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(Mythologie égyptienne) L’ombre, une des parties de l’âmehumaine.
À côté du corps il y a ce que J. Vandier appelle « les principes spirituels » (5): akh, ba, ka, khaibit, ren, śẖm (6). On est d’autant plus puissant, semble-t-il, que les âmes sont nombreuses ; et on peut même, à cet effet, avoir plusieurs âmes de la même catégorie. L’akh, force divine attribuée originellement aux dieux et au roi qui leur est assimilé, fut très tôt accordée à tous les hommes. Le ba, représenté par un oiseau (cigogne ?) de même que l’akh (ibis), et traduit en général […]— (Henri Strohl, L’Évolution religieuse de Luther jusqu’en 1515, volumes 50 à 51, Librairie Istra, 1959)
Spécialistes de l’observation, du sondage de la richesse de l’univers, et de la recherche du savoir, les Égyptiens ont dégagé de cet univers 9 éléments constitutifs de la personne humaine à savoir : Le Kat, le Sahu, le Ab, le Ka, le Ba, le Khaibit, le Khu, le Sekhem, le Ren. Voyons à présent point par point la signification et l’importance de chaque élément. […] Le Khaibit : c’est l’ombre d’une personne qui mène une vie indépendante et peut quitter le corps et y revenir à volonté, il prend aussi part aux offrandes adressées aux morts. […] — (Messack Pock, Conception africaine de l’homme, in Nathanaël Ohouo (éditeur), Dieu et l’homme : éléments d’anthropologie pour chrétiens et églises d’Afrique, Éditions CLÉ, 2007)