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« Prix Maurice-Bouvet » : différence entre les versions

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* 2000 ({{37e}}/{{38e}}) : Jean-Louis Baldacci pour son article ''La sublimation, but de la cure ?'', in ''Revue française de psychanalyse'', t. {{LXII}}, n°4, 1998, pp. 1087-1102.
* 2000 ({{37e}}/{{38e}}) : Jean-Louis Baldacci pour son article ''La sublimation, but de la cure ?'', in ''Revue française de psychanalyse'', t. {{LXII}}, n°4, 1998, pp. 1087-1102.
* 2001 ({{38e}} ?) : Christophe Dejours pour l’ensemble de ses travaux.
* 2001 ({{38e}} ?) : Christophe Dejours pour l’ensemble de ses travaux.
* 2002 (39e) Louppe Albert, pour son article : Automutilations transitoires à l’adolescence, ''Revue française de psychanalyse'', t. LXV, no 2, 2001, pp. 462-475.
* 2002 ({{39e}}) : Albert Louppe pour son article ''Automutilations transitoires à l’adolescence'', in ''Revue française de psychanalyse'', t. {{LXV}}, 2, 2001, pp. 462-475.
* 2003 (40e) Jung Rozenfarb Michèle, pour son article : Un, deux… on plonge !, ''Revue française de Psychosomatique'', no 21, 2002, pp. 103-118.
* 2003 (40e) Jung Rozenfarb Michèle, pour son article : Un, deux… on plonge !, ''Revue française de Psychosomatique'', no 21, 2002, pp. 103-118.
* 2004 (41e) Kapsambelis Vassilis, pour ses articles : Infatigables, fatigants, fatigués : la fatigue dans l’économie des pathologies schizophréniques (en coll. avec Kecskemeti Sophie), ''Revue française de Psychosomatique'', no 24, 2003, pp. 79-96 ; Formulations psychanalytiques des effets des neuroleptiques, ''Revue française de psychanalyse'', t. LXVI, no 2, 2002, pp. 447-464 ; Pour introduire les psychotropes en métapsychologie, ''Psychanalyse et psychose'', no 2, 2002, pp. 193-218.
* 2004 (41e) Kapsambelis Vassilis, pour ses articles : Infatigables, fatigants, fatigués : la fatigue dans l’économie des pathologies schizophréniques (en coll. avec Kecskemeti Sophie), ''Revue française de Psychosomatique'', no 24, 2003, pp. 79-96 ; Formulations psychanalytiques des effets des neuroleptiques, ''Revue française de psychanalyse'', t. LXVI, no 2, 2002, pp. 447-464 ; Pour introduire les psychotropes en métapsychologie, ''Psychanalyse et psychose'', no 2, 2002, pp. 193-218.

Version du 20 novembre 2024 à 20:51

Prix Maurice-Bouvet
Date de création en 1962

Le prix Maurice-Bouvet est une récompense attribuée chaque année à un écrit psychanalytique en langue française, qui peut être un texte publié dans l’année mais parfois aussi l’ensemble d’une œuvre.

Création

Maurice Bouvet est décédé en 1960, à l'âge de seulement 48 ans, à un moment où son enseignement oral était une référence pour de nombreux jeunes analystes[1]. Pierre Marty était attaché à la transmission de son héritage[pourquoi ?]. Il organise alors, en 1962, un prix destiné à encourager et valoriser l’écriture analytique[1].

C'est ainsi que la Société psychanalytique de Paris, à l'instigation de Pierre Marty et Michel Fain, crée en 1963 le Prix Maurice Bouvet, destiné soit à récompenser un jeune psychanalyste francophone pour un article clinique publié dans l’année, soit à célébrer l’œuvre d’un psychanalyste[1].

Depuis 1963, à quatre reprises aucun lauréat n'a été désigné : en 1972, 1977, 1980 et 2008[2].

Lauréats

Références

  1. a b et c Emmanuelle Chervet, « Le prix Maurice Bouvet a cinquante ans », Revue française de psychanalyse, vol. 77, no 4,‎ , p. 1147-1150 (lire en ligne).
  2. « Lauréats des prix Maurice Bouvet », sur Société psychanalytique de Paris (consulté le ).

Bibliographie