Voir la source de Siège de Saint-Jean-d'Acre (1799)

{{Voir homonyme|Siège de Saint-Jean-d'Acre}}

{{Infobox Conflit militaire
 | conflit         = Siège de Saint-Jean-d'Acre (1799)
 | guerre          = [[Campagne d'Égypte]]
 | image           = City_of_Acre,_Israel_(aerial_view,_2005).jpg
 | légende         = Vue aérienne du Vieux Acre qui n'a pas beaucoup changé depuis 1799.
 | date            = {{date|20|mars|1799-}} - {{date|21 mai 1799}}
 | lieu            = [[Acre (Israël)|Saint-Jean-d'Acre]] <br /> actuellement Acre (Israël)
 | casus           = 
 | territoires     = 
 | issue           = Victoire anglo-ottomane
 | combattants1    = {{France (1792-1804)}}
 | combattants2    = {{Empire Ottoman 1453-1844}} <br /> {{Royaume de Grande-Bretagne}}
 | commandant1     = [[Napoléon Ier|Napoléon Bonaparte]]
 | commandant2.    = .   [[Louis Marie Maximilien de Cafarelli du Falga]]+
 | commandant2     = [[Djezzar Pacha]] <br /> [[William Sidney Smith]] <br /> [[Antoine Le Picard de Phélippeaux]]
 | forces1         = {{unité|13000|hommes}}
 | forces2         = {{unité|30000|hommes}}<ref>Guerre d'Orient: Campagnes de Égypte et de Syrie - page 80 [https://books.google.fr/books?id=h7sNAAAAIAAJ&pg=PA59&lpg=PA59&dq=Si%C3%A8ge+de+Saint-Jean-d%27Acre+1799&source=web&ots=nXn1MpSyDG&sig=XPzJ3v5KGHEOzdsr5TLHeOojd_g&hl=fr&sa=X&oi=book_result&resnum=7&ct=result#PPA80,M1]</ref> <br /> {{unité|12000|hommes}} de renforts <small>(7 mai)</small><br />{{unité|25|à=30000|<small>([[Bataille du Mont-Thabor]])</small>}}
 | pertes1         = {{unité|2300|morts}} <br /> {{unité|2200|blessés}} ou disparus
 | pertes2         = {{formatnum:2300}}
 | batailles       = {{Deuxième coalition}}
 | notes           = 
 | géolocalisation = Israël/Moyen-Orient/Monde
}}

Le '''siège de Saint-Jean-d'Acre'''  est un épisode de la [[campagne d'Égypte]], qui eut lieu dans l'actuelle ville d'[[Acre (Israël)|Acre]] en [[Israël]], qui commence le {{date|20 mars 1799}} et se termine le {{date|21 mai 1799}} sur un retrait des troupes françaises.

Les assiégés turcs sont commandés par [[Djezzar Pacha]], et sont soutenus par une flotte britannique commandée par l'amiral [[William Sidney Smith|Sidney Smith]].

== Contexte ==

Sur les {{unité|13000|<ref> Précis des évènements militaires - page 186 [https://books.google.fr/books?id=FigDAAAAYAAJ&pg=RA3-PA486&dq=Si%C3%A8ge+de+Saint-Jean-d%27Acre+(1799)&as_brr=1&ei=Q6NbSPjDAY7iiwG1hLyvBw&client=firefox-a#PPA186,M1]</ref> hommes}} entrés en [[Syrie]] que compte l'armée de [[Napoléon Ier|Bonaparte]], {{formatnum:1000}} ont été tués ou blessés aux combats d'[[siège d'El Arish|El-Arich]], [[Gaza]] et de [[Siège de Jaffa|Jaffa]]. {{formatnum:1000}} sont malades dans les hôpitaux de [[Nazareth]], [[Chafa-arm]], [[Ramallah|Ramléh]], [[Jaffa]] et [[Gaza]]. {{unité|2000|hommes}} sont nécessaires pour tenir les positions de [[Katiéh]], [[El-Arich]], [[Gaza]] et [[Jaffa]]. 

L'armée française manque de vivres et de munitions. La flotte qui devait en apporter a été capturée devant [[Haïfa]] par la flotte anglaise.

== Début du siège ==
[[File:حصار-عكا.jpg|thumb|250px|left|[[Napoléon Bonaparte]] au siège de Saint-Jean-d'Acre]]
[[Fichier:Phelipoux.jpg|thumb|left|Restes de la ligne de fortification interne édifiée par [[Antoine Le Picard de Phélippeaux|Phélippeaux]] lors du siège.]]
Le {{date|18|mars|1799-}}, l'armée française paraît devant [[Acre (Israël)|Saint-Jean-d'Acre]]. La ville est bâtie sur une langue de terre qui s'avance dans la [[Mer Méditerranée|Méditerranée]]. Les travaux de siège commencent le {{date|20|mars|1799-}}.

Le {{date|26|mars|1799-}}, les assiégés tentent en vain une sortie. Le [[28 mars|28]], douze pièces de campagne et quatre obusiers font feu sur une tour. À 15 heures, la brèche paraît suffisante, les [[Grenadier (militaire)|grenadiers]] s'élancent mais se retrouvent devant un fossé de quinze pieds de large revêtu d'une [[contrescarpe]] de dix pieds de hauteur. Alors qu'ils descendent dans le fossé ils sont surpris par l'artillerie de la place et sont obligés de se retirer. Cet assaut a coûté la vie de 25 hommes et fait 87 blessés dans les rangs français<ref>Guerre d'Orient: Campagnes de Égypte et de Syrie - page 77 [https://books.google.fr/books?id=h7sNAAAAIAAJ&pg=PA59&lpg=PA59&dq=Si%C3%A8ge+de+Saint-Jean-d%27Acre+1799&source=web&ots=nXn1MpSyDG&sig=XPzJ3v5KGHEOzdsr5TLHeOojd_g&hl=fr&sa=X&oi=book_result&resnum=7&ct=result#PPA77,M1]</ref>.

Chaque jour, la garnison reçoit de [[Chypre (pays)|Chypre]] et de [[Tripoli (ville du Liban)|Tripoli]] des secours en hommes, en vivres et en munitions. Du [[5 avril|5]] au {{date|6|avril|1799-}}, débarquent ainsi les canons pris devant [[Caïffa]], ainsi que le colonel [[Antoine Le Picard de Phélippeaux|Phélippeaux]], qui avait fait ses études à l'école militaire de [[Brienne-le-Château|Brienne]] en même temps que [[Napoléon Ier|Bonaparte]] et qui conseille avantageusement les artilleurs de [[Djezzar Pacha]].

Fière de sa résistance, la garnison tente plusieurs sorties, toutes repoussées, mais qui gênent considérablement les travaux de siège. Le {{date|7|avril|1799-}}, sur les conseils de [[Antoine Le Picard de Phélippeaux|Phélippeaux]], qui pressent une attaque imminente, [[Djezzar Pacha]] ordonne une sortie pour détruire les mines. L'attaque est repoussée in extremis, et coûte la vie à 800 hommes dans les camps des assiégés, parmi lesquels une soixantaine d'Anglais.

== Dans la plaine de Fouli ==
{{article détaillé|Bataille du Mont-Thabor}}
Pendant ce temps, dans toute la [[Syrie]], [[Djezzar Pacha]] lève une puissante armée. Informé par les peuplades chrétiennes du [[Liban]], [[Napoléon Ier|Bonaparte]] envoie 500 hommes en reconnaissance sous les ordres du général [[Jean-Andoche Junot|Junot]]. Ils sont assaillis par {{unité|3000|cavaliers}}, et se replient en faisant 600 morts dans les rangs ennemis. Accouru à son aide, [[Jean-Baptiste Kléber|Kléber]] les rejoint à [[Nazareth]]. Fort de ce renfort, [[Jean-Andoche Junot|Junot]] repart à l'attaque mais se retrouve cette fois devant {{unité|8000|hommes}} qu'il parvient à repousser.

La région semble infestée de bandes ennemies, [[Jean-Baptiste Kléber|Kléber]] en a rencontré {{unité|30|à=35000}} dans la plaine de Fouli. Averti, [[Napoléon Ier|Bonaparte]] décide de frapper un coup décisif. Ne laissant devant [[Acre (Israël)|Saint-Jean-d'Acre]] que les divisions [[Jean Lannes|Lannes]] et [[Jean Louis Ébenezel Reynier|Reynier]], [[Napoléon Ier|Bonaparte]] lui-même accourt avec la division [[Louis André Bon|Bon]] et la cavalerie. [[Joachim Murat|Murat]] est envoyé sur le [[Jourdain]] avec {{unité|1000|hommes}} accompagnés d'un canon pour couper la retraite de l'ennemi.

Lorsque le [[16 avril]], [[Napoléon Ier|Bonaparte]] arrive avec les renforts sur les hauteurs qui dominent la plaine de Fouli, il aperçoit au pied du [[Mont Thabor (Israël)|Mont Thabor]] les {{unité|2000|hommes}} restant de la division [[Jean-Baptiste Kléber|Kléber]] sur le point de succomber sous les coups de {{unité|25000|cavaliers}} et {{unité|10000|fantassins}} ottomans<ref>Histoire de l'expédition d'Egypte et de Syrie - page 195 [https://books.google.fr/books?id=kRE8AAAAMAAJ&pg=PA186&dq=Saint-Jean-d%27Acre+(1799)&ei=c79XSIGeApOOjAGLi4z6Bg&client=firefox-a#PPA195,M1]</ref>. Ces derniers, sous la charge des renforts français, ne tardent pas à débander dans le plus grand désordre vers le [[Jourdain]]. Ils sont arrêtés par [[Joachim Murat|Murat]] qui occupe le pont d'Iacoub. Les fuyards se jettent alors dans le fleuve. Beaucoup périssent noyés.

== Retour devant Saint-Jean-d'Acre ==
La nouvelle de cette victoire et l'arrivée, le {{date|15|avril|1799-}} dans le port de [[Jaffa]], du contre-amiral [[Jean-Baptiste Perrée|Perrée]] avec trois [[Frégate (navire)|frégates]] chargées de pièces et de munitions de siège, remplit les Français de joie. Mais ils doivent bien vite déchanter en constatant que les assiégés sont loin de baisser les bras. Les sorties fréquentes de la garnison, quand elles ne parviennent pas à détruire les ouvrages de siège qui ont demandé plusieurs jours de travail, ralentissent beaucoup la progression. Lorsque les Français viennent enfin à bout d'une fortification, c'est pour s'apercevoir qu'une nouvelle vient d'apparaitre derrière celle qui vient d'être abattue. Les jours passent, les munitions commencent à manquer au point qu'une prime est offerte aux soldats pour chaque projectile récupéré<ref>Histoire de l'expédition d'Égypte et de Syrie - page 199 [https://books.google.fr/books?id=kRE8AAAAMAAJ&pg=PA186&dq=Saint-Jean-d%27Acre+(1799)&ei=c79XSIGeApOOjAGLi4z6Bg&client=firefox-a#PPA199,M1]</ref>. Le général [[Louis Marie de Caffarelli du Falga|Caffarelli]] qui avait déjà perdu la jambe gauche en [[1797]], est blessé au coude, il faut l'amputer.

Le [[7 mai]], des navires turcs en grand nombre acheminent {{unité|12000|hommes}}<ref>Les sièges célèbres - page 202</ref> en renfort avec des vivres et des munitions. Ayant reconnu les navires, [[Napoléon Ier|Bonaparte]] lance rapidement un assaut général, avant que les renforts n'aient le temps de débarquer. La tour est prise au prix d'un carnage. La nuit suspend les combats. Au matin, les tirs d'artillerie font une nouvelle brèche. Le général [[François Rambeaud|Rambeaud]] s'élance avec deux cents [[Grenadier (militaire)|grenadiers]]. Des maisons voisines, des barricades dans les rues, part un feu nourri qui force les assaillants à se réfugier dans une mosquée voisine. Il est tué pendant l'assaut. 

Le général [[Jean Lannes|Lannes]] s'élance à son tour, mais les Turcs et les marins anglais qui venaient de débarquer couvrent la brèche. Lannes est renversé par un coup de feu. Ses soldats l'emportent. À chaque instant, les assiégés reçoivent de nouveaux renforts. Il fait nuit, l'ordre est donné de faire retraite. Les [[Grenadier (militaire)|grenadiers]] réfugiés dans la mosquée n'échappent à la fureur des hommes de [[Djezzar Pacha]], que grâce à l'intervention de l'amiral [[William Sidney Smith|Sydney Smith]] qui les fait prisonniers.

== La retraite ==
[[Napoléon Ier|Bonaparte]] se rend bien compte que plus les jours passent et plus ses forces diminuent, alors que celles de l'adversaire ne font que croitre. Pourtant il ne peut se résoudre à l'échec. Le {{date|10|mai|1799-}} à 2 heures du matin, les [[Grenadier (militaire)|grenadiers]] des {{75e}} et {{19e|demi}} brigades et les [[carabinier]]s de la {{2}} d'infanterie légère montent à l'assaut pour surprendre les assiégés et tenter de s'établir sur la brèche. Les premiers postes sont égorgés, mais la garnison tient bon. Dans un dernier assaut, tenté le soir même, le général Bon est mortellement blessé, ainsi que de nombreux officiers de l'[[état-major]]. 

[[Napoléon Ier|Bonaparte]] se résout enfin à lever le siège. Tandis qu'on use le reste des munitions pour couvrir leur départ, les blessés sont évacués les premiers. Ayant constaté les préparatifs de retraite, [[Djezzar Pacha]] fait de nombreuses sorties, toutes repoussées. Le {{date|17|mai|1799-}}, le général en chef annonce enfin la levée du siège à ses hommes.  

La retraite se déroule en bon ordre. Le {{date|20|mai|1799-}}, le général [[Joseph Lagrange|Lagrange]] repousse encore deux sorties. Le général [[Jean Lannes|Lannes]] ouvre la marche, suivi du parc et des divisions [[Louis André Bon|Bon]] et [[Jean-Louis-Ébénézer Reynier|Reynier]]. Le général [[Jean-Baptiste Kléber|Kléber]] forme l'arrière-garde, tandis que le général [[Jean-Andoche Junot|Junot]] couvre le flanc gauche. Les malades et les blessés ainsi que le reste de l'artillerie sont embarqués à [[Jaffa]], mais les trois [[Frégate (navire)|frégates]] ne tardent pas à tomber entre les mains de l'amiral [[William Sidney Smith|Sidney Smith]]. Toute la nuit du [[21 mai|21]] au [[22 mai]], l'artillerie continue de tirer sur la place. Ayant abandonné les malades à [[Jaffa]], l'armée française rentre au [[Le Caire|Caire]] le {{date|14|juin|1799-}}.

== Conséquences ==
[[Fichier:Peselnap1.jpg|thumb|Statue de Napoléon sur ''Napoleon Hill'', lieu où Bonaparte fit disposer ses canons pendant le siège.]]
Des combats, mais aussi de la maladie, un quart des hommes engagés dans cette campagne ont péri, ainsi qu'un grand nombre d'officiers : Le général [[Louis Marie Maximilien de Caffarelli du Falga|Caffarelli]] est mort le {{date|27|avril|1799-}} des suites de ses blessures, tout comme le général [[François Rambeaud|Rambeaud]], le {{date|8|mai|1799-}} et le général [[Louis André Bon|Bon]], le {{date|10|mai|1799-}}. [[Jean Lannes]] gravement blessé au cou le {{date|8|mai|1799-}}, est sauvé par le docteur [[Dominique-Jean Larrey|Larrey]].

La [[peste]] se déclare dans le camp d'[[Acre (Israël)|Acre]]. Avant que les troupes françaises n'aient abandonné le siège, une cinquantaine d'hommes sont déjà atteints. Ils mourront à [[Jaffa]] où on les emmène à la suite de l'armée, propageant ainsi la maladie<ref>Histoire de l'expédition d'Égypte et de Syrie - page 205 [https://books.google.fr/books?id=kRE8AAAAMAAJ&pg=PA186&dq=Saint-Jean-d%27Acre+(1799)&ei=c79XSIGeApOOjAGLi4z6Bg&client=firefox-a#PPA205,M1]</ref>. La peste ne fait pas que des victimes dans les rangs français, quelques jours après la levée du siège, [[Antoine Le Picard de Phélippeaux|Phélippeaux]] succombe de la maladie.

Dans cette affaire, le prestige des Britanniques sort encore grandi et la collaboration de l'[[Empire ottoman]] est désormais acquise. Dans les ports de l'[[Rhodes|île de Rhodes]], [[Said Mustapha Pacha]], rassemble des troupes pour attaquer [[Alexandrie]]. Sous son commandement, le {{date|14|juillet|1799-}}, 60 vaisseaux britanniques débarquent {{unité|16000|hommes}} qui prennent d'assaut les fortifications et s'emparent du port d'[[Aboukir]].

== Notes et références ==
{{Références|colonnes = 2}}

== Sources ==
* Histoire philosophique de la révolution de France [https://books.google.fr/books?id=LpWH-t2E_eoC&pg=RA1-PA321&dq=Si%C3%A8ge+d%27Alexandrie+1801&as_brr=1&ei=Q2FWSM64I5WQjgHMnJmFDA&client=firefox-a#PRA1-PA323,M1]
* Histoire de l'expédition d'Égypte et de Syrie - de Jean Joseph Ader, Charles Théodore Beauvais de Préau - 1826 [https://books.google.fr/books?id=kRE8AAAAMAAJ&pg=PA186&dq=Saint-Jean-d%27Acre+(1799)&ei=c79XSIGeApOOjAGLi4z6Bg&client=firefox-a#PPA186,M1]
* Guerre d'Orient: Campagnes de Égypte et de Syrie, 1798-1799 - de comte Henri-Gratien Bertrand, Napoleon - 1847 [https://books.google.fr/books?id=h7sNAAAAIAAJ&pg=PA59&lpg=PA59&dq=Si%C3%A8ge+de+Saint-Jean-d%27Acre+1799&source=web&ots=nXn1MpSyDG&sig=XPzJ3v5KGHEOzdsr5TLHeOojd_g&hl=fr&sa=X&oi=book_result&resnum=7&ct=result]
* Les sièges célèbres de l'Antiquité, du Moyen Âge et des temps modernes - Maxime Petit - 1881 [http://gallica2.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k201341b.image.r=La+Biblioth%C3%A8que+des+Merveilles.f3.tableDesMatieres.langFR]
* Histoire de France pendant le dix-huitième siècle - Charles Lacretelle - 1826 [https://books.google.fr/books?id=S5YFAAAAQAAJ&pg=RA1-PA459&lpg=RA1-PA459&dq=Si%C3%A8ge+de+Saint-Jean-d%27Acre+(1799)&source=web&ots=x1jgRT6YuK&sig=0iwHTiYDyraulPteWUDiWb9gAm8&hl=fr&sa=X&oi=book_result&resnum=8&ct=result#PRA1-PA293,M1]
* Précis des évènements militaires, ou Essais historiques sur les campagnes de 1799 à 1814 - Mathieu Dumas - 1817 [https://books.google.fr/books?id=FigDAAAAYAAJ&pg=RA3-PA486&dq=Si%C3%A8ge+de+Saint-Jean-d%27Acre+(1799)&as_brr=1&ei=Q6NbSPjDAY7iiwG1hLyvBw&client=firefox-a#PPA210,M1]

{{Palette Épopée napoléonienne}}

{{Portail|Révolution française|histoire militaire|années 1790}}

{{DEFAULTSORT:Saint-Jean-d'Acre 1799}}
[[Catégorie:Siège des guerres de la Révolution française]]
[[Catégorie:Bataille de Napoléon Bonaparte]]
[[Catégorie:Bataille de la campagne d'Égypte]]
[[Catégorie:Bataille de 1799]]
[[Catégorie:Acre (Israël)|Siege de Saint-Jean-d'Acre]]
[[Catégorie:Bataille impliquant les Mamelouks]]