« Armendarits » : différence entre les versions
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Version du 26 janvier 2023 à 20:46
Armendarits | |||||
Le fronton adossé à l'église Saint-Pierre | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Lucien Delgue 2020-2026 |
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Code postal | 64640 | ||||
Code commune | 64046 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Armendariztar | ||||
Population municipale |
386 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 18′ 09″ nord, 1° 10′ 20″ ouest | ||||
Altitude | Min. 99 m Max. 403 m |
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Superficie | 17,27 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Armendarits est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Localisation
La commune d'Armendarits se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 104 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 46 km de Bayonne[3], sous-préfecture, et à 16 km de Saint-Palais[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Iholdy (2,3 km), Méharin (4,2 km), Saint-Esteben (5,0 km), Saint-Martin-d'Arberoue (5,2 km), Hélette (5,8 km), Irissarry (6,9 km), Lantabat (7,0 km), Isturits (7,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Armendarits fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[8],[9]. La commune est dans le pays d’Arberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire.
Voies de communication et transports
Armendarits est accessible à partir de la route départementale D14.
Lieux-dits et hameaux
- Aguerréa[10],[11]
- Aïntziondoa[10]
- Albinoritzéko Borda (2 toponymes)[10]
- Albinoritzia[10]
- Altchia[10]
- Alziéta[10]
- Ameztoya[10]
- Arbéletchia[10]
- Armandegia
- Baratchartéa[10]
- Barnetchia[10]
- Bazterrechia[10]
- Behamendy[10]
- Béhitia[10]
- Bidondoa[10]
- Bigégaïnéa[10]
- Bistaberry[10]
- Bordaberria[10]
- Bordaberriko Borda[10]
- Bordamaria[10]
- Bordécharria[10]
- Bourdinateguia[10]
- Carrica[10]
- Céhabia[10]
- Chichabalé[10]
- Chimounénéa[10]
- Chingolaénéa[10]
- Chocohonia[10]
- Curutzétako Borda[10],[11]
- Donamaria[10]
- Donapétria[10]
- Donapétriko Borda[10]
- Donamaria[10]
- Donastéya[10]
- Elhina[10]
- Elinume[10]
- Elizabéhéréko Borda[10]
- Elizatchéko Borda[10]
- Errékartéa[10]
- Etchartéa[10]
- Etchebarne[11]
- Etchébazterréa[10]
- Etchégoïnberria[10]
- Etchégoïnberriko Borda[10]
- Etchégorria[10]
- Etchénika[10]
- Etchéparéa[10]
- Eyhérabidé[10]
- Eyhéraldéa[10]
- Eyhéramounoa[10]
- Fermindéguia[10]
- Ferminéko Borda[10]
- Gaïneko-Etchebarnéa[10]
- Gaïneko-Meharu[10]
- Garatéa[10]
- Garatéko Borda[10]
- Haramburua[10]
- Harizhanditéguia[10]
- Hatsandigaraia[10]
- Iparréa[10]
- Iribarnéa[10]
- Irigaraya[10]
- Ithurburua[10]
- Ithurburuko Borda[10]
- Jauregia[12],[10]
- Jauréguicharria[10]
- Landetxeberri[10]
- Larraldéa[10]
- Larramendia[10]
- Lazalen Borda[10]
- Legartoa[10]
- Lekunberria[10]
- Marihanditéguia[10]
- Mehatzia[10]
- Mendihilia[10]
- Mendiondo[10]
- Mendirigaraya[10]
- Olhanéko Borda[10]
- Olharanéa[10]
- Orgalitegia[10]
- Ossina[10]
- Oyhanburua[10]
- Oyhénartéa[10]
- Pékoborda[10]
- Pochulua[10]
- Salla[10]
- Sallaberria[10]
- Sallaberriko Borda[10]
- Sallagoitinéa[10]
- Sorhoéta[10]
- Sorogaraia[13] ou Sorhogaraya[10]
- Suhartéko Borda[10]
- Teïleria[10]
- Uhaldea[14],[10]
- Uhartéa[10]
- Urrutia[15]
- Urritiko Borda[10]
- Zedarria[10]
Hydrographie
La commune est drainée par la Joyeuse, le Lihoury, Azkongaratéko erreka, intharteko erreka, osinako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[16],[Carte 1].
La Joyeuse, d'une longueur totale de 26,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Amendeuix-Oneix, après avoir traversé 7 communes[17].
Le Lihoury, d'une longueur totale de 45,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Came, après avoir traversé 8 communes[18].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[24] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[25],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[26]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 35 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[28], à 14,3 °C pour 1981-2010[29], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[30].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[32], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[33],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 8] sont recensées sur la commune[34],[Carte 3] :
- les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[35] ;
- le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[36].
Urbanisme
Typologie
Armendarits est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[37],[38],[39]. La commune est en outre hors attraction des villes[40],[41].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (65,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,1 %), prairies (8,4 %), forêts (3,6 %), terres arables (0,7 %)[42].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Armendarits est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Joyeuse et le Lihoury. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009 et 2014[45],[43].
Armendarits est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[46]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[47],[48].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[49]. 93 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[50].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Armendarits apparaît sous les formes Armandarys (1249[51],[52], Armendariz et Sancta Maria de Armendarids (1256[11],[51] pour les deux formes, cartulaire de Bayonne, feuillet 38[53]), Armendaridz (1256[51],[52]), armendariz (1264[52]), armendarriz (1292[52]), Armendaritz (1366[51],[52] et 1413[52]), Armendaritz (1428[11],[51], collection Duchesne volume CXIV, feuillet 169[54]), Arbendaritz (1529[11],[51], chapitre de Bayonne[55]) et Armendaritz (1650[11]).
Autres toponymes
Aguerréa est un ancien fief vassal du royaume de Navarre que le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque mentionne sous la graphie Aguerre[11].
Curutzétako Borda (du basque gurutze, provenant du latin médiéval cruce, la « croix ») pourrait être le lieu de pèlerinage mentionné par le même dictionnaire sous le vocable la croix Boria[11].
Ce même dictionnaire indique en 1863[11] qu’Etchebarne était un lieu de pèlerinage.
Paul Raymond mentionne, en 1863[11], le fief d'Élissetche, vassal du royaume de Navarre.
Graphie basque
Son nom basque actuel est Armendaritze[56].
Histoire
Paul Raymond[11] note qu'Armendarits est une ancienne baronnie, vassale du royaume de Navarre.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Armendarits appartient à six structures intercommunales[57] :
- la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
- le syndicat AEP de l'Arberoue ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal de transport scolaire du regroupement pédagogique de Méharin et Armendarits ;
- le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.
La commune est le siège du syndicat intercommunal de transport scolaire du regroupement pédagogique de Méharin et Armendarits[58].
Population et société
Démographie
Le nom des habitants est Armendariztar[59],[56].
Le recensement de 1791[60] dénombre 715 habitants à Armendarits.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[62].
En 2021, la commune comptait 386 habitants[Note 11], en évolution de −6,08 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
La commune dispose d'une école élémentaire publique[65].
Économie
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Un gaztelu zahar est présent au lieu-dit Elhina.
Les fermes[66] Sorogaraia[13], Uhaldea[14], Urrutia[15] datent du XVIIe siècle.
Le manoir Jauregia[12] date du XVIIe siècle.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Pierre[67] date des XXIIe et XVIIIe siècles.
Son cimetière contient des stèles discoïdales remarquables.
Personnalités liées à la commune
- Bernard Renau d'Eliçagaray (Eñaut d'Elizagarai), dit petit Renau, né en 1652 à Armendarits et décédé en 1719, est un mathématicien, inspecteur général de la Marine, auteur en 1689 de la théorie de la manœuvre des vaisseaux[68]. Il fut notamment célèbre pour ses galiotes à bombes[69]. La pastorale souletine de 2007 (Camou-Cihigue) lui était consacrée.
Héraldique
Blasonnement :
Écartelé aux 1 et 4 d'azur à un château d'argent, ouvert et ajouré de sable ;
aux 2 et 3 d'or à deux vaches passantes de gueules accornées aux 2 et 3 d'or à deux vaches passantes de gueules accornées.[70]
Commentaires : Ces armes, adoptées par la commune en 2002, sont celles des seigneurs d'Armendarits[71].
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Blasonnement des quartiers 2 et 3 des armoiries du village d'Armendarits : d'or à deux vaches de gueules passantes accornées, onglées, colletées et clarinées d'argent posées en pal. D'après : Armorial des communes du Pays basque.
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[31].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Armendarits » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Armendarits », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Armendarits », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune d'Armendarits », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Armendarits et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Armendarits et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Armendarits et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Armendarits », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- « Le manoir Jauregia », notice no IA64000771, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme Sorogaraia », notice no IA64000768, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme Uhaldea », notice no IA64000769, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme Urrutia », notice no IA6400077, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fiche communale d'Armendarits », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « la Joyeuse ».
- Sandre, « le Lihoury ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Station Météo-France Aicirits - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Armendarits et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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