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« Saint-Ulric » : différence entre les versions

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== Toponymie ==
== Toponymie ==
[[Fichier:St Ulrich Schwarzwald Pfarrkirche Kreuzaltar Ulrichsgrab detail2.jpg|thumb|left|Vue du gisant de saint Ulric ({{s-|XVIII}}) au-dessus de sa tombe dans l'église de [[Saint-Ulric en Forêt Noire]] en [[Allemagne]]]]
[[Fichier:St Ulrich Schwarzwald Pfarrkirche Kreuzaltar Ulrichsgrab detail2.jpg|thumb|left|[[Gisant]] de saint Ulric ({{s-|XVIII}})]]
L'endroit est d'abord connu sous le nom de Rivière-Blanche<ref name="village"/>. Ce fut d'ailleurs le nom officiel de la municipalité du [[12 janvier]] au [[11 novembre]] 2000<ref name="village"/>{{,}}}<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="toponymie"/>. Même après la création de Saint-Ulric, l'endroit était souvent appelé Saint-Ulric-de-Rivière-Blanche<ref name="paroisse"/>.
L'endroit est d'abord connu sous le nom de Rivière-Blanche<ref name="village"/>, dénomination ayant persisté après l'érection civile, à travers la dénomination Saint-Ulric-de-Rivière-Blanche<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="toponymie" />.


Le toponyme de Saint-Ulric est en l'honneur du juge et homme politique [[Ulric-Joseph Tessier]] ([[1817]]-[[1892]])<ref name="village"/>{{,}}<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="historique"/>. Il s'agissait d'un homme important pour la région puisqu'il possédait les seigneuries qui forme aujourd'hui les municipalités de [[Le Bic|Bic]], [[Saint-Fabien]], [[Saint-Mathieu (Québec)|Saint-Mathieu]], [[Saint-Simon (Les Basques)|Saint-Simon]] et [[Trois-Pistoles]]<ref name="village"/>. Son épouse hérita également de la [[seigneurie de Rimouski]]<ref name="village"/>. Il fit don du terrain pour construire l'église et le presbytère à Saint-Ulric<ref name="village"/>. D'ailleurs, le bureau de poste local porta le nom de Tessierville de [[1860]] à [[1911 au Québec|1911]]<ref name="paroisse"/>. [[Ulric de Ratisbonne|Saint Ulric]] était un prêtre qui fonda plusieurs monastères en [[Germanie]] au [[Moyen Âge]]<ref name="village"/>. De son côté le nom de Rivière-Blanche était directement emprunté à la rivière Blanche<ref name="paroisse"/>. Celle-ci doit son nom aux brouillons blancs créés par les chutes et les cascades sur son cours<ref name="paroisse"/>.
Le toponyme de Saint-Ulric est en l'honneur du juge et homme politique [[Ulric-Joseph Tessier]] ([[1817]]-[[1892]])<ref name="village"/>{{,}}<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="historique"/>. Il s'agissait d'un homme important pour la région puisqu'il possédait les seigneuries qui forme aujourd'hui les municipalités de [[Le Bic|Bic]], [[Saint-Fabien]], [[Saint-Mathieu (Québec)|Saint-Mathieu]], [[Saint-Simon (Les Basques)|Saint-Simon]] et [[Trois-Pistoles]]<ref name="village"/>. Son épouse hérita également de la [[seigneurie de Rimouski]]<ref name="village"/>. Il fit don du terrain pour construire l'église et le presbytère à Saint-Ulric<ref name="village"/>. D'ailleurs, le bureau de poste local porta le nom de Tessierville de [[1860]] à [[1911 au Québec|1911]]<ref name="paroisse"/>. [[Ulric de Ratisbonne|Saint Ulric]] était un prêtre qui fonda plusieurs monastères en [[Germanie]] au [[Moyen Âge]]<ref name="village"/>.
La municipalité reprend brièvement le nom de Rivèire-Blanche du {{date|12|janvier|2000}} au {{date|11|novembre|2000}}<ref name="village"/>{{,}}<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="toponymie"/>.
De son côté le nom de Rivière-Blanche était directement emprunté à la rivière Blanche<ref name="paroisse"/>. Celle-ci doit son nom aux brouillons blancs créés par les chutes et les cascades sur son cours<ref name="paroisse"/>.


Les habitants sont appelés Ulricois et Ulricoises<ref name="village"/>{{,}}<ref name="mamrot">''[http://www.mamrot.gouv.qc.ca/repertoire-des-municipalites/fiche/municipalite/08073/ Saint-Ulric]'' dans le Répertoire des municipalités du Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire du Québec, page consultée le 6 mars 2011</ref>{{,}}<ref name="portrait"/>.
Les habitants sont appelés Ulricois et Ulricoises<ref name="village"/>{{,}}<ref name="mamrot">''[http://www.mamrot.gouv.qc.ca/repertoire-des-municipalites/fiche/municipalite/08073/ Saint-Ulric]'' dans le Répertoire des municipalités du Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire du Québec, page consultée le 6 mars 2011</ref>{{,}}<ref name="portrait"/>.
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Saint-Ulric est situé au bord du [[fleuve Saint-Laurent]] sur son versant sud à {{unité|400|[[Kilomètre|km]]}} au nord-est de [[Québec (ville)|Québec]] et à {{unité|300|km}} à l'ouest de [[Gaspé (ville)|Gaspé]]<ref name="portrait">''[http://www.st-ulric.ca/municipalite/portrait/ Son portrait]'' sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011</ref>. À cette hauteur, le fleuve est appelé « la mer » à cause de sa largeur et de son eau salée<ref name="portrait"/>. Les villes importantes près de Saint-Ulric sont [[Matane (ville)|Matane]] à {{unité|15|km}} au nord-est, [[Amqui]] à {{unité|70|km}} au sud-est ainsi que [[Mont-Joli]] à {{unité|55|km}} et [[Rimouski]] à {{unité|80|km}} au sud-ouest<ref name="paroisse"/>. Saint-Ulric est situé sur la [[Route 132 (Québec)|route 132]] dans sa boucle autour de la péninsule gaspésienne entre [[Baie-des-Sables]] au sud-ouest et Matane et nord-est<ref name="paroisse"/>.
Saint-Ulric est situé au bord du [[fleuve Saint-Laurent]] sur son versant sud à {{unité|400|[[Kilomètre|km]]}} au nord-est de [[Québec (ville)|Québec]] et à {{unité|300|km}} à l'ouest de [[Gaspé (ville)|Gaspé]]<ref name="portrait">''[http://www.st-ulric.ca/municipalite/portrait/ Son portrait]'' sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011</ref>. À cette hauteur, le fleuve est appelé « la mer » à cause de sa largeur et de son eau salée<ref name="portrait"/>. Les villes importantes près de Saint-Ulric sont [[Matane (ville)|Matane]] à {{unité|15|km}} au nord-est, [[Amqui]] à {{unité|70|km}} au sud-est ainsi que [[Mont-Joli]] à {{unité|55|km}} et [[Rimouski]] à {{unité|80|km}} au sud-ouest<ref name="paroisse"/>. Saint-Ulric est situé sur la [[Route 132 (Québec)|route 132]] dans sa boucle autour de la péninsule gaspésienne entre [[Baie-des-Sables]] au sud-ouest et Matane et nord-est<ref name="paroisse"/>.


La municipalité de Saint-Ulric fait partie de la municipalité régionale de comté de Matane dans la [[Région administrative du Québec|région administrative]] du Bas-Saint-Laurent<ref name="mamrot"/>{{,}}<ref name="renseignements"/>. Elle fait partie de la région touristique de la Gaspésie. La [[paroisse]] [[Église catholique romaine|catholique]] de Saint-Ulric fait partie de l'[[archidiocèse de Rimouski]]. Lors de sa création, la municipalité faisait partie du [[Matane (canton)|canton de Matane]]<ref name="paroisse"/>.
La municipalité de Saint-Ulric fait partie de la municipalité régionale de comté de Matane dans la [[Région administrative du Québec|région administrative]] du Bas-Saint-Laurent<ref name="mamrot"/>{{,}}<ref name="renseignements"/>. Elle fait partie de la région touristique de la Gaspésie. La [[paroisse]] [[Église catholique romaine|catholique]] de Saint-Ulric fait partie de l'[[archidiocèse de Rimouski]]. Lors de sa création, la municipalité faisait partie du comté de Matane<ref name="paroisse"/>.


Le territoire de la municipalité couvre une superficie totale de {{unité|119|km|2}}, y compris une aire urbaine de {{unité|2.5|km|2}}<ref name="mamrot"/>{{,}}<ref name="renseignements">''[http://www.st-ulric.ca/municipalite/renseignements-generaux/ Renseignements généraux]'' sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011</ref>{{,}}<ref name="portrait"/>. En plus de la rivière Blanche, elle comprend également les lacs Blanc, des Cabourons et des Îles<ref name="village"/>{{,}}<ref name="paroisse"/>. D'ailleurs, l'embouchure de la rivière Blanche sur le fleuve Saint-Laurent se situe à Saint-Ulric<ref name="paroisse"/>.
Le territoire de la municipalité couvre une superficie totale de {{unité|119|km|2}}, y compris une aire urbaine de {{unité|2.5|km|2}}<ref name="mamrot"/>{{,}}<ref name="renseignements">''[http://www.st-ulric.ca/municipalite/renseignements-generaux/ Renseignements généraux]'' sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011</ref>{{,}}<ref name="portrait"/>. En plus de la rivière Blanche, elle comprend également les lacs Blanc, des Cabourons et des Îles<ref name="village"/>{{,}}<ref name="paroisse"/>. D'ailleurs, l'embouchure de la rivière Blanche sur le fleuve Saint-Laurent se situe à Saint-Ulric<ref name="paroisse"/>.
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Selon [[Statistique Canada]], la population de Saint-Ulric était de {{formatnum:1642}} habitants en 2011<ref name="statistiques"/>. La municipalité a connu une croissance démographique au cours des dernières années. En effet, en 2006, la population était de {{formatnum:1696}} habitants ; ce qui correspond à un taux de croissance de moins 3,4 % en cinq ans<ref name="statistiques"/>. L'âge [[Médiane (centre)|médian]] des Ulricois est de 46 ans<ref name="statistiques"/>.
Selon [[Statistique Canada]], la population de Saint-Ulric était de {{formatnum:1585}} habitants en 2016<ref name="statistiques">, dont 595 dans le village{{lien web|url=https://www12.statcan.gc.ca/census-recensement/2016/dp-pd/prof/details/page.cfm?Lang=F&Geo1=DPL&Code1=240180&Geo2=CSD&Code2=2408073|titre=Profil du recensement, Recensement de 2016 : Saint-Ulric, Municipalité dissoute [Localité désignée], Québec et Saint-Ulric, Municipalité [Subdivision de recensement], Québec|site=[[Statistique Canada]]|consulté le={{date|9|septembre|2018}}}}</ref>. La municipalité a connu un déclin démographique de {{unité|6,7|%}}<ref name="statistiques"/>. L'âge [[Médiane (centre)|médian]] des Ulricois est de 52,4 ans<ref name="statistiques"/>.


Le nombre total de [[logement]]s [[Propriété privée|privés]] dans la municipalité est de 916<ref name="statistiques"/>. Cependant, seulement 743 de ces logements sont habités par des résidents permanents<ref name="statistiques"/>. La majorité des logements de Saint-Ulric sont des [[Maison|maisons individuelles]]<ref name="statistiques"/>.
Saint-Ulric accueille plusieurs villégiateurs; la municipalité compte 878 [[logement]]s privés sur son territoire, mais 755 de ces logements sont habités par des résidents permanents<ref name="statistiques"/>. La quasi-totalité des logements de Saint-Ulric sont des [[Maison|maisons individuelles]]<ref name="statistiques"/>.


Selon Statistique Canada, 3,5 % de la population est issue de l'[[immigration]]<ref name="statistiques"/>. Tous les immigrants de Saint-Ulric sont arrivés au Canada avant 2000 et la majorité sont arrivés avant [[1991 au Québec|1991]]<ref name="statistiques"/>. 97,4 % de la population a le [[français]] comme [[langue maternelle]] et 0,5 % a le français et l'[[anglais]]<ref name="statistiques"/>. 1,5 % a seulement l'anglais et 0,5 % a une autre langue que le français et l'anglais en tant que langue maternelle<ref name="statistiques"/>. 15,9 % de la population maitrise les deux [[Langues au Canada|langues officielles]] et tout le monde maitrise le français<ref name="statistiques"/>. 99,7 % de la population utilise le français a la maison tandis que le reste utilise l'anglais<ref name="statistiques"/>. Selon Statistique Canada, 1,2 % de la population a une identité [[Autochtones du Québec|autochtone]]<ref name="statistiques"/>.
Selon Statistique Canada, {{unité|2,8|%}} de la population est issue de l'[[immigration]] ou n'a pas de statut de résidence<ref name="statistiques"/>. {{unité|98,8|%}} de la population a le [[français]] comme [[langue maternelle]], et {{unité|18,0|%}} de la population maitrise les deux [[Langues au Canada|langues officielles]] et tout le monde maitrise le français<ref name="statistiques"/>. Selon Statistique Canada, {{unité|1,3|%}} de la population a une identité [[Autochtones du Québec|autochtone]]<ref name="statistiques"/>.


Le [[taux de chômage]] dans la municipalité était de 12,9 % en 2006<ref name="statistiques"/>. Le revenu médian des Ulricois était de {{unité|22058|[[Dollar canadien|$]]}} en [[2005 au Québec|2005]]<ref name="statistiques"/>.
Le [[taux de chômage]] dans la municipalité était de {{unité|13,0|%}} en 2016<ref name="statistiques"/>. Le revenu médian des Ulricois était inférieur à la moyenne québécoise par {{unité|6,9|%}}, se chiffrant à {{unité|30707|[[Dollar canadien|$]]}} en [[2015 au Québec|2015]]<ref name="statistiques"/>.


31 % de la population de 15 ans et plus de Saint-Ulric n'a aucun diplôme d'éducation<ref name="statistiques"/>. 32 % de cette population n'a que le diplôme d'études secondaire ou professionnelles<ref name="statistiques"/>. Personne ne possède de diplôme de niveau [[Université|universitaire]] à Saint-Ulric<ref name="statistiques"/>. 2 % des diplômés de Saint-Ulric ont effectué leurs études à l'extérieur du Canada<ref name="statistiques"/>. Le principal domaine d'études des Ulricois est « l'architecture, le génie et les services connexes »<ref name="statistiques"/>.
{{unité|25,2|%}} de la population de 15 ans et plus de Saint-Ulric n'a aucun diplôme d'éducation<ref name="statistiques"/>. {{unité|22,6|%}} de cette population a au plus un diplôme de [[Éducation_au_Québec#Éducation_secondaire|niveau secondaire en poche]]<ref name="statistiques"/>. {{unité|12,0|%}} personnes diplôme de niveau [[Université|universitaire]] à Saint-Ulric<ref name="statistiques"/>. La plupart des Ulricois ont étudié dans les domaines de l'architecture, le génie et des services connexes<ref name="statistiques"/>.


== Histoire ==
== Histoire ==
Les premiers colons arrivent à cet endroit en [[1844]] et la colonie adopte le nom de Rivière-Blanche puisqu'elle est établie autour de la rivière Blanche<ref name="historique">''[http://www.st-ulric.ca/municipalite/historique/ Son historique]'' sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011</ref>. La [[Mission (édifice religieux)|mission]] catholique de Saint-Ulric est fondée en [[1857]], la chapelle avait été construite l'année précédente sur un terrain donné par Ulric-Joseph Tessier<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="historique"/>. La municipalité de canton de Matane est créée en 1860<ref name="paroisse"/>. Le bureau de poste est ouvert la même année, mais sous le nom de Tessierville<ref name="paroisse"/>. La paroisse de Saint-Ulric-de-Matane est érigée canoniquement le {{date|17|février|1869|au Québec}}<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="historique"/>. Le [[1er juin|{{1er}} juin]] de la même année, la municipalité de paroisse du même nom est officiellement créée<ref name="renseignements"/>. Son territoire est détaché des paroisses de Matane et de [[Saint-Damase (La Matapédia)|Saint-Damase]]<ref name="paroisse"/>. Une nouvelle église est construite pour remplacée la chapelle et elle est bénie le {{date|21|août|1878|au Québec}}<ref name="historique"/>
Les premiers colons arrivent à Saint-Ulric en [[1844]]. La colonie adopte le nom de Rivière-Blanche puisqu'elle est établie autour du cours d'eau du même nom<ref name="historique">''[http://www.st-ulric.ca/municipalite/historique/ Son historique]'' sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011</ref>. Une chapelle est construite en {{date|1856}} sur un terrain cédé par Ulric-Joseph Tessier. La [[Mission (édifice religieux)|mission]] catholique de Saint-Ulric est fondée l'année suivante<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="historique"/>. La municipalité de [[Matane (canton)|canton de Matane]] est créée en 1860<ref name="paroisse"/>. Le bureau de poste est ouvert la même année sous le nom de Tessierville<ref name="paroisse"/>. La paroisse de Saint-Ulric-de-Matane est érigée canoniquement et civilement en {{date|1869|au Québec}}<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="historique"/>{{,}}<ref name="renseignements"/>. Le territoire de la paroisse catholique est détaché des paroisses de Matane et de [[Saint-Damase (La Matapédia)|Saint-Damase]]<ref name="paroisse"/>. Une nouvelle église est construite pour remplacée la chapelle et elle est bénie le {{date|21|août|1878|au Québec}}<ref name="historique"/>.


En 1910, lors de l'inauguration du chemin de fer entre [[Mont-Joli]] et Matane, la [[gare de Rivière-Blanche]] permet la desserte des passagers. Le bâtiment sera déménagée à Mont-Joli en 1998.
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En 1911, le bureau de poste adopte le nom de Saint-Ulric<ref name="paroisse"/>. La municipalité de village de Saint-Ulric se détache en [[1921 au Québec|1921]] de la municipalité de paroisse de Saint-Ulric-de-Matane<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="historique"/>. Elle couvre une superficie de {{unité|2.5|km|2}} et est enclavée par la municipalité de canton et le fleuve Saint-Laurent<ref name="village"/>. Le 12 janvier 2000, la municipalité de village de Saint-Ulric et la municipalité de paroisse de Saint-Ulric-de-Matane fusionnent sous le nom de Rivière-Blanche<ref name="village">''[http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/ToposWeb/fiche.aspx?no_seq=57727 Saint-Ulric (municipalité de village)]'' dans Fiche descriptive de la Commission de toponymie du Québec, page consultée le 6 mars 2011</ref>{{,}}<ref name="paroisse">''[http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/ToposWeb/fiche.aspx?no_seq=57728 Saint-Ulric-de-Matane]'' dans Fiche descriptive de la Commission de toponymie du Québec, page consultée le 6 mars 2011</ref>{{,}}<ref name="toponymie">''[http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/ToposWeb/fiche.aspx?no_seq=364726 Saint-Ulric (municipalité)]'' dans Fiche descriptive de la Commission de toponymie du Québec, page consultée le 6 mars 2011</ref>{{,}}<ref name="historique"/>. Le 11 novembre de la même année, la municipalité se redote du nom Saint-Ulric<ref name="village"/>{{,}}<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="toponymie"/>.

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La venue du chemin de fer facilite le service postal. En 1911, le bureau de poste adopte le nom de Saint-Ulric<ref name="paroisse"/>. La municipalité de village de Saint-Ulric se détache en [[1921 au Québec|1921]] de la municipalité de paroisse de Saint-Ulric-de-Matane<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="historique"/>. Elle couvre une superficie de {{unité|2.5|km|2}} et est enclavée par la municipalité de canton et le fleuve Saint-Laurent<ref name="village"/>. Le 12 janvier 2000, la municipalité de village de Saint-Ulric et la municipalité de paroisse de Saint-Ulric-de-Matane fusionnent sous le nom de Rivière-Blanche<ref name="village">''[http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/ToposWeb/fiche.aspx?no_seq=57727 Saint-Ulric (municipalité de village)]'' dans Fiche descriptive de la Commission de toponymie du Québec, page consultée le 6 mars 2011</ref>{{,}}<ref name="paroisse">''[http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/ToposWeb/fiche.aspx?no_seq=57728 Saint-Ulric-de-Matane]'' dans Fiche descriptive de la Commission de toponymie du Québec, page consultée le 6 mars 2011</ref>{{,}}<ref name="toponymie">''[http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/ToposWeb/fiche.aspx?no_seq=364726 Saint-Ulric (municipalité)]'' dans Fiche descriptive de la Commission de toponymie du Québec, page consultée le 6 mars 2011</ref>{{,}}<ref name="historique"/>. Le 11 novembre de la même année, la municipalité se dote du nom « Saint-Ulric » de nouveau<ref name="village"/>{{,}}<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="toponymie"/>.


== Administration ==
== Administration ==
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| Serge Gendron (2)
| Serge Gendron
| Second mandat
| Maire dans les années 1970
| [[Résultats des élections municipales québécoises de 2005 dans le Bas-Saint-Laurent#Saint-Ulric|Voir]]
| [[Résultats des élections municipales québécoises de 2005 dans le Bas-Saint-Laurent#Saint-Ulric|Voir]]
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| Serge Gendron (3)
| Serge Gendron
| Troisième mandat
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| [[Résultats des élections municipales québécoises de 2013 dans le Bas-Saint-Laurent#Saint-Ulric|Voir]]
| [[Résultats des élections municipales québécoises de 2013 dans le Bas-Saint-Laurent#Saint-Ulric|Voir]]
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De plus, Louise Coll est la directrice-générale, la secrétaire-trésorière et la coordonnatrice en mesures d'urgences de la municipalité<ref name="mamrot"/>.
De plus, Louise Coll est la directrice-générale, la secrétaire-trésorière et la coordonnatrice en mesures d'urgences de la municipalité<ref name="mamrot"/>.


== Personnalités liées à la commune ==
== Personnalités ==
* [[Germain Beaulieu]], avocat, homme de lettres et scientifique
* [[Loraine Lagacé]] (1943-2013), femme politique et écrivain francophone, y est née.
* [[Loraine Lagacé]], femme politique et écrivaine
* [[Arthur-Joseph Lapointe]], homme politique
* [[David Ouellet]], homme politique
* [[Joseph-Alphonse Pelletier]], entrepreneur et homme politique


== Vivre à Saint-Ulric ==
== Services ==
Saint-Ulric comprend une école primaire et secondaire<ref name="portrait"/>. Les services financiers sont assurés par une [[Caisses Desjardins|caisse populaire Desjardins]]<ref name="portrait"/>. La municipalité est dotée d'un service d'incendie assuré par 15 pompiers volontaires à la caserne 17<ref>''[http://www.st-ulric.ca/communaute/urgence-9-1-1/ Service d'incendie et d'urgence 9-1-1]'' sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011</ref>.
Saint-Ulric comprend une école primaire et secondaire<ref name="portrait"/>. Les services financiers sont assurés par une [[Caisses Desjardins|caisse populaire Desjardins]]<ref name="portrait"/>. La municipalité est dotée d'un service d'incendie assuré par 15 pompiers volontaires à la caserne 17<ref>''[http://www.st-ulric.ca/communaute/urgence-9-1-1/ Service d'incendie et d'urgence 9-1-1]'' sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011</ref>.


== Économie ==
Les activités économiques principales de Saint-Ulric sont l'agriculture et le tourisme<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="portrait"/>. Le tourisme local est surtout dû à l'attrait du fleuve Saint-Laurent pour la villégiature<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="portrait"/>. La municipalité comprend également des exploitations bovines, laitières, ovines et porcines<ref name="portrait"/>. La tourbe y est aussi exploitée<ref name="portrait"/>. Plusieurs commerces sont aussi présents<ref name="portrait"/>.
Les activités économiques principales de Saint-Ulric sont l'agriculture et le tourisme<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="portrait"/>. Le tourisme local est surtout dû à l'attrait du fleuve Saint-Laurent pour la villégiature<ref name="paroisse"/>{{,}}<ref name="portrait"/>. La municipalité comprend également des exploitations bovines, laitières, ovines et porcines<ref name="portrait"/>. La tourbe y est aussi exploitée<ref name="portrait"/>. Plusieurs commerces sont aussi présents<ref name="portrait"/>.


Version du 10 septembre 2018 à 00:21

Saint-Ulric
Saint-Ulric
Saint-Ulric vue du bord de la mer
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Québec Québec
Région Bas-Saint-Laurent
Subdivision régionale La Matanie
Statut municipal Municipalité
Maire
Mandat 		Pierre Lagacé
2017-2021
Constitution
Démographie
Gentilé Ulricois, oise
Population 1 585 hab. (2016)
Densité 13 hab./km2
Code géographique 08073
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 00″ nord, 67° 42′ 00″ ouest
Superficie 12 020 ha = 120,20 km2
Divers
Fuseau horaire UTC−05:00
Indicatif +1 367, 418 et 581
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bas-Saint-Laurent
Voir sur la carte administrative du Bas-Saint-Laurent
Saint-Ulric
Géolocalisation sur la carte : Québec
Voir sur la carte administrative du Québec
Saint-Ulric
Géolocalisation sur la carte : Canada
Voir sur la carte administrative du Canada
Saint-Ulric
Liens
Site web www.st-ulric.ca
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Saint-Ulric est une municipalité de la province de Québec, au Canada, située dans la municipalité régionale de comté de La Matanie, au Bas-Saint-Laurent. La municipalité fait partie de la région touristique de la Gaspésie. La municipalité actuelle est née de la fusion de la municipalité de village de Saint-Ulric et de la municipalité de paroisse de Saint-Ulric-de-Matane en 2000.

Toponymie

Gisant de saint Ulric (XVIIIe siècle)

L'endroit est d'abord connu sous le nom de Rivière-Blanche[1], dénomination ayant persisté après l'érection civile, à travers la dénomination Saint-Ulric-de-Rivière-Blanche[2],[3].

Le toponyme de Saint-Ulric est en l'honneur du juge et homme politique Ulric-Joseph Tessier (1817-1892)[1],[2],[4]. Il s'agissait d'un homme important pour la région puisqu'il possédait les seigneuries qui forme aujourd'hui les municipalités de Bic, Saint-Fabien, Saint-Mathieu, Saint-Simon et Trois-Pistoles[1]. Son épouse hérita également de la seigneurie de Rimouski[1]. Il fit don du terrain pour construire l'église et le presbytère à Saint-Ulric[1]. D'ailleurs, le bureau de poste local porta le nom de Tessierville de 1860 à 1911[2]. Saint Ulric était un prêtre qui fonda plusieurs monastères en Germanie au Moyen Âge[1].

La municipalité reprend brièvement le nom de Rivèire-Blanche du au [1],[2],[3]. De son côté le nom de Rivière-Blanche était directement emprunté à la rivière Blanche[2]. Celle-ci doit son nom aux brouillons blancs créés par les chutes et les cascades sur son cours[2].

Les habitants sont appelés Ulricois et Ulricoises[1],[5],[6].

Géographie

Carte
Dans la MRC : La Matanie.

Saint-Ulric est situé au bord du fleuve Saint-Laurent sur son versant sud à 400 km au nord-est de Québec et à 300 km à l'ouest de Gaspé[6]. À cette hauteur, le fleuve est appelé « la mer » à cause de sa largeur et de son eau salée[6]. Les villes importantes près de Saint-Ulric sont Matane à 15 km au nord-est, Amqui à 70 km au sud-est ainsi que Mont-Joli à 55 km et Rimouski à 80 km au sud-ouest[2]. Saint-Ulric est situé sur la route 132 dans sa boucle autour de la péninsule gaspésienne entre Baie-des-Sables au sud-ouest et Matane et nord-est[2].

La municipalité de Saint-Ulric fait partie de la municipalité régionale de comté de Matane dans la région administrative du Bas-Saint-Laurent[5],[7]. Elle fait partie de la région touristique de la Gaspésie. La paroisse catholique de Saint-Ulric fait partie de l'archidiocèse de Rimouski. Lors de sa création, la municipalité faisait partie du comté de Matane[2].

Le territoire de la municipalité couvre une superficie totale de 119 km2, y compris une aire urbaine de 2,5 km2[5],[7],[6]. En plus de la rivière Blanche, elle comprend également les lacs Blanc, des Cabourons et des Îles[1],[2]. D'ailleurs, l'embouchure de la rivière Blanche sur le fleuve Saint-Laurent se situe à Saint-Ulric[2].

Démographie

Évolution démographique
1996 2001 2006 2011 2016
1 699[N 1]1 649[N 1]1 6961 6421 585

Selon Statistique Canada, la population de Saint-Ulric était de 1 585 habitants en 2016[8]. La municipalité a connu un déclin démographique de 6,7 %[8]. L'âge médian des Ulricois est de 52,4 ans[8].

Saint-Ulric accueille plusieurs villégiateurs; la municipalité compte 878 logements privés sur son territoire, mais 755 de ces logements sont habités par des résidents permanents[8]. La quasi-totalité des logements de Saint-Ulric sont des maisons individuelles[8].

Selon Statistique Canada, 2,8 % de la population est issue de l'immigration ou n'a pas de statut de résidence[8]. 98,8 % de la population a le français comme langue maternelle, et 18,0 % de la population maitrise les deux langues officielles et tout le monde maitrise le français[8]. Selon Statistique Canada, 1,3 % de la population a une identité autochtone[8].

Le taux de chômage dans la municipalité était de 13,0 % en 2016[8]. Le revenu médian des Ulricois était inférieur à la moyenne québécoise par 6,9 %, se chiffrant à 30 707 $ en 2015[8].

25,2 % de la population de 15 ans et plus de Saint-Ulric n'a aucun diplôme d'éducation[8]. 22,6 % de cette population a au plus un diplôme de niveau secondaire en poche[8]. 12,0 % personnes diplôme de niveau universitaire à Saint-Ulric[8]. La plupart des Ulricois ont étudié dans les domaines de l'architecture, le génie et des services connexes[8].

Histoire

Les premiers colons arrivent à Saint-Ulric en 1844. La colonie adopte le nom de Rivière-Blanche puisqu'elle est établie autour du cours d'eau du même nom[4]. Une chapelle est construite en sur un terrain cédé par Ulric-Joseph Tessier. La mission catholique de Saint-Ulric est fondée l'année suivante[2],[4]. La municipalité de canton de Matane est créée en 1860[2]. Le bureau de poste est ouvert la même année sous le nom de Tessierville[2]. La paroisse de Saint-Ulric-de-Matane est érigée canoniquement et civilement en [2],[4],[7]. Le territoire de la paroisse catholique est détaché des paroisses de Matane et de Saint-Damase[2]. Une nouvelle église est construite pour remplacée la chapelle et elle est bénie le [4].

En 1910, lors de l'inauguration du chemin de fer entre Mont-Joli et Matane, la gare de Rivière-Blanche permet la desserte des passagers. Le bâtiment sera déménagée à Mont-Joli en 1998.

La venue du chemin de fer facilite le service postal. En 1911, le bureau de poste adopte le nom de Saint-Ulric[2]. La municipalité de village de Saint-Ulric se détache en 1921 de la municipalité de paroisse de Saint-Ulric-de-Matane[2],[4]. Elle couvre une superficie de 2,5 km2 et est enclavée par la municipalité de canton et le fleuve Saint-Laurent[1]. Le 12 janvier 2000, la municipalité de village de Saint-Ulric et la municipalité de paroisse de Saint-Ulric-de-Matane fusionnent sous le nom de Rivière-Blanche[1],[2],[3],[4]. Le 11 novembre de la même année, la municipalité se dote du nom « Saint-Ulric » de nouveau[1],[2],[3].

Administration

Le conseil municipal de Saint-Ulric est composé d'un maire et de six conseillers qui sont élus en bloc à tous les quatre ans sans division territoriale[5],[7],[9].

Saint-Ulric
Maires depuis 2001
Élection Maire Qualité Résultat
2001 Éva Robichaud Voir
2005 Aucun candidat à la mairie Voir
n/d Serge Gendron Second mandat Voir
2009 Pierre Thibodeau Préfèt de La Matanie Voir
2013 Voir
2015 Serge Gendron Troisième mandat Voir
2017 Pierre Lagacé Voir
Élection partielle en italique
Depuis 2005, les élections sont simultanées dans toutes les municipalités québécoises

De plus, Louise Coll est la directrice-générale, la secrétaire-trésorière et la coordonnatrice en mesures d'urgences de la municipalité[5].

Personnalités

Services

Saint-Ulric comprend une école primaire et secondaire[6]. Les services financiers sont assurés par une caisse populaire Desjardins[6]. La municipalité est dotée d'un service d'incendie assuré par 15 pompiers volontaires à la caserne 17[10].

Économie

Les activités économiques principales de Saint-Ulric sont l'agriculture et le tourisme[2],[6]. Le tourisme local est surtout dû à l'attrait du fleuve Saint-Laurent pour la villégiature[2],[6]. La municipalité comprend également des exploitations bovines, laitières, ovines et porcines[6]. La tourbe y est aussi exploitée[6]. Plusieurs commerces sont aussi présents[6].

Un important parc d'éoliennes est implanté à Saint-Ulric. Le Jardin d'Éole, opéré par Northland Power, compte 24 éoliennes en sol ulricois produisant 75 kilowatts de puissance[6],[11]. L'électricité est vendue à Hydro-Québec[6].

Culture

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Municipalités limitrophes

Notes et références

Notes

  1. ↑ a et b Les chiffres ont été rajustés pour tenir compte de la réorganisation des municipalités du Québec de 2000-2006.

Références

  1. ↑ a b c d e f g h i j k et l Saint-Ulric (municipalité de village) dans Fiche descriptive de la Commission de toponymie du Québec, page consultée le 6 mars 2011
  2. ↑ a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u et v Saint-Ulric-de-Matane dans Fiche descriptive de la Commission de toponymie du Québec, page consultée le 6 mars 2011
  3. ↑ a b c et d Saint-Ulric (municipalité) dans Fiche descriptive de la Commission de toponymie du Québec, page consultée le 6 mars 2011
  4. ↑ a b c d e f et g Son historique sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011
  5. ↑ a b c d et e Saint-Ulric dans le Répertoire des municipalités du Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire du Québec, page consultée le 6 mars 2011
  6. ↑ a b c d e f g h i j k l et m Son portrait sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011
  7. ↑ a b c et d Renseignements généraux sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011
  8. ↑ a b c d e f g h i j k l m et n , dont 595 dans le village« Profil du recensement, Recensement de 2016 : Saint-Ulric, Municipalité dissoute [Localité désignée], Québec et Saint-Ulric, Municipalité [Subdivision de recensement], Québec », sur Statistique Canada (consulté le )
  9. ↑ Membres du conseil sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011
  10. ↑ Service d'incendie et d'urgence 9-1-1 sur le site officiel de la municipalité de Saint-Ulric, page consultée le 6 mars 2011
  11. ↑ « Jardin d’Éole », sur Northland Power (consulté le )

Annexes

Articles connexes

Liens externes

v · m
Municipalités principales
Municipalités régionales de comté (MRC) et territoires équivalents
Municipalités autochtones hors MRC
Subdivisions par région :
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