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Motif : Il s'agit d'une page portant, non pas sur une forme de vol (vol à la tire, vol à l'arraché, etc.) mais sur l'objet du vol. Or il existe des milliers ou des dizaines de milliers de biens susceptibles d'être volés, on ne va pas faire une page sur tous les objets volables (Vol de bijoux ? Vol de ruches ?). La page (et l'interlangue en anglais) parlent du vol de cheval dans les sociétés pré-automobiles et la répression pénale. Mais c'est aussi vrai pour d'autres infractions : par exemple l'incendie d'une grange jusqu'au milieu du 19e siècle était puni de peines criminelles en France, car l'incendie d'une grange faisait que les habitants du village pouvait littéralement mourir de faim, et pourtant il n'y a pas de page Incendie de grange. On nous parle de chevaux quand on se déplaçait à cheval, pourtant il n'y a pas les pages Vol de navire ou Vol de bicyclette alors que ces objets volés sont dérobés depuis des décennies dans des centaines de pays. D'ailleurs, je propose aussi en débat d'admissibilité la page Vol de véhicule. Bref je trouve que le sujet n'est pas assez encyclopédique, qu'il est occidentalo-centré et pas assez sourcé, même en tenant compte de l'interlangue en anglais.
Le vol de chevaux est l'acte de dérober un ou plusieurs chevaux. Une personne coupable d'un vol de chevaux est nommée « voleur de chevaux ». Ce type de vol était très répandu dans le monde avant la prolifération des automobiles. Les punitions étaient souvent sévères pour le vol de chevaux, plusieurs cultures prononçant la peine de mort à l'encontre du voleur réel ou présumé. Des sociétés ont été formées aux États-Unis pour empêcher le vol de chevaux et appréhender les voleurs. Cependant, le vol de chevaux continue à se produire à travers le monde, que les chevaux soient volés pour leur viande, pour en obtenir une rançon, ou dans les cas de litiges entre leurs propriétaires et d'autres personnes.
Aux États-Unis de nombreux comités de vigilance se créent au XIXe siècle pour capturer et pendre les voleurs de chevaux. Leurs dirigeants sont généralement les hommes les plus riches de la localité[1].
Notes et références
↑Frank Browning et John Gerassi, Histoire criminelle des États-Unis, Nouveau monde, , p. 243-244
Annexes
Amélie Tsaag Valren, « Vols de chevaux : comment s’en prémunir ? », Cheval Savoir, no 42, (lire en ligne)