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Théodore Mozin

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Théodore Mozin
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Théodore Désiré Mozin, né le à Paris et mort le à Paris, est un compositeur français.

Théodore Désiré Mozin, nait dans une famille de musiciens[1]. Son père le compositeur Benoit Mozin dit le jeune, d'abord élève de François-Joseph Gossec puis professeur au Conservatoire de Paris (jusqu'en 1802), avait épousé la fille de Guichard (professeur de chant). Son oncle André Pierre figure parmi les premiers élèves admis et deviendra également professeur. Théodore entre au conservatoire et deviendra professeur et compositeur comme son père et son oncle avant lui.

  • Professeur adjoint d'étude de clavier le .
  • Second grand prix de Rome en composition musicale de 1841 (élève de Henri-Montan Berton et de Fromental Halévy). Le , il épouse Marie Rose Adéone Fossé à Paris.
  • Professeur de solfège le (nommé par Luigi Cherubini).

Décédé à 32 ans en 1850, il est inhumé au cimetière de Montmartre. Son caveau décoré d'un portrait réalisé par Antoine Etex (ami de la famille) a été vandalisé et le médaillon[2] en marbre le représentant a été dérobé.

Son frère Charles Mozin (1806-1862), peintre de marine, est le découvreur de Trouville-sur-mer.

  • Lionel Foscari, cantate sur un poème d'Amédée-David marquis de Pastoret (sujet de concours imposé pour le Prix de Rome) 1841.
  • Variations brillantes sur un thème original op. 2
  • Premier prélude op. 10
  • Six fantaisies sur « La Sirène » op. 11
  • La plainte du pâtre. Fantaisie brillante pour piano sur une mélodie de Pang Morel op. 14
  • Valses élégantes et brillantes op. 15
  • Études spéciales op. 16
  • Études de salon op. 17
  • Souvenir de Trouville. Quadrille original varié pour piano à 4 mains, éd. E. Mayaud (Paris 1850) op. 22
  • 12 Etudes spéciales pour les petites mains composées pour le piano op. 23
  • Alma, polka brillante composée pour le piano op. 25
  • Le sourire. Grande valse élégante op. 26
  • L'ange du réveil. Paroles Louis-Émile Vanderburch.
  • Contredanses suivies d'une valse pour le piano forte
  • Le dernier vœu. Romance. Paroles d'Auguste Humbert (1843)
  • Polka-mazurka originale composée pour le piano op. 54 (1851)

Références

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  1. Source primaire : la généalogie de la famille Mozin, établie par François Piet, est disponible sur GeneaNet (sur inscription).
  2. cité de la musique

Bibliographie

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  • Constant Pierre. Le Conservatoire national de musique et déclamation, Paris 1900, Imprimerie nationale (biographie p. 452, dictionnaire des lauréats, p. 818)

Liens externes

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