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Pirates des Caraïbes

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Pirates des Caraïbes
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo original de la franchise

Titre original Pirates of the Caribbean
Support d'origine L'attraction Pirates of the Caribbean
Auteur d'origine Walt Disney Imagineering
Nombre de films 5
Premier opus Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl (2003)
Dernier opus Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar (2017)
Pays d'origine Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Drapeau des États-Unis États-Unis
Thème(s) Piraterie
Inspiration(s) Mythologie maritime
Mythologie nordique
Vaudou
Mythologie grecque

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Pirates des Caraïbes (Pirates of the Caribbean) est une franchise de médias cinématographique sur la piraterie produite par Jerry Bruckheimer et Walt Disney Pictures. Elle est composée de cinq films, sortis entre 2003 et 2017.

Le premier film reprend la thématique de l'attraction très populaire Pirates of the Caribbean ouverte en 1967 à Disneyland, en Californie, et utilisant le système audio-animatronic. La franchise suit les aventures du capitaine pirate Jack Sparrow, interprété par Johnny Depp.

Développement

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Premier film

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Johnny Depp, interprète le rôle du capitaine Jack Sparrow, lors de la présentation de Pirates des Caraïbes : La Fontaine de jouvence au festival de Cannes 2011.

Plus tôt dans les années 1990, les scénaristes Ted Elliott et Terry Rossio décident d'écrire un film fondé sur l'attraction de Pirates of the Caribbean. Jay Wolpert (en) écrit un script pour Disney, fondé sur cette attraction, que le producteur refuse, pensant que c'était un « film fortement fondé sur les pirates »[1]. Stuart Beattie est appelé à réécrire le script, en , à l'aide de son savoir sur la piraterie et, plus tard durant le même mois, Elliott et Rossio sont appelés à également rédiger le script[1]. Elliott et Rossio sont inspirés par le thème de l'attraction Pirates of the Caribbean, et décident de donner à leur film un genre fantastique[2]. Alors que le budget commence à être dépensé, Michael Eisner et Robert Iger menacent d'annuler le film, bien que Bruckheimer ait changé d'avis lorsqu'il a exposé l'art conceptuel et les animatics[3].

En , Gore Verbinski signe pour réaliser Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl. Johnny Depp, ainsi que Geoffrey Rush, signent à leur tour le mois suivant pour tourner dans le film. Verbinski est attiré par l'idée d'utiliser les technologies modernes pour faire revivre un type cinématographique disparu après l'Âge d'or de Hollywood ainsi que ses souvenirs d'enfance concernant l'attraction ; ainsi, il sent [citation nécessaire] que le film est une opportunité pour exposer un genre à la fois fantastique et humoristique. Depp est séduit par le scénario dont il aime le côté excentrique : plutôt que de chercher un trésor, l'équipage du Black Pearl tente de le rendre pour se libérer de la malédiction qui s’est abattue sur eux ; de la même façon, la traditionnelle mutinerie a lieu avant même l’ouverture du film.

Le tournage de La Malédiction du Black Pearl débute le et s'achève le . À sa diffusion, beaucoup avaient l'intuition que le film serait un échec [citation nécessaire]. Le genre « pirate » n'avait en effet eu aucun succès depuis des décennies, et beaucoup pensent qu'un film fondé sur une attraction, sans véritable vedette (Depp ayant à l'époque rarement tourné dans un grand film[4]) n'aurait guère de chance de fonctionner. Cependant, La Malédiction du Black Pearl devient un succès commercial et sera extrêmement prisé de la presse et du public.

Deuxième et troisième films

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Après avoir constaté l'ampleur du succès du premier film, les acteurs et l'équipe de tournage signent pour une suite[5], Pirates des Caraïbes : Le Secret du coffre maudit et Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde. Les scénaristes Ted Elliott et Terry Rossio savent qu'avec un casting chorale, ils n'ont pas la liberté de créer de nouvelles situations et de nouveaux personnages, contrairement à Indiana Jones ou James Bond par exemple, qui ont su faire vivre les personnages à travers différents acteurs. Ils doivent ici faire la suite de La Malédiction du Black Pearl le premier film d'une trilogie[6], et tentent alors de chercher ce qui pourrait se passer après le baiser de Will Turner et d'Elizabeth Swann à la fin du premier film.

L'acteur Dale Clark imitant Johnny Depp dans Pirates des Caraïbes, dans les rues de Hollywood en 2013.

Quatrième film

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À la suite du succès de la trilogie et au désir de Depp de jouer à nouveau Jack Sparrow, un quatrième film commence à être tourné. En , Disney achète les droits d'auteurs de l'ouvrage intitulé Sur des mers plus ignorées de Tim Powers, dont Rossio et Elliot ont découvert l'existence pendant la production de Le Secret du coffre maudit et de Jusqu'au bout du monde, et décident de l'utiliser en tant que scénario principal pour le quatrième volet. Alors que Gore Verbinski est indisponible, Bruckheimer invite Rob Marshall à le réaliser[7]. Le quatrième film de la saga s'intitule Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence.

Cinquième film

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Le cinquième volet de Pirates des Caraïbes est annoncé depuis début 2013. Le , Jeff Nathanson est annoncé comme scénariste de cette nouvelle aventure[8]. Il a notamment écrit le scénario de Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal, de Steven Spielberg, sorti en 2008, et été sélectionné (hors compétition) au Festival de Cannes 2008. Le le nom des réalisateurs est révélé[9], à savoir les Norvégiens Joachim Rønning et Espen Sandberg, qui ont, notamment, réalisé Bandidas, avec Penélope Cruz qui a joué dans Pirates des Caraïbes : La Fontaine de jouvence. En 2017, le cinquième film de cette saga sort sous le nom de Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar et au Québec sous le nom de Pirates des Caraïbes : Les morts ne racontent pas d'histoires.

Le , le titre anglophone de Pirates des Caraïbes 5 est dévoilé : Pirates of the Caribbean: Dead Men Tell No Tales[10] et, le , Walt Disney Pictures en repousse la sortie, prévue pour l'été 2015, à une date ultérieure[11].

Le , Disney annonce que le film sortira finalement le [12]. Le , le gouvernement australien accorde une subvention de 21,6 millions d'USD pour le tournage de Pirates des Caraïbes 5 dans le Queensland[13].

Le , Jerry Bruckheimer, producteur du film, confirme que le tournage débute en [14] et dévoile les nouveaux membres du casting : Javier Bardem, Brenton Thwaites et Kaya Scodelario rejoignent donc Johnny Depp, Geoffrey Rush, Kevin McNally, Martin Klebba et Stephen Graham présents depuis le premier film. L'actrice Golshifteh Farahani[15] fait également partie du casting.

Orlando Bloom est officialisé lors du week-end du à l'Expo D23[16] de Disney. Il marque son retour après son absence lors du quatrième film en 2011.

Le , un teaser japonais du film dévoile la participation de Keira Knightley dans le rôle d'Elisabeth Swan. Elle marque elle aussi son retour après son absence dans le quatrième film[17].

Projet de reboot

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Le , Sean Bailey (en), directeur de Walt Disney Studios Motion Pictures Production, confirme la production d'une nouvelle série Pirates des Caraïbes mais sans Johnny Depp[18],[19],[20]. Le , les auteurs chargés de la réécriture de la saga cinématographique Pirates des Caraïbes, sont Rhett Reese et Paul Wernick[21],[22].

En , les scénaristes Craig Mazin et Ted Elliott sont engagés pour écrire le reboot[23]. Il semblerait que le personnage de Jack Sparrow incarné par Johnny Depp soit absent de ce volet, le rôle principal devrait revenir à l'actrice Karen Gillan, qui s'est fait connaître grâce au rôle de Amy Pond dans la série Doctor Who, et plus tard en tant que Nébula dans l'univers cinématographique Marvel, et Martha dans Jumanji : Bienvenue dans la jungle et Jumanji: Next Level[24].

Parallèlement à ce projet de reboot, un autre film serait en préparation, porté cette fois par l'actrice Margot Robbie. Le scénario serait signé par Christina Hodson, déjà à l'écriture du film Birds of Prey porté par Margot Robbie[25],[26]. Ce film est un spin-off avec de nouvelles histoires et de nouveaux personnages[27].

Fin , la Walt Disney Company annonce que Johnny Depp est renvoyé de la franchise Pirates des Caraïbes car ils « [cherchaient] à apporter une nouvelle énergie et vitalité à la franchise »[28],[29],[30],[31]. Cette éviction leur permet aussi d'économiser près de 90 millions de dollars[28],[29],[30],[31]. Il est suggéré par la presse que son procès contre Amber Heard, pouvant ruiner la réputation de la franchise, pourrait faire partie des raisons de cette éviction [28],[29],[30],[31]. L'annonce de cette éviction suscite le mécontentement de beaucoup d'internautes, et Kevin McNally, interprète de Joshamee Gibbs, prend la défense de Johnny Depp[32],[33],[34].

La Malédiction du Black Pearl

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Titre québécois : La Malédiction de la Perle Noire.

Logo du film Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl
Logo du film Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl

La fille du gouverneur Swann, Elizabeth, promise au commodore James Norrington, s'éprend d'un forgeron, nommé William Turner, qu'elle a sauvé des eaux lorsqu'il était enfant et auquel elle a toujours caché qu'il était le fils d'un pirate. Lorsque les pirates d'Hector Barbossa attaquent Port Royal pour retrouver le dernier médaillon aztèque manquant du trésor maudit, Elizabeth est embarquée à bord du Black Pearl. William Turner part à sa recherche avec un autre pirate : le capitaine Jack Sparrow. L'équipage du Black Pearl est hanté par la malédiction de l'or aztèque, qui change toutes les âmes au cœur impur (celles qui seraient donc amenées à toucher ce trésor maudit) en squelettes, immortels et méprisés. Ceux-ci n'ont alors plus aucune sensation corporelle ou gustative, c'est pourquoi ils cherchent à inverser la malédiction. Au cours de cette quête pour retrouver le dernier médaillon, le capitaine Barbossa est prêt à tout pour empêcher le capitaine Jack Sparrow de récupérer le Black Pearl, qu'il a perdu à la suite d'une mutinerie.

Le Secret du coffre maudit

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Titre québécois : Le coffre du Mort.

Logo de Pirates des Caraïbes : Le Secret du coffre maudit
Logo de Pirates des Caraïbes : Le Secret du coffre maudit

Jack a une dette envers le capitaine Davy Jones qui est à la tête du Hollandais volant et doit lui donner son âme. Pour éviter cela, il est à la recherche de la clé et du coffre de Davy Jones (qui contient son cœur) pour le tuer. Alors qu'ils allaient se marier, Elizabeth et Will se font arrêter par lord Cutler Beckett pour avoir aidé Jack à s'enfuir. Beckett propose alors à Will d'assurer leur liberté à condition qu'il lui ramène le compas de Jack, compas qui n'indique pas le nord mais plutôt « ce que vous voulez le plus au monde ». Will accepte le contrat. En échange de son fameux compas, Jack propose à son tour à Will un marché qui est de l'aider à retrouver la clef et le coffre de Davy Jones. À la fin de ce même film Jack Sparrow se retrouve dans l'antre de Davy Jones. Will, Elizabeth et Barbossa, alors ressuscité par la sorcière Tia Dalma, se retrouvent afin de préparer un voyage vers l'antre de Davy Jones et sauver Jack.

Jusqu'au bout du monde

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Logo du film Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde
Logo du film Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde

Barbossa, William et Elizabeth font un voyage jusqu'au bout du monde pour ramener le capitaine Sparrow, prisonnier dans l'antre de Davy Jones avec le Black Pearl. Pour cela, ils doivent obtenir la carte mystique qui mène aux limbes de Davy Jones, détenue par Sao Feng, pirate de Singapour, dans le but de faire venir Jack Sparrow à la baie des naufragés où se réunit le tribunal de la confrérie qui veut faire libérer Calypso, déesse des mers. Cependant, le Hollandais volant vogue au service de la Compagnie des Indes Orientales, dirigée par Cutler Beckett qui veut éradiquer les pirates. C'est d'ailleurs pour combattre Beckett et Jones que la confrérie se réunit et libère Calypso qui se révèle avoir été jadis liée à Davy Jones.

La Fontaine de Jouvence

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Logo de Pirates des Caraïbes : La Fontaine de jouvence
Logo de Pirates des Caraïbes : La Fontaine de jouvence

Le capitaine Jack Sparrow part à la recherche de la fabuleuse Fontaine de Jouvence : il fait route vers la Floride, sur les traces du conquistador espagnol Juan Ponce de León. Cependant, son rival de toujours, l'impétueux capitaine Barbossa, devenu corsaire au nom du roi George II de Grande-Bretagne, est lui aussi à la recherche de la fontaine. Au cours de ses aventures, de Londres à la Floride, Jack Sparrow rencontre sur sa route le légendaire et redoutable capitaine Barbe Noire, terreur des pirates. Ce dernier possède un navire, le Queen Anne's Revenge, « commandé » par son sabre et utilisant le terrible feu grégeois, faisant du vaisseau un véritable engin de guerre. Dans cette nouvelle aventure vers l'immortalité, Jack Sparrow est confronté à des sirènes, des zombies et de nombreux pirates. Il retrouve aussi une femme de son passé, Angelica, la fille de Barbe-Noire, qui l'accompagne dans sa quête vers la Fontaine.

La Vengeance de Salazar

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Titre québécois : Les morts ne racontent pas d'histoire.

Logo du film Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar
Logo du film Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar

Pour cette cinquième aventure, le capitaine Jack Sparrow est confronté à de redoutables pirates fantômes échappés du Triangle du Diable (Triangle des Bermudes), menés par le capitaine Salazar et bien décidés à se venger de Jack, qui les a conduits dans ce malheur. Son seul espoir est de retrouver le trident de Poséidon, un puissant artéfact donnant le contrôle absolu sur les mers.

Fiche technique

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Équipe du tournage Films
La Malédiction du Black Pearl
(2003)
Le Secret du coffre maudit
(2006)
Jusqu'au bout du monde
(2007)
La Fontaine de Jouvence
(2011)
La Vengeance de Salazar
(2017)
Titre québécois La Malédiction de la Perle Noire Le Coffre du Mort NC Les Morts ne racontent pas d'histoires[35]
Titre original The Curse of the Black Pearl Dead Man's Chest At World's End On Stranger Tides Dead Men Tell No Tales
Réalisateurs Gore Verbinski Rob Marshall Joachim Rønning
Espen Sandberg
Producteur Jerry Bruckheimer
Scénaristes Terry Rossio Jeff Nathanson
Ted Elliott
Stuart Beattie
Jay Wolpert (en)
Compositeurs Hans Zimmer Geoff Zanelli
Klaus Badelt Rodrigo y Gabriela
Eric Whitacre
Photographie Dariusz Wolski Paul Cameron
Monteur(s) Stephen E. Rivkin Michael Kahn Roger Barton
Craig Wood Leigh Folsom Boyd
Arthur Schmidt
Budget 140 000 000 $ 225 000 000 $ 300 000 000 $ 250 000 000 $ 230 000 000 $
Durée 143 minutes (h 23) 151 minutes (h 31) 169 minutes (h 49) 137 minutes (h 17) 129 minutes (h 9)
Dates de sortie
Drapeau des États-Unis États-Unis
Dates de sortie
Drapeau de la France France
Genre Film d'aventure, fantastique, comédie
Distributeur(s) Walt Disney Pictures, Jerry Bruckheimer Films
Film Année Box-office Budget Réf.
Drapeau des États-Unis États-Unis/Drapeau du Canada Canada Autres territoires Drapeau de la France France Alt=Image de la Terre Mondial
La Malédiction du Black Pearl 2003 305 413 918 $ 348 850 097 $ 3 864 251 entrées 654 264 015 $ 140 million $ [36],[37]
Le Secret du coffre maudit 2006 423 315 812 $ 642 863 913 $ 6 657 405 entrées 1 066 179 725 $ 225 million $ [38],[39]
Jusqu'au bout du monde 2007 309 420 425 $ 654 000 000 $ 5 763 630 entrées 963 420 425 $ 300 million $ [40],[41]
La Fontaine de Jouvence 2011 241 071 802 $ 804 642 000 $ 4 755 981 entrées 1 045 713 802 $ 410 million $ [42],[43],[44]
La Vengeance de Salazar 2017 172 558 876 $ 622 302 918 $ 3 676 016 entrées 794 861 794 $ 230 million $ [45],[46]
Totaux 1 451 717 385 3 060 256 010 24 717 283 entrées 4 510 812 495 1,305 milliard $ [47],[48]
Films Rotten Tomatoes Metacritic Allociné IMDb
Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl 80% (220 critiques) 63 (40 avis) 3,5 (12 critiques) 8/10 (878 602 notes)[49]
Pirates des Caraïbes : Le Secret du coffre maudit 53% (229 critiques) 53 (37 avis) 3,5 (22 critiques) 7,3/10 (563 244 notes)[50]
Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde 44% (227 critiques) 50 (36 avis) 3,1 (16 critiques) 7,1/10 (509 856 notes)[51]
Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence 33% (278 critiques) 45 (39 avis) 2,5 (16 critiques) 6,6/10 (404 752 notes)[52]
Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar 30% (294 critiques) 39 (45 avis) 2,9 (17 critiques) 6.5/10 (270 978 notes)[53]
Note moyenne 47,8% (1248 critiques) 50 (196 avis) 3,1 (83 critiques) 7,1/10 (2 627 432 notes)

Personnages

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Personnages principaux

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Les principaux personnages sont :

  • Angelica : ancien amour de Jack Sparrow et fille de Barbe-Noire, cette belle et dangereuse pirate est une experte dans le maniement du sabre[54].
  • Armando Salazar : autrefois Corsaire au service de l'Espagne, son équipage et lui furent tués par Jack Sparrow dans le Triangle du Diable. Il revient se venger sous forme de mort-vivant[54].
  • Barbe Noire : un pirate à l’âme noire et au cœur sombre dont le nom provoque la peur des plus courageux marins[54].
  • Carina Smyth : une jeune femme orpheline passionnée par l’astronomie et par les aventures pleines de surprises. Carina veut à tout prix retrouver son père, qui était lui aussi passionné par l’astronomie. Son père est en réalité Hector Barbossa.
  • Davy Jones  : autrefois, c’était un pirate. Il se voit, après sa mort, confier pour l’éternité le commandement du vaisseau fantôme « Le Hollandais Volant »[54].
  • Elizabeth Swann : fille du Gouverneur de Port-Royal, alors qu’elle était toute jeune, elle trouve un mystérieux naufragé. Plus tard, cette rencontre bouleversera sa vie à jamais[54].
  • Hector Barbossa : ancien rival et ennemi juré du capitaine Jack Sparrow, il doit ensuite s’allier avec lui[54] contre Davy Jones, Barbe-Noire, les Espagnols et Salazar.
  • Henry Turner : un jeune adolescent qui est en réalité le fils de Will Turner et d'Elizabeth Swann. Il fait tout pour briser la malédiction de son père et il est courageux, tout comme son père.
  • Jack le singe : prénommé ainsi pour se moquer de Jack Sparrow, ce petit singe capucin est très fidèle à son propriétaire, le capitaine Barbossa[54].
  • Jack Sparrow : le capitaine du « Black Pearl ». Il est connu sur les Sept mers pour ses arnaques et son irrévérence[54].
  • Joshamee Gibbs : matelot superstitieux qui seconde loyalement son capitaine et ami Jack Sparrow[54], malgré les mauvais traitements que ce dernier lui fait parfois subir.
  • Pintel et Ragetti : des pirates partisans de Barbossa qui se trouvent mêlés aux aventures de Jack Sparrow[54].
  • Tia Dalma : une femme mystérieuse qui pratique la magie Vaudou (c'est la forme humaine de Calypso, la Déesse des Océans)[54].
  • Will Turner : jeune homme passionné d'aventures, qui navigue sur les mers pour retrouver sa véritable identité et sauver son amour, Elizabeth Swann, puis pour libérer son père de la malédiction du vaisseau fantôme « Le Hollandais Volant », placé sous l'emprise maléfique de Davy Jones[54].

Personnages récurrents

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Comme beaucoup d'autres sagas cinématographiques, Pirates des Caraïbes comporte des personnages récurrents. Certains se retrouvent donc présents dans deux, trois, quatre ou même dans les cinq films :

Géographie

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Lieux fictifs

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  • L'île de Muerta : Une île ayant la forme d'un crâne humain, totalement introuvable, sauf par ceux qui savent où elle est. Ses eaux regorgent d'épaves et sont infestées de requins. C'est aussi ici que se trouve le trésor maudit de Cortès. Peu après la mutinerie contre Jack Sparrow, l'équipage de Barbossa s'est mis dans une quête qui durera dix ans pour retrouver toutes les pièces et Will Turner pour conjurer la malédiction.
  • Isla Pelegestos : Île dotée de grandes falaises. Elle est peuplée par une tribu d'indigènes cannibales qui capturent Will Turner, l'équipage du Black Pearl et Jack Sparrow, qu'ils prennent pour un Dieu et veulent le rôtir puis le manger pour libérer son esprit.
  • L'île des quatre vents : Île inhabitée, où subsistent en pleine jungle les ruines d'une église abandonnée et son cimetière. Le coffre de Davy Jones y est enterré sur l'une des plages.
  • L'antre de Davy Jones : Le monde des morts, où Jack Sparrow et son navire furent amenés par le Kraken. Il s'agit d'un désert de sel. Une cascade se trouve à l'entrée, ce qui rend l'accès dangereux pour l'expédition entreprise par Barbossa et son équipage. Le seul moyen de sortir de l'Antre est de retourner le navire avant le coucher du soleil, sous peine que l'équipage de Barbossa restent coincés dans l'Antre pour le reste de leur vie.
  • La Baie des Naufragés : Situé sur l'île des Naufragés, s'agit d'un empilement de navires où les neuf Seigneurs Pirates se réunissent. La réunion se déroule dans l'un de ces navires.
  • La Fontaine de Jouvence : Lieu principal du 4e film. On y trouve des marécages et des falaises. La Fontaine de Jouvence se trouve dans une clairière. C'est ici que se trouve Whitecap Bay, une baie dangereuse à cause des sirènes. On y trouve aussi le navire de Ponce de Léon au bord d'une falaise et un campement Espagnol sur une île, au milieu d'un lac.
  • La Baie du Pendu : Île tropicale, se déroulant dans le 5e et dernier film, où Jack Sparrow, Henry Turner et Carina Smyth accostent, échappant de justesse à Salazar et son équipage maudit, ceux-ci ne pouvant toucher terre. Barbossa et son équipage rejoindront les trois compères sur l'île pour libérer le Black Pearl, profitant d'être à terre pour retarder Salazar et ses sbires.

Lieux réels

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Les films présentent notamment la ville de Port Royal et l'Île de la Tortue.

  • Port Royal : ville portuaire sous la gouvernance de Weatherby Swann, le père d'Elizabeth. C'est ici que se trouve l'atelier de forgeron de Will Turner et un fort britannique commandé par James Norrington. Lord Cutler Beckett y installe un bureau ayant un grand planisphère mural dans le 2e opus et fait du fort un lieu pour y condamner les pirates.
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Port Royal, capitale de la Jamaïque britannique.
  • Île de la Tortue ou Tortuga : repaire de pirates sur lequel Jack Sparrow vient engager de nouveaux membres d'équipage. Les bagarres y sont très nombreuses et fréquentes, sur l'île.
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Tortuga (ou l'île de la Tortue) au nord de Saint-Domingue, aujourd'hui Haïti.
  • Singapour : ville où se déroule le début du 3e opus. C'est le repaire du Seigneur Pirate Sao Feng.
  • Londres : ville, capitale britannique, où Jack Sparrow retrouve Barbossa, Gibbs et Angelica dans le 4e film.
  • Triangle des Bermudes (ou triangle du Diable) : lieu délimité par une chaîne de montagnes sombres. Il s'agit d'une zone maritime hautement dangereuse à cause des nombreux récifs et de la forte obscurité à l'intérieur. Ainsi, ceux qui s'y sont aventurés ne sont jamais revenus. C'est ici que le Chasseur de Pirates Armando Salazar fut piégé avec son équipage (dans un flashback), après avoir tenté d'intercepter Jack Sparrow et son équipage.
  • Saint-Martin : île sous contrôle Britannique, se déroulant au début du dernier film. Jack Sparrow et son équipage y commettent des braquages. Il y rencontrera Henry Turner, le fils de Will Turner et d'Elizabeth Swann, qui vient le protéger et le sauver de Salazar, et Carina Smyth, une jeune astronome accusée de sorcellerie, avec qui il fera alliance pour trouver le Trident de Poséidon et échapper à Salazar.
  • Le Compas de Jack Sparrow : L'aiguille de ce compas n'indique pas le Nord, mais la direction de ce que son possesseur désire le plus. Si son dernier possesseur l'abandonne, cela libère la plus grande crainte de celui-ci. La plus grande crainte des pirates est le Chasseur de Pirates Salazar, ce qui explique pourquoi Jack Sparrow doit lui échapper.
  • Le Trésor Maudit de Cortès : Trésor Aztèque se trouvant sur l'île de la Muerta. Toute personne retirant une pièce du Coffre devient immortelle, mais se voit incapable de satisfaire ses besoins naturels et se transforme en squelette mort-vivant au clair de Lune. La malédiction ne peut être brisée que si toutes les pièces sont rassemblées dans le Coffre et que ces dernières sont imprégnées du sang de leurs voleurs ou du sang de leurs descendants.
  • Le Coffre de Davy Jones : C'est dans ce Coffre que Davy Jones a enfermé son cœur. Le Coffre ne peut s'ouvrir qu'à l'aide d'une clé spéciale, qu'il conserve sous sa barbe tentaculaire.
  • Les Pièces de Huit : c'est dans ces Pièces que les 9 Seigneurs Pirates emprisonnent la Déesse Calypso sous une forme humaine. La Pièce de Jack est une pièce accrochée à son bandeau, celle de Barbossa est l'œil de bois de Ragetti. Si toutes les Pièces sont détruites, Calypso est libérée de sa forme humaine.
  • Le Sabre de Barbe Noire : Il permet de prendre le contrôle d'un navire et même de le déplacer à distance.
  • Les Calices d'argent : Ces deux coupes sont non seulement le seul moyen d'accès à la Fontaine de Jouvence, mais aussi indispensables pour le rituel. Celui qui ne boira que l'eau de la Fontaine meurt tandis celui qui boira l'eau de la Fontaine avec une Larme de Sirène devient immortel en gagnant les années restantes de l'autre.
  • Le Trident de Poséidon : Il permet à son possesseur de contrôler l'océan et renferme aussi toutes les malédictions maritimes.

Les films présentent de nombreux bateaux, les plus fameux étant le Black Pearl, le Hollandais volant, le Queen Anne's Revenge et le Silent Mary, mais encore le brick Interceptor, les vaisseaux HMS Intrépide et HMS Endeavour (navire amiral de la flotte de la compagnie des Indes), le HMS Providence (navire de George II commandé par Barbossa, incarné par le HMS Surprise) et le Santiago de Ponce de Leon.

D'autres navires de moindre importance apparaissent au fil de la saga, notamment : l'Endinburgh Trader, incarné par la réplique du HMS Bounty et victime du kraken dans le second film ; le Hai Pang, jonque utilisée pour se rendre dans l'antre de Davy Jones ; et l'Impératrice, jonque du seigneur pirate Sao Feng dans le troisième film.

Black Pearl

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Le Black Pearl (la Perle noire au Québec) est un galion et le navire le plus rapide des Caraïbes. 14 ans avant Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl, il se nommait le Wicked Wench et appartenait à Jack Sparrow, alors sous les ordres de Cutler Beckett. Ce dernier lui mit le feu lorsque Sparrow le trahit : le navire et son capitaine coulèrent. Heureusement pour Sparrow, Davy Jones arriva, le sauva et améliora son navire pour le rendre plus rapide que tous les autres navires du monde. Mais, en échange, Jack Sparrow devra se soumettre à lui dans treize ans. Il accepta et rebaptisa le Wicked Wench en Black Pearl. Le capitaine se rendit alors à Tortuga pour trouver un équipage. C'est là qu'il rencontra Hector Barbossa et il en fit son second. Cependant ce dernier monta une mutinerie contre lui et le remplaça ensuite jusqu'à sa mort à la fin du premier film. Jack Sparrow redevint donc capitaine du Black Pearl. Cependant, lorsque Barbossa, ressuscité par Tia Dalma, revint sur le Pearl, lui et Sparrow se disputent la place de capitaine. À la fin de Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde, Barbossa s'enfuit avec. Mais après une bataille perdue contre Barbe Noire, le Black Pearl fut enfermé dans une bouteille que Jack Sparrow récupéra à la fin de Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence. Jack réussira à faire sortir le Black Pearl de la bouteille dans Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar.

Dans le premier film, le Black Pearl était une péniche en acier sur laquelle on a ajouté une structure en bois pour qu'il ressemble à un vrai navire. Pour les deuxième et troisième films, un navire à voile flottant a été effectivement construit dans les chantiers navals à Bayou La Batre dans l'Alabama sur la coque du navire HMS Sunset pour servir l'ensemble, même si ce n'est pas un grand voilier authentique. Une autre version, monté sur un cardan, a été construit pour le tournage de la bataille du Maelström dans le troisième opus.

En 2010, le Sunset a été reconstruit pour devenir le Queen Anne's Revenge pour le tournage de Pirates des Caraïbes : La Fontaine de jouvence.

Interceptor

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L'Interceptor est un brick qui apparaît dans le film Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl. C'est un navire de la marine anglaise volé par Jack Sparrow et William Turner pour prendre en chasse le Black Pearl[55]. Le navire a la réputation d'être le navire le plus rapide des Caraïbes car les bricks sont les navires les plus rapides à l'époque. Toutefois il est rattrapé et abordé par le Black Pearl puis l'équipage du Black Pearl le fait exploser à la fin de l'abordage.

Le navire utilisé pour le tournage est le brick américain Lady Washington. Il s'agit d'un deux-mâts de 34 m, réplique de 1989 d'un navire marchand et d'exploration de 1750[56].

Hollandais Volant

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Le Hollandais volant est un navire créé par la déesse Calypso (Tia Dalma) qui devait servir à Davy Jones pour transporter les morts en mer vers leur royaume. À la base, ce navire est un navire ordinaire, mais après la trahison de Calypso pour Davy Jones et la vengeance du capitaine, cette dernière décide de jeter une malédiction sur le vaisseau. Il se transforme donc en vaisseau fantôme et peut plonger sous les eaux. Il est entièrement recouvert d'algues, de coquillages, de mollusques et de crustacés et possède des triple-canons de proue qui peuvent tirer plus rapidement, pendant qu'un canon tire, un autre se recharge. Par ailleurs, il ne peut pas se retrouver sans capitaine. À la fin du troisième opus, Will Turner embroche le cœur de Davy Jones, lorsqu'il est à deux doigts de mourir, et prend sa place de capitaine. Il est finalement libéré de malédiction par son fils Henry lors du cinquième opus.

Pour l'allure du navire, la production s'est inspirée des vieilles flûtes hollandaises, sortes de galions datant du XVIIe siècle très prisées par la compagnie néerlandaise des Indes orientales. Un bâtiment particulier, le Vasa, navire de guerre suédois ayant coulé dans le port de Stockholm en 1628, a inspiré l'équipe du second opus, son château de poupe haut et richement orné servant de base aux conceptions plus fantastiques du Hollandais Volant tel qu'imaginé par Rick Heinrichs[57],[58].

Queen Anne's Revenge

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Le Black Pearl transformé en Queen Anne's Revenge en 2011.

Ce vaisseau apparaît dans La Fontaine de Jouvence et il appartient à Barbe Noire. Ce dernier peut le contrôler avec son épée. Le Queen Anne's Revenge est d'ailleurs doté de deux feux grégeois à sa proue, lui permettant de carboniser les navires ennemis. Ses parois sont ornées de crânes et d'os ayant appartenu aux victimes de Barbe Noire. Barbossa, après avoir tué le capitaine de ce vaisseau, en devient capitaine à son tour[59].

Silent Mary

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Ce navire apparaît dans Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar et est commandé par Salazar. Ce vaisseau est fantômatique comme l'équipage qui vit dessus et il est énormément abîmé du fait qu'il a coulé en se heurtant à des rochers. Il n'a pas besoin de voiles pour avancer. Sa manière de combattre un navire ennemi est de ne pas utiliser des canons mais de lever sa partie avant comme un cobra, grâce à celle-ci, il peut donc "manger" ses navires ennemis.

Séquences post-génériques

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  • La Malédiction du Black Pearl : Jack le singe revient sur l'île de la Muerta, le corps de Barbossa est étendu, inerte. Le singe regarde dans le coffre, saisit un médaillon et redevient maudit.
  • Le Secret du coffre maudit : on peut voir la tribu qui avait capturé Jack Sparrow au début du film vénérer le chien de prison.
  • Jusqu'au bout du monde : cette scène se déroule dix ans après, on voit Elizabeth avec son fils observer l'horizon. Soudain un éclair vert éclaire le ciel et le Hollandais Volant apparaît avec à son bord Will Turner.
  • La Fontaine de Jouvence : sur l'île où Angelica a été abandonnée, la poupée vaudou à l'effigie de Jack, portée par le courant, arrive aux pieds de celle-ci, elle la prend et se met à sourire.
  • La Vengeance de Salazar : on observe William et Elizabeth qui dorment dans leur chambre. Puis une personne entre dans la chambre et son ombre montre un homme avec des tentacules et lève son bras qui est en fait une pince de crabe : c'est Davy Jones. William se réveille en sursaut, se rend compte qu'il vient de rêver et se rendort. La caméra montre juste après des coquillages et de l'eau par terre.

La théologie ou mythologie établie au fil de la série est contradictoire, puisqu'elle montre des divinités ou magies de différentes origines, co-existant dans le même univers, une confusion amplifiée par un cinquième film qui perturbe la continuité des précédents films[60]. Dans le premier film, la malédiction du trésor de Cortés de l'Isla de Muerta est lancée par les dieux aztèques[60]. Les deuxième et troisième films présentent Calypso, la déesse des océans[60]. Dans le quatrième film, Barbe Noire possède l'Épée de Triton, et la fontaine de Jouvence est au centre de l'intrigue, bien qu'on ne sache pas son origine mythologique, seulement qu'elle est contraire au dogme catholique selon les Espagnols qui la détruisent[60]. Tout au long des quatre premiers films, diverses formes de magie vaudou apparaissent également[60]. Enfin, le cinquième film introduit le trident de Poséidon, qui commande les océans, et contient toutes les malédictions de l'océan, qui peuvent être annulées s'il est brisé[60]. Cela implique que Poséidon, dieu de l'océan, existe, alors que Calypso était déjà aussi puissante, et qu'il est mort, puisque le trident est censé être trouvé dans son tombeau[60].

Jeux vidéo

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Comme beaucoup d'autres sagas cinématographiques à succès, Pirates des Caraïbes a des jeux vidéo basés sur son univers. Les jeux suivent principalement les évènements de la saga.

En raison de son succès, Pirates des Caraïbes a servi d'inspiration pour Sea of Thieves (2018), un jeu vidéo sur la piraterie. Par coïncidence, Rare annonce leur collaboration avec Disney en Juin 2021 pour introduir l'univers de Pirates des Caraïbes dans le jeu vidéo avec la mise à jour A Pirate's Life (en référence à une des chansons de la franchise) le 22 Juin 2021.

Notes et références

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  3. (en) « Exclusive Interview: Jerry Bruckheimer »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur moviehole.net, (consulté le )
  4. (en) Chris Nashawaty, « Box Office Buccaneer », sur ew.com, Entertainment Weekly (consulté le )
  5. (en) Brian Linder, « Back-to-Back Pirates », sur uk.movies.ign.com, IGN, (consulté le )
  6. (en) Ted Elliott et Terry Rossio, Audio Commentary, Buena Vista, , DVD
  7. (en) Weintraub Steve, « Producer Jerry Bruckheimer On Set Interview », sur collider.com, (consulté le )
  8. « Pirates des Caraïbes 5 : Un nouveau scénariste aux commandes », sur programme-tv.net
  9. « "Pirates des Caraïbes 5" sera réalisé par… », sur allociné.fr, Allociné,
  10. « Le titre de Pirates des Caraïbes 5 dévoilé », sur allocine.fr, Allociné,
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  13. (en) Daryl Passmore, « Federal Government offers $21.6 million worth of incentives to Walt Disney Studios to film Pirates of the Caribbean in Queensland », sur couriermail.com, The Courier-Mail,
  14. Maximilien Pierrette, « Pirates des Caraïbes 5 : Kaya Scodelario confirmée, tournage en février », sur allocine.fr, (consulté le ).
  15. Christopher Ramoné, « Johnny Depp blessé sur le tournage de Pirates des Caraïbes 5 », sur purepeople.com, (consulté le ).
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  18. (en) Pamela McClintock, « Disney's Film Prodution [sic] Chief Talks ‘Mary Poppins’ and His Big Bet on 'The Lion King': "It's a New Form of Filmmaking" », sur The Hollywood Reporter, (consulté le )
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  20. (en) Gina Carbone, « Disney Sounds Confident Pirates Of The Caribbean Can Survive Without Johnny Depp », sur cinemablend, (consulté le )
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Sur les autres projets Wikimedia :

Discographie

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  • Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl (Pirates of the Caribbean : The Curse of the Black Pearl), vol. 1, 2003, 143 minutes
  • Pirates des Caraïbes : Le Secret du coffre maudit (Pirates of the Caribbean : Dead Man's Chest), vol. 2, 2006, 151 minutes
  • Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde (Pirates of the Caribbean : At World's End), vol. 3, 2007, 169 minutes
  • Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence (Pirates of the Caribbean : On Stranger Tides), vol. 4, 2011, 137 minutes
  • Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar (Pirates of the Caribbean : Dead Men Tell No Tales), vol. 5, 2017, 129 minutes

Bibliographie

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  • Glenn Dakin et Richard Platt (trad. de l'anglais), Pirates des Caraïbes : Le guide officiel, Paris, Hachette Jeunesse, , 68 p. (ISBN 978-2-01-463003-9) ou (en) Glenn Dakin et Richard Platt, Pirates of the Caribbean : The Visual Guide, Londres, Dorling Kindersley, , 69 p. (ISBN 978-0-7566-2064-6).
  • (en) Jason Surrell, Pirates of the Carribbean : From the Magic Kingdom to the movies, New York, Disney Editions, , 148 p., broché (ISBN 1-4231-0709-8).

Articles connexes

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Liens externes

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