« exhumation » : différence entre les versions

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'''exhumation''' {{pron|ɛɡ.zy.ma.sjɔ̃|fr}} {{f}}
# {{lexique|administration|fr}} [[action|Action]] d’[[exhumer]].
#* {{exemple | lang=fr
#* | ''D'où venait cet ossuaire? M. Ledru avait présidé à l''''exhumation''' des rois à Saint-Denis, et il avait pris dans chaque tombeau ce qui lui avait plu.'' {{source|{{w|Alexandre Dumas}}, ''[[s:Les Mille et Un Fantômes|Les Mille et Un Fantômes]]}}
#* ''Selon les termes de la loi sur les sépultures militaires, seul le secrétariat d'État aux Anciens Combattants et Victimes de guerre est habilité à procéder à l’'''exhumation''' des sépultures militaires.'' {{source|Alain Denizot & ‎Jean Louis, ''L'énigme Alain-Fournier 1914-1991'', Nouvelles Éditions Latines, 2000, page 168}}
| source={{w|Alexandre Dumas}}, ''[[s:Les Mille et Un Fantômes|Les Mille et Un Fantômes]]}}
#* ''Geneviève était malgache, et lui avait parlé des curieuses coutumes d’'''exhumation''' pratiquées dans son pays. Une semaine après le décès on déterrait le cadavre, on défaisait les linges qui l’entouraient et on prenait un repas en sa présence, dans la salle à manger familiale ; puis on l’enterrait de nouveau. On recommençait au bout d’un mois, puis de trois, il ne se souvenait plus très bien mais il lui semblait qu’il n’y avait pas moins de sept '''exhumations''' successives, la dernière se déroulant un an après le décès, avant que le défunt ne soit définitivement considéré comme mort, et ne puisse accéder à l’éternel repos.'' {{source|{{w|Michel Houellebecq}}, ''{{w|La carte et le territoire}}'', 2010, J’ai lu, pages 53-54}}
#* {{exemple | lang=fr
#* | ''Selon les termes de la loi sur les sépultures militaires, seul le secrétariat d'État aux Anciens Combattants et Victimes de guerre est habilité à procéder à l’'''exhumation''' des sépultures militaires.'' {{source|Alain Denizot & ‎Jean Louis, ''L'énigme Alain-Fournier 1914-1991'', Nouvelles Éditions Latines, 2000, page 168}}
| source=Alain Denizot & ‎Jean Louis, ''L'énigme Alain-Fournier 1914-1991'', Nouvelles Éditions Latines, 2000, page 168}}
#* {{exemple | lang=fr
#* | ''Geneviève était malgache, et lui avait parlé des curieuses coutumes d’'''exhumation''' pratiquées dans son pays. Une semaine après le décès on déterrait le cadavre, on défaisait les linges qui l’entouraient et on prenait un repas en sa présence, dans la salle à manger familiale ; puis on l’enterrait de nouveau. On recommençait au bout d’un mois, puis de trois, il ne se souvenait plus très bien mais il lui semblait qu’il n’y avait pas moins de sept '''exhumations''' successives, la dernière se déroulant un an après le décès, avant que le défunt ne soit définitivement considéré comme mort, et ne puisse accéder à l’éternel repos.'' {{source|{{w|Michel Houellebecq}}, ''{{w|La carte et le territoire}}'', 2010, J’ai lu, pages 53-54}}
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# {{figuré|fr}} Action de [[retrouver]] ou de [[ressortir]] des [[chose]]s [[ancien]]nes ou [[longtemps]] [[inutilisées]].
#* {{exemple | lang=fr
#* | ''Mais Amélie […] était tout à l’excitation de ce reportage, à l’'''exhumation''' du passé, à la rencontre de ces francs-maçons mystérieux, dont elle ne savait guère que ce qu'en racontaient les journaux dans leurs « marronniers » annuels sur les « frères trois points ». Y avait-il des « sœurs » maçonnes pendant la guerre ?''{{source|Jack Chaboud, ''Le tronc de la veuve'', éd. Dervy, 2014}}
| source=Jack Chaboud, ''Le tronc de la veuve'', éd. Dervy, 2014}}
 
==== {{S|traductions}} ====
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* {{pron|ɛɡ.zy.ma.sjɔ̃|fr}}
* {{écouter|lang=fr|France (Lyon)|audio=LL-Q150 (fra)-WikiLucas00-exhumation.wav}}
* {{écouter|Somain (France)||lang=fr|audio=LL-Q150 (fra)-Jérémy-Günther-Heinz Jähnick-exhumation.wav}}
 
=== {{S|voir aussi}} ===