arrivée | Salaire |
|---|---|---|---|---|---|
| 30 | Spencer Knight |  |
Gardien | 2020 - Repêchage | 925 000 $ |
| 72 | Sergueï Bobrovski |  |
Gardien | 2019 - Agent libre | 10 000 000 $ |
| 3 | Matt Kiersted | |
Défenseur | 2021 - Agent libre | 762 500 $ |
| 5 | Aaron Ekblad – A |  |
Défenseur | 2014 - Repêchage | 7 500 000 $ |
| 7 | Radko Gudas |  |
Défenseur | 2020 - Agent libre | 2 500 000 $ |
| 18 | Marc Staal | |
Défenseur | 2022 - Agent libre | 750 000 $ |
| 28 | Josh Mahura | |
Défenseur | 2022 - Ballottage | 750 000 $ |
| 32 | Lucas Carlsson |  |
Défenseur | 2021 - Blackhawks de Chicago | 800 000 $ |
| 42 | Gustav Forsling | |
Défenseur | 2021 - Ballottage | 2 666 667 $ |
| 62 | Brandon Montour | |
Défenseur | 2021 - Sabres de Buffalo | 3 500 000 $ |
| 6 | Colin White | |
Centre | 2022 - Agent libre | 1 200 000 $ |
| 9 | Samuel Bennett | |
Centre | 2021 - Flames de Calgary | 4 425 000 $ |
| 10 | Anthony Duclair | |
Ailier gauche | 2020 - Agent libre | 3 000 000 $ |
| 12 | Eric Staal | |
Centre | 2022 - Agent libre | 750 000 $ |
| 13 | Sam Reinhart | |
Centre | 2021 - Sabres de Buffalo | 6 500 000 $ |
| 15 | Anton Lundell |  |
Centre | 2021 - Repêchage | 925 000 $ |
| 16 | Aleksander Barkov – C | |
Centre | 2013 - Repêchage | 10 000 000 $ |
| 19 | Matthew Tkachuk – A | |
Ailier gauche | 2022 - Flames de Calgary | 9 500 000 $ |
| 21 | Nick Cousins | |
Centre | 2022 - Agent libre | 1 100 000 $ |
| 23 | Carter Verhaeghe | |
Centre | 2020 - Agent libre | 4 166 667 $ |
| 27 | Eetu Luostarinen | |
Centre | 2020 - Hurricanes de la Caroline | 1 500 000 $ |
| 70 | Patric Hörnqvist – A | |
Ailier droit | 2020 - Penguins de Pittsburgh | 5 300 000 $ |
| 94 | Ryan Lomberg | |
Ailier gauche | 2020 - Agent libre | 800 000 $ |
Capitaines
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Depuis les débuts de l'équipe, huit joueurs ont porté le titre de capitaine des Panthers[10] :
| Période | Nom du ou des joueurs |
|---|---|
| 1993-1997 | Brian Skrudland |
| 1997-2001 | Scott Mellanby |
| 2001-2002 | Pavel Boure et Paul Laus |
| 2002-2003 | Aucun capitaine |
| 2003-2008 | Olli Jokinen |
| 2008-2009 | Aucun capitaine |
| 2009-2011 | Bryan McCabe |
| 2011-2013 | Vacant |
| 2013-2014 | Ed Jovanovski |
| 2014-2016 | Willie Mitchell |
| 2016-2018 | Derek MacKenzie |
| 2018-... | Aleksander Barkov |
Choix de premier tour
[modifier | modifier le code]Chaque année depuis 1963, les joueurs des ligues juniors ont la possibilité de signer des contrats avec les franchises des ligues majeures. Cette section présente par année le ou les choix de premier tour lors des repêchages des Panthers[36].
Numéros retirés
[modifier | modifier le code]Depuis les débuts de la franchise, trois numéros ne peuvent plus être utilisés par un joueur des Panthers de la Floride.
| No | Joueur | Position | Carrière | Date du retrait |
|---|---|---|---|---|
| 1 | Roberto Luongo | Gardien de but | 1997-2019 | |
| 37 | Wayne Huizenga (en) | |||
| 93 | William Torrey (en) | |||
| 99* | Wayne Gretzky | Centre | 1978-1999 |
* Numéro retiré pour toutes les équipes par la LNH lors du 50e Match des étoiles.
Dirigeants
[modifier | modifier le code]Entraîneurs-chefs
[modifier | modifier le code]Pour les significations des abréviations, voir statistiques du hockey sur glace.
| No | Nom | Engagement | Départ | Saison régulière | Séries éliminatoires | Remarques | |||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| PJ | V | D | N [Note 6] |
DP [Note 6] |
P | % V [Note 7] |
PJ | V | D | % V | |||||
| 1 | Roger Neilson | 132 | 53 | 56 | 23 | - | 129 | 48,9 | - | - | - | - | |||
| 2 | James MacLean | 187 | 83 | 71 | 33 | - | 199 | 53,2 | 27 | 13 | 14 | 48,1 | Finale de la Coupe Stanley 1996 | ||
| 3 | Bryan Murray | 59 | 17 | 31 | 11 | - | 45 | 38,1 | - | - | - | - | |||
| 4 | Terry Murray | 200 | 79 | 79 | 31 | 11 | 200 | 50,0 | 4 | 0 | 4 | 0,0 | |||
| 5 | Duane Sutter | 72 | 22 | 35 | 8 | 7 | 59 | 41,0 | - | - | - | - | |||
| 6 | Michael Keenan | 153 | 45 | 73 | 23 | 12 | 125 | 40,8 | - | - | - | - | |||
| 7 | Richard Dudley | 40 | 13 | 15 | 9 | 3 | 38 | 47,5 | - | - | - | - | |||
| 8 | John Torchetti | 27 | 10 | 12 | 4 | 1 | 25 | 46,3 | - | - | - | - | |||
| 9 | Jacques Martin | 246 | 110 | 100 | - | 36 | 256 | 52,0 | - | - | - | - | |||
| 10 | Peter DeBoer | 246 | 103 | 107 | - | 36 | 242 | 49,2 | - | - | - | - | |||
| 11 | Kevin Dineen | 146 | 56 | 62 | - | 28 | 140 | 47,9 | 7 | 3 | 4 | 42,9 | |||
| 12 | Peter Horachek | 66 | 26 | 36 | - | 4 | 56 | 42,4 | - | - | - | - | |||
| 13 | Gerard Gallant | 185 | 96 | 64 | - | 25 | 217 | 58,6 | 6 | 2 | 4 | 33,3 | |||
| 14 | Thomas Rowe | 61 | 24 | 27 | - | 10 | 58 | 47,5 | - | - | - | - | |||
| 15 | Robert Boughner | 163 | 79 | 62 | - | 22 | 180 | 55,2 | - | - | - | - | |||
| 16 | Joel Quenneville | 132 | 79 | 40 | - | 13 | 171 | 64,8 | 10 | 3 | 7 | 30,0 | |||
| 17 | Andrew Brunette | 75 | 51 | 18 | - | 6 | 108 | 72 | 10 | 4 | 6 | 40 | |||
| 18 | Paul Maurice | - | Finale de la Coupe Stanley 2023 Coupe Stanley 2024 | ||||||||||||
Directeurs généraux
[modifier | modifier le code]| No | Nom | Engagement | Départ | Remarques |
|---|---|---|---|---|
| 1 | Robert Clarke | |||
| 2 | Bryan Murray | Finale de la Coupe Stanley 1996 | ||
| 3 | William Torrey (en) | |||
| 4 | Chuck Fletcher (en) (ad interim) | |||
| 5 | Richard Dudley | |||
| 6 | Michael Keenan | |||
| 7 | Jacques Martin | |||
| 8 | Randy Sexton (en) | |||
| 9 | Michael Tallon | |||
| 10 | Thomas Rowe | |||
| 11 | Michael Tallon | |||
| 12 | William Zito | Finale de la Coupe Stanley 2023 Coupe Stanley 2024 |
Records de la franchise
[modifier | modifier le code]Équipe
[modifier | modifier le code]70 parties ou plus
- Le plus de points : 98 en 1999-2000
- Le plus de victoires : 43 en 1999-2000
- Le plus de matchs nuls : 19 en 1996-1997
- Le plus de défaites : 45 en 2013-2014
- Le plus de buts pour : 254 en 1995-1996
- Le plus de buts contre : 257 en 2005-2006 et en 2006-2007
- Le moins de points : 60 en 2001-2002
- Le moins de victoires : 22 en 2000-2001 et en 2001-2002
- Le moins de matchs nuls : 6 en 1999-2000
- Le moins de défaites : 26 en 2011-2012
- Le moins de buts pour : 176 en 2002-2003
- Le moins de buts contre : 201 en 1996-1997
- La plus longue série consécutive de victoires (en tout) : 12, du au
- La plus longue série consécutive de victoires (à domicile) : 7, du au
- La plus longue série consécutive de victoires (à l'étranger) : 6, du au
- La plus longue série consécutive sans défaite (en tout) : 12, du 5 au (8 victoires et 4 matchs nuls) et du au (12 victoires)
- La plus longue série consécutive sans défaite (à domicile) : 8, du 5 au (7 victoires et 1 match nul)
- La plus longue série consécutive sans défaite (à l'étranger) : 7, du 7 au (5 victoires et 2 matchs nuls) et du 5 au (4 victoires et 3 matchs nuls)
- La plus longue série consécutive de défaites (en tout) : 13, du au
- La plus longue série consécutive de défaites (à domicile) : 6, du au
- La plus longue série consécutive de défaites (à l'étranger) : 13, du au
- La plus longue série consécutive sans victoire (en tout) : 15, du 1er février au (14 défaites et 1 match nul)
- La plus longue série consécutive sans victoire (à domicile) : 13, du au (11 défaites et 2 matchs nuls/défaites en prolongation)
- La plus longue série consécutive sans victoire (à l'étranger) : 16, du au (12 défaites et 4 matchs nuls)
- Le plus de blanchissages en une saison : 9 en 2008-2009
- Le plus de minutes de pénalités en une saison : 1 994 en 2001-2002
- Le plus de buts en un match : 10, le (Boston 5 en Floride 10)
Individuel
[modifier | modifier le code]- Le plus de saisons : 11, Stephen Weiss
- Le plus de matchs : 654, Stephen Weiss
- Le plus de buts en carrière : 234, Aleksander Barkov
- Le plus de passes en carrière : 366, Aleksander Barkov
- Le plus de points en carrière : 600, Aleksander Barkov (234B, 366A)
- Le plus de minutes de pénalités en carrière : 1 702, Paul Laus
- Le plus de blanchissages en carrière : 27, Roberto Luongo
- La plus longue série consécutive de matchs : 376, Olli Jokinen ( au )
- Le plus de buts en une saison : 59, Pavel Boure en 2000-2001
- Le plus de passes en une saison : 53, Viktor Kozlov en 1999-2000
- Le plus de points en une saison : 94, Pavel Boure en 1999-2000 (58B, 36A)
- Le plus de minutes de pénalités en une saison : 354, Peter Worrell en 2001-2002
- Le plus de points par un défenseur en une saison : 57, Róbert Švehla en 1995-1996 (8B, 49A)
- Le plus de points par un centre en une saison : 91, Olli Jokinen en 2006-2007 (39B, 52A)
- Le plus de points par un ailier droit en une saison : 94, Pavel Boure en 1999-2000 (58B, 36A)
- Le plus de points par un ailier gauche en une saison : 71, Ray Whitney en 1999-2000 (29B, 42A)
- Le plus de points par une recrue en une saison : 50, Jesse Bélanger en 1993-1994 (17B, 33A)
- Le plus de blanchissages en une saison : 7, Roberto Luongo en 2003-2004 et Tomáš Vokoun en 2009-2010
- Le plus de buts en un match : 4, Mark Parrish () et Pavel Boure (), ()
- Le plus de passes en un match : 4, (Réalisé en 8 occasions)
- Le plus de points en un match : 6, Olli Jokinen () (2B, 4A)
Trophées d'équipes et joueurs récompensés
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Trophées de la LNH
[modifier | modifier le code]- Coupe Stanley
- Trophée remis au vainqueur des séries éliminatoires.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Un gardien de but effectue un blanchissage quand il réussit à ne concéder aucun but durant tout le match. Il faut également qu'il soit le seul gardien de l'équipe à avoir joué.
- En 1993-1994, Bob Kudelski totalise 70 points décomposés en 41 avec les Sénateurs d'Ottawa puis 29 avec les Panthers.
- Le terme français de « recrue » désigne un joueur dans sa première saison professionnelle, le terme anglais correspondant est celui de « rookie ».
- Les séries de 1995 se jouent au meilleur des sept matchs, c'est-à-dire qu'une équipe doit remporter au moins quatre matchs pour remporter la série.
- Les maillots sont appelés chandails au Québec
- Les défaites en prolongation apparaissent lors de la saison 1999-2000, les matchs nuls disparaissent au début de la saison 2005-2006.
- Le pourcentage de victoires est calculé en prenant en compte le nombre de points gagnés par match : 2 points pour une victoire, 1 point pour un match nul ou une défaite en prolongation, 0 point pour une défaite en temps réglementaire.
Références
[modifier | modifier le code]- Olivier Paquereau, « Qui sont les Florida Panthers, les nouveaux champions NHL ? », sur L'Équipe, (consulté le ).
- Dans Florida Panthers, 2010-2011 Media Guide, page 212.
- Dans « Official Guide & Record Book / 2010 », page 70.
- Dans « Official Guide & Record Book / 2010 », page 227.
- Dans Florida Panthers, 2010-2011 Media Guide, page 213.
- (en) « NHL All-Star Game Historical Summaries - 1994 », sur le site officiel de la Ligue nationale de hockey (consulté le ).
- Dans « Official Guide & Record Book / 2010 », page 160.
- Dans « Official Guide & Record Book / 2010 », page 69.
- (en) « History: 1993-94 Season - Florida Panthers - Den Of Honor », sur le site officiel des Panthers (consulté le ).
- Dans « Official Guide & Record Book / 2010 », page 71.
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Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
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- (en) James Duplacey, Total Hockey: The Official Encyclopedia of the National Hockey League, Total Sports, (ISBN 978-0836271140)
