« Jean-Julien Savary » : différence entre les versions
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Jean-Julien-Michel Savary est fait chevalier de l'[[Ordre national de la Légion d'honneur|ordre royal de la Légion d'honneur]], le {{date-|17 janvier 1805}}<ref>{{Lien web|langue=Français|titre=Procès verbal d'individualité|url=http://www2.culture.gouv.fr/LH/LH260/PG/FRDAFAN83_OL2471024V006.htm|site=culture.gouv.fr|date=4 juillet 1817|consulté le=21 septembre 2018}}</ref>. |
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Version du 21 septembre 2018 à 12:50
Pour les articles homonymes, voir Savary.
| Jean-Julien Savary | |
 Jean-Julien Savary | |
| Fonctions | |
|---|---|
| président du Conseil des Cinq-Cents | |
| – (29 jours) |
|
| Groupe politique | Conseil des Cinq-Cents |
| Prédécesseur | Dieudonné Dubois |
| Successeur | Théophile Berlier |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Jean-Julien-Michel Savary |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Vitré (Ille-et-Vilaine) |
| Date de décès | (à 86 ans) |
| Lieu de décès | Paris |
| Nationalité | .svg){kind=small} Français
|
| Parti politique | Conseil des Cinq-Cents |
| Profession | Avocat |
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Jean-Julien Savary, né le à Vitré (Ille-et-Vilaine) et mort le à Paris, est un militaire et homme politique français.
Biographie
Bien que né à Vitré[1], Jean-Julien-Michel Savary, est considéré comme un Choletais d'adoption puisqu'il se trouvait à Cholet, en 1790[2]. Avocat en 1780, il adopte les principes de la Révolution prenant une part très active aux guerres de Vendée. Il est président du tribunal de Cholet de 1790 à 1793[3].
Lorsque la guerre de Vendée éclate, Savary est capturé par les insurgés mais parvient à s'évader. Il devient ensuite commissaire civil auprès de l'état-major des généraux Canclaux et Kléber, puis adjudant-général dans l'armée de l'Ouest et participe à la bataille de Savenay. Il se montre hostile aux représailles et au plan des colonnes infernales de Turreau et à Nantes. Il tente, auprès de Carrier, de sauver les enfants vendéens faits prisonniers.
Après la virée de Galerne, il est commandant de la place de Châteaubriant en 1794 et lutte contre les chouans.
Par la suite, il entame une carrière politique et siége au conseil des Cinq-Cents et au conseil des Anciens. Il est sous-inspecteur aux revues pendant le Consulat et l'Empire[4]. Il meurt le à Paris[5].
Publication
- Guerre des Vendéens et des chouans, par un officier supérieur de l'armée de Vendée (1824-1827).
- Mon examen de conscience sur le 18 brumaire an VIII (1819).
Distinctions
Jean-Julien-Michel Savary est fait chevalier de l'ordre royal de la Légion d'honneur, le [6].
Notes et références
Notes
Références
- « Acte de naissance », sur culture.gouv.fr (consulté le )
- « Savary, Républicain et Choletais en 1790 », sur courrierdelouest.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le )
- « Jean-Julien Marie (Michel) Savary », sur geneanet.org (consulté le )
- « État de carrière », sur culture.gouv.fr (consulté le )
- « Décès », sur culture.gouv.fr (consulté le )
- « Procès verbal d'individualité », sur culture.gouv.fr, (consulté le )
Sources
- « Jean-Julien Savary », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
