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** Bougeoir en forme de canard. Terre cuite, tournée, avec glaçure.
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* 1929 :
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** Garçon au tour du potier. Relief en terre cuite, émaillé, avec l'inscription "1929 K.M.". 42 x {{unité|52| cm}}. {{Lien|langue=hu|trad=Kovács Margit Múzeum|fr=Musée Margit Kovacs}}, [[Szentendre]].[[File:Kovács Margit Múzeum - 2 - KKriszti.jpg|thumb|Musée Margit Kovács à Szentendre]].
** Garçon au tour du potier. Relief en terre cuite, émaillé, avec l'inscription "1929 K.M.". 42 x {{unité|52| cm}}. {{Lien|langue=hu|trad=Kovács Margit Múzeum|fr=Musée Margit Kovács}}, [[Szentendre]].[[File:Kovács Margit Múzeum - 2 - KKriszti.jpg|thumb|Musée Margit Kovács à Szentendre]].
** Paradis. Relief en terre cuite modelé avec glaçure colorée. 41 x {{unité|39| cm}}.
** Paradis. Relief en terre cuite modelé avec glaçure colorée. 41 x {{unité|39| cm}}.
** Marie avec deux pleureuses appointées. Relief en terre cuite, modelé avec l'inscription "Maria". 40 x {{unité|25|cm}}.
** Marie avec deux pleureuses appointées. Relief en terre cuite, modelé avec l'inscription "Maria". 40 x {{unité|25|cm}}.
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** Jeune fille cueillant des fleurs. Terre cuite, modelée. 21cm. Szentendre.
** Jeune fille cueillant des fleurs. Terre cuite, modelée. 21cm. Szentendre.
* 1938-42 :
* 1938-42 :
** Vierge à l'enfant. Terre cuite avec gravure, engobe et peinture sur émail, l'inscription "Maria Jézus K M". 41 x {{unité|40|cm}}. Szentendre.
** Vierge à l'enfant. Terre cuite avec gravure, [[engobe]] et peinture sur émail, l'inscription "Maria Jézus K M". 41 x {{unité|40|cm}}. Szentendre.
* 1939 :
* 1939 :
** Vase à l'archer. Terre cuite, tournée, gravée, avec peinture engobe, signée "K. M." 66cm. Szentendre.
** Vase à l'archer. Terre cuite, tournée, gravée, avec peinture engobe, signée "K. M." 66cm. Szentendre.
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* Le terme figure signifie souvent personnage.
* Le terme figure signifie souvent personnage.
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Székesfehérvár kovács margit kerámia.jpg
Székesfehérvár kovács margit kerámia.jpg|relief en céramique, rue Vármegye à [[Székesfehérvár]]
Egyemeletes lakóház (72. számú műemlék).jpg
Egyemeletes lakóház (72. számú műemlék).jpg|Madone à l'enfant. Immeuble résidentiel, 1 rue Anna, 18 rue Tárnok à Budapest
Kovács Margit Budavári kerámia.jpg
Kovács Margit Budavári kerámia.jpg|Siège du château de Buda. Panneau de céramique à la porte de Vienne du château de Buda à Budapest
Kovács Margit kerámia Budapest Vármegye utca.jpg
Kovács Margit kerámia Budapest Vármegye utca.jpg|Plaque en céramique dans la rue Vármegye à Budapest
Kovacs Margit kerámia Hollán Ernő utca.jpg
Kovacs Margit kerámia Hollán Ernő utca.jpg|Bas-relief en céramique. Hollán Ernö ST 16 à Budapest
MargitKovacs.jpg|Garçon au tour du potier. Relief en terre cuite, émaillé, avec l'inscription "1929 K.M.". 42 x {{unité|52|cm}}. Musée Margit Kovács à Szentendre.
MargitKovacs.jpg
Kovács Margit kerámia Kozma Lajos Régiposta utcai bérházán.jpg
Kovács Margit kerámia Kozma Lajos Régiposta utcai bérházán.jpg|Céramique sur l'mmeuble de l'ancienne poste
Terracotta relief by Margit Kovács. - Szent István Blvd 21, BudapestDSCN3495.jpg|Bas-relief à l'entrée d'une papeterie, 21 boulevard Saint-István, Budapest
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Version du 11 octobre 2022 à 20:39

Margit Kovács
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 74 ans)
BudapestVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom dans la langue maternelle
Kovács MargitVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Période d'activité
Autres informations
Distinctions
Prix Kossuth ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Liste détaillée
Prix Kossuth ()
Artiste émérite de Hongrie ()
Citoyen honoraire de Győr (d) ()
Prix de l’héritage hongrois (en) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Vue de la sépulture.

Margit Kovács est une céramiste et sculptrice hongroise née le à Győr et morte le à Budapest, en Hongrie.

Biographie

Orpheline d'un père enseignant alors qu'elle est encore une enfant, sa mère devient directrice d'un pensionnat de garçons. Malgré cela, elle se rend compte combien il est difficile de joindre les deux bouts. Son talent artistique apparaît très vite. Dans la rue où elle habite, un constructeur de poêles (en Hongrie certains poêles sont recouverts de céramiques comme les kachelofes en Alsace) remarque son talent artistique et la familiarise avec l'argile qui va devenir la matière qu'elle va utiliser tout au long de son existence.

Après avoir quitté l'école secondaire, elle essaie de travailler dans une banque pour gagner sa vie mais sa famille se rendant compte que cela ne correspond pas à sa vocation décide de ne renoncer à aucun effort, aucune dépense pour lui permettre de faire des études artistiques à Budapest. Elle les commence Almos Jaschik (hu), un célèbre dessinateur influencé par l'art nouveau, qui avait ouvert une école privée en 1920. Elle y reste quatre ans, de 1922 à 1926 et imprégnée de la maxime du maître «La beauté est notre pain quotidien» elle honore des commandes pour des affiches, des emballages, des illustrations, des enluminures, des reliures et des jaquettes de livres. En outre, avec une amie, Judit Kende (hu) qui deviendra céramiste comme elle, elle se rend dans l'atelier du collège des arts appliqués à Budapest pour y peindre sur de la porcelaine mais cela ne l'attire guère.

En 1926, elle quitte l'école de Jaschik, pour se rendre à Vienne, en Autriche, afin de profiter des cours de céramique de Michael Powolny, professeur au collège des arts appliqués, mais celui-ci ne pouvant l'admettre dans sa classe faute de place la présente à Hertha Bucher (de). Elle passe près de deux ans avec elle dans son petit atelier de poterie installé dans une vieille maison de la Mozart Gasse à Vienne où, en compagnie de quatre ou cinq élèves, elle pétrit l'argile du matin au soir à la manière de son professeur sur un tour de potier tout en se familiarisant à l'utilisation de vernis fluides. Lorsqu'elle a du temps libre elle visite les musées pour prolonger ses études et satisfaire sa curiosité pour l'art de la Grèce antique et de Rome. Mais par-dessus tout elle aime la splendeur du gothique et l'atmosphère de la Cathédrale Saint-Étienne de Vienne.

Elle quitte la capitale autrichienne en 1928 pour se rendre à Munich développer ses compétences en s'inscrivant aux cours de sculpture, essentiellement religieuse, de Karl Killer et aux cours de céramique d'Adelbert Niemeyer (de), à l'école royale des arts appliqués. Déjà, la même année, les productions qu'elle avait réalisées pendant ses études à Vienne sont assez appréciées pour pouvoir être exposées en 1928 à la galerie Tamas à Budapest et à la 398e exposition collective de juin au Salon national (hu) où elle expose entre autres des tasses noires et jaunes, un vase bleu décoré de raisins jaunes, un vase avec cerf, un chandelier avec trois figures animales, un autre à trois branches avec deux animaux, un troisième en forme de canard, un plat orné de motifs en relief et pouvant être insérée dans un mur, une tuile représentant une femme agenouillée qui obtiennent des éloges du critique du Magyar Iparmüvészet (hu).

Après avoir passé une année à Munich, elle revient en Hongrie, à Győr puis à Budapest où elle commence à fréquenter d'autres artistes hongrois. Malgré des conditions matérielles défavorables elle persiste : dans le petit appartement qu'elle loue, la cuisine qui lui sert d'atelier n'a pas de four pour cuire ses poteries mais sa mère l'aide beaucoup. Elle survit d'autant plus difficilement que sa clientèle se limite aux professions libérales.

En 1930 elle remporte un 1er prix à la 4e exposition internationale des arts-appliqués à Monza où elle présente des œuvres en forme de lions ou de coqs, des chandeliers à quatre branches avec des cerfs et des chandeliers à deux branches avec des renards. L'année suivante, elle réalise, pour la première fois, une commande pour l'office municipal de tourisme de Budapest un haut relief de forme circulaire «Activités traditionnelles» et pour la première fois, aussi, souvent en relation avec l'histoire sainte, des personnages en terre façonnée à la main apparaissent dans sa production : ainsi sa première figurine en poterie moulée à la ronde est exposée pendant l'été 1931 à la société des arts appliqués. De plus l'État commence à lui acheter des œuvres et l'on peut voir des illustrations représentant ses créations dans la revue "Magyar Iparmüvészet".

En 1932 elle va à Copenhague pour étudier sous la direction de Jean René Gauguin, le fils de Paul Gauguin, un céramiste et un sculpteur doué qui travaille à la Manufacture royale de porcelaine. Celui-ci n'est pas intéressé par l'enseignement mais lui conseille de se rendre à Paris. Après avoir travaillé avec J. P. Willumeen pendant quatre mois, elle suit les recommandations de Jean René Gauguin.

Elle se rend dans la capitale et visite la Manufacture nationale de Sèvres où travaille celui qui l'a poussée à s'y rendre. Elle présente des photographies de son travail au directeur qui impressionné lui signe un contrat de plusieurs mois. C'est là qu'elle apprend à façonner la chamotte qui va lui permettre de créér de nouvelles formes plus grandes et plus complexes. De 1932 à 1945 elle travaille sur des thèmes religieux d'autant plus que la plupart des commandes importantes sont faites par l'église catholique romaine. À la 4e triennale de Milan, en 1933, alors qu'elle n'a que trente et un ans, elle acquiert une reconnaissance internationale en recevant une médaille d'argent pour son exposition. En 1933-1934, à Sèvres, elle réalise sa première figurine en terre cuite «La Fille aux joues charnues»; évidemment plusieurs suivront.

En 1935 ses œuvres sont rassemblées dans une exposition qui montre l'étendue des techniques qu'elle maîtrise et la même année, elle abandonne l'utilisation d'émaux craquelés. À cette époque, depuis 1932 et jusqu'en 1945, pour répondre à la demande qui augmente (En 1936, elle a déclaré avoir été chargée de fabriquer des articles pour l'Amérique) son travail se diversifie et sert à la décoration de murs de bâtiments (par exemple «Histoire de la poste»), de niches («Saint Florian» pour la maison de Gyula Kaesz (hu), de vestibules, de cheminées avec de petits sujets en relief dont beaucoup sont destinés à l'Église catholique romaine. En 1938, elle obtient la médaille d'or de la capitale, Budapest et la médaille d'argent de la sixième triennale de Milan en 1939 pour un poêle ornemental fait pour la première exposition nationale des arts appliqués à Berlin en 1938. (Cette œuvre imposante se trouve maintenant dans une collection privée à Milan). En décembre 1938 elle expose à nouveau à la galerie Tamas à Budapest avec Lajos Erdös et Istvan Pekary et en 1942 une nouvelle exposition rassemble ses créations dont une «Adoration des mages» particulièrement appréciée.

En 1945, son activité créatrice est gravement entravée par l'inflation et le manque de matières premières et lorsqu'elle dit à un journaliste qu'elle se lancera dans la création lorsqu'elle aura du bois pour chauffer son four, elle résume bien la situation. Enfin cela ne l'empêche pas d'organiser, la même année, une exposition dans son atelier.

Les représentations, type portrait sont très rares dans son œuvre mais elle réalise celui de sa mère en 1948 qu'elle refera en bronze en 1951. «Dans cette œuvre l'artiste représente la femme qui a non seulement donné sa vie, mais qui est restée également sa fidèle compagne utile dans toutes les vicissitudes de sa carrière» écrit Madame Ilona Pataky-Brestyánszky. Et la même année la Deuxième République lui décerne le Prix Kossuth. Après la guerre, ce sont les années les plus heureuses de sa vie parce que la fin des hostilités, la reconstruction et la restructuration du pays entraînent d'importantes commandes pour les bâtiments publics. En 1953 elle rassemble 165 œuvres pour une exposition de ses plus petites créations à des poêles de deux mètres de hauteur au Salon national et reçoit, toujours en 1953 le Prix d'artiste méritant de la République populaire de Hongrie (hu). Elle continue à recevoir distnctions et récompenses : à Bruxelles le grand prix de l'Exposition universelle de 1958 et en 1959 le Prix de Hongrie pour les artistes exceptionnels. Elle expose à Rome, à Ostende pour l'exposition internationale de la céramique en 1959 et à Prague en 1962 et la même année une exposition rétrospective obtient un tel succès qu'elle est prolongée de deux semaines pourtant aucune commande ne lui parvient. Ce ralentissement n'a pas l'air de la gêner car elle déclare en 1966:«Je ne me plains pas; il est parfois bon d'avoir une période sans contrat où l'on peut laisser son imagination vagabonder et se sentir libre de faire ce que l'on veut : frises, figurines ou divers ustensiles. Pendant ce genre de période, on se détend et en même temps on se prépare pour de nouveaux projets, et on atteint le point où il n'y a aucun risque de se répéter dans sa prochaine œuvre».

Alors qu'elle a 68 ans, la plupart de œuvres, réalisées depuis 1960, sont présentées à la Galerie d'art de Budapest en 1970. Elle continue à travailler sans relâche et peu avant sa mort elle confesse :«L'argile est mon pain quotidien, ma joie et mon chagrin. Au premier toucher, elle est devenue partie intégrante de ma vie. Et depuis, ce matériau qui traverse mon sang m'élève dans un tourbillon de joie soit me plonge parfois dans la vallée du désespoir».

Cette histoire d'amour entre Margit Kovács et son travail prend fin le 4 juin 1977 à Budapest.

Elle repose désormais au Cimetière de Farkasrét.

Œuvres

Ce choix arbitraire de travaux pris dans la sélection des 447 œuvres citées et souvent commentées par Madame Ilona Pataky-Brestyanszky, «heureusement», très incomplet permet de se rendre compte des thèmes abordés (religion, folklore, histoire, animaux,...), de la fonction de ses productions (décoration, commémoration, religion, utilitaire,...), de la variété des supports au service de son expression (statuettes, niches, hauts et bas-reliefs, plats, pots, bougeoirs, poêles,...), des techniques et des matériaux utilisés selon les périodes de sa vie avec les dates et les lieux où l'on peut rencontrer ses productions.

  • 1928 :
    • Femme agenouillée. Relief en terre cuite modelée à la glaçure. 20 x 30 cm.
    • Vase avec cerfs. Terre cuite, tournée, avec glaçure.
    • Vase bleu avec figures en relief. Terre cuite, tournée, couverte de glaçure.
    • Petit Homme tenant un plat de fruits. Terre cuite, tournée, avec glaçure.
    • Bougeoir à trois figures d'animaux. Terre cuite, tournée, avec glaçure.
    • Bougeoir à trois branches avec deux animaux. Terre cuite, tournée, avec glaçure.
    • Bougeoir en forme de canard. Terre cuite, tournée, avec glaçure.
  • 1929 :
    • Garçon au tour du potier. Relief en terre cuite, émaillé, avec l'inscription "1929 K.M.". 42 x 52 cm. Musée Margit Kovács (hu), Szentendre.
      Musée Margit Kovács à Szentendre
      .
    • Paradis. Relief en terre cuite modelé avec glaçure colorée. 41 x 39 cm.
    • Marie avec deux pleureuses appointées. Relief en terre cuite, modelé avec l'inscription "Maria". 40 x 25 cm.
    • Caïn et Abel. Relief en terre cuite, modelé. 36 x 25 cm.
    • Le Rêve de Jacob. Relief en terre cuite modelé avec l'inscription "Jacob 1929 pomme(?)". 45 x 62 cm.
  • 1931 :
    • Figure féminine avec vase. Terre cuite avec glaçure. 25 cm.
  • 1932 :
    • Garçon pêcheur. Niche-relief en terre cuite, avec émaux colorés et inscription "1932 Aquam...". 40 x 35 cm. I, Ponty utca 14, Budapest.
  • 1933 :
    • Petit garçon en chemise de nuit. Terre cuite, modelée, avec glaçure. 38 cm.
    • Jeune fille tenant une chèvre. Niche-relief en terre cuite, modelée, avec émaux et inscription "Anno Domini 1933". 35 x 45 cm. Propriété de M.K.
  • 1933-34 :
    • Fille aux joues rebondies. Terre de chamotte, modelée. 39 cm. Szentendre.
    • Jeune fille se regardant dans le miroir. Terre cuite, modelée, avec glaçure. 27 cm. Szentendre.
  • 1934 :
    • Jeune Apprenti. Terre cuite, modelée, vieillie. 115 cm. Szentendre.
    • Vers 1935 :
    • Vierge en modestie. Terre cuite, modelée, vieillie. 115 cm. Propriété de M. K.
  • 1935 :
    • Mère avec son enfant. Terre cuite, modelée, vieillie. 80 cm. Szentendre.
    • Annonciation I. Relief en terre cuite, gravé, modelé, avec émaux et signé "K. M. 1935". 14 x 15 cm. Szentendre.
    • Saint-Florian. Relief de niche en terre cuite, modelé avec des émaux et l'inscription "K. M. Florian 1935". 40 cm. XIII, Fürst Sandor utca 16, Budapest.
  • 1936 :
    • Flûtiste. Terre cuite, tournée. 41 cm. Szentendre.
    • "Vanitatum Vanitas" Cadre-miroir à deux bougeoirs. Terre cuite, tournée gravée, peinte d'émaux signés "Vanitatum Vanitas 1936 KM". 43cm. Szentendre.
  • 1937 :
    • Dentelle-Oiseau. Relief en terre cuite, gravé, avec des peintures et émaux de terre et l'inscription "K. M. - Les tourterelles ne boiront pas une eau claire - Si leurs véritables aides s'envolent (traduit du hongrois). 35 x 33 cm. Disparue.
    • L'Histoire du service postal. Peinture murale en terre cuite avec émaux et inscription "K. M. Domini 1937". Anciennement au XIV, Chazar utca, Budapest.
    • Respectons les femmes. Peinture murale en terre cuite, avec glaçure. Disparue.
    • Budapest, la reine du Danube. Peinture murale, clinker, avec émaux colorés. 600 x 400 cm. Disparue. Vestige à IBUSZ, V, Roosevelt tér 5, Budapest.
  • 1938 :
    • Marc et Luc. Peinture murale, clinker, peinte avec des émaux. 90 x 107 cm. Propriété de M.K.
    • La Cène. Peinture murale, terre cuite incrustée dans de la pierre reconstituée, avec peinture engobe, émaux et ornementation gravée. 120 x 87 cm. Szentendre.
    • Annonciation II. Peinture murale, terre cuite incrustée dans la pierre reconstituée, gravée, avec peintures et émaux de terre, signée "1938 K. M.". 56 x 82 cm. Szentendre.
    • Poêle ornemental. Terre cuite, avec gravure et émaux, signée "Anno 1938" (réalisée pour la première exposition nationale des arts appliqués, Berlin, 1938). Dans une collection privée, Milan.
    • Madone quatre-quarts. Terre cuite tournée, avec peinture engobe appliquée et ornementation gravée avec l'inscription "Douce fleur, Sainte Vierge, priez pour nous - K. M.". 36 cm. Szentendre.
    • Grand pichet. Terre cuite, tournée, gravée à la peinture engobe. 70cm. Szentendre.
    • Annonciation II. Peinture murale, terre cuite incrustée dans de la pierre reconstituée, gravée, avec des peintures et des émaux de terre, signée "1938K M". 56 x 82 cm
    • Jeune fille cueillant des fleurs. Terre cuite, modelée. 21cm. Szentendre.
  • 1938-42 :
    • Vierge à l'enfant. Terre cuite avec gravure, engobe et peinture sur émail, l'inscription "Maria Jézus K M". 41 x 40 cm. Szentendre.
  • 1939 :
    • Vase à l'archer. Terre cuite, tournée, gravée, avec peinture engobe, signée "K. M." 66cm. Szentendre.
  • 1939-40 :
    • L'entrée de l'église Saint-Imre à Györ. Terre cuite, avec peinture engobe, gravée Györ.
  • 1940 :
    • Apôtres Pierre et Paul. Relief rond en clinker avec émaux. 40 cm. Szentendre.
  • 1941-42 :
    • Femme au miroir : Terre cuite, modelée, gravée, avec peinture engobe. 45cm. Propriété de M.K.
  • Vers 1942.
    • Saint Pierre. Terre cuite modelée, avec l'inscription "Petrus". 92cm. Hôtel Duna-Intercontinental, Budapest
    • Ange-colonne. Tourné et modelé, avec l'inscription "Angelus, Sanctus". 91cm. Szentendre.
  • 1942 :
    • Adoration des mages. Terre cuite murale avec gravure, peinture engobe et émaux, signée "1942 K M".
    • Bethléem. Terre cuite, tournée. Perdu.
    • La Belle au Bois Dormant. Peinture murale en terre cuite avec peinture engobe. 125 x Modèle:Unité". Propriété de M. K.
    • Pêche, chasse. Relief plat en terre cuite avec peinture engobe et émaux, et avec l'inscription "Halaszat - Vadaszat K M 1942". 80 x 115 cm. Dans le hall du II, Bimbo ut 11, Budapest.
    • Que Dieu accorde le vin, le blé et la paix. Relief en terre cuite, gravé d'ornements émaillés, signé "1942 K M". 115 x 136 cm. Propriété de M.K.
  • 1942-43 :
    • Petite fille à la poupée II. Terre cuite, modelée, signée "K. M." . 26cm. Propriété de M. K.
  • Vers 1943-44 :
    • Salomé. Terre cuite, tournée, avec peinture engobe et glaçure. 39cm. Szentendre.
  • Vers 1944 :
    • Deux pleureuses. Modelé, terre cuite avec gravure et peinture engobe. 50 cm. Szentendre.
  • 1944 :
    • Saint Michel, une niche en relief : Terre cuite, tournée, modelée, avec peinture engobe, émaillée ; l'inscription se lit "Paradisi Michael prepositus". 32 cm. Propriété de M.K.

N. B. :

  • Les œuvres marquées dans les légendes propriété de" M. K." sont légués depuis sa mort à l'Etat et à ses héritiers.
  • Le terme « glaçure » est parfois remplacé par « émaillé ».
  • Le terme figure signifie souvent personnage.

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Notes et références

Renseignements traduits de l'anglais prélevés dans le livre Margit Kovács de Ilona Pataky-Brestyánszky réédité par les éditions Corvina Kiadó en 1979 à Budapest.

Liens externes