Record du monde du 400 mètres haies
Les records du monde du 400 mètres haies sont actuellement détenus par le Norvégien Karsten Warholm avec le temps de 45 s 94, établi le en finale des Jeux olympiques de 2020 à Tokyo au Japon, et par l'Américaine Sydney McLaughlin-Levrone, créditée de 50 s 37 le lors des Jeux olympiques de 2024 à Paris.
Record du monde du 400 m haies | |
Sydney McLaughlin détient depuis 2021 le record du monde féminin du 400 m haies | |
Caractéristiques du record | |
---|---|
Discipline | 400 mètres haies athlétisme |
Instance homologatrice |
World Athletics |
Genre | Hommes / Femmes |
Portée | Monde |
Record actuel masculin | |
Valeur | 45 s 94 |
Titulaire(s) | Karsten Warholm Norvège |
Date du record | |
Circonstance | Jeux olympiques |
Site | Stade olympique Tokyo Japon |
Record actuel féminin | |
Valeur | 50 s 37 |
Titulaire(s) | Sydney McLaughlin-Levrone États-Unis |
Date du record | |
Circonstance | Jeux olympiques |
Site | Stade de France Saint-Denis France |
modifier |
Le premier record du monde du 400 m haies homologué par l'Association internationale des fédérations d'athlétisme est celui de l'Américain Charles Bacon en 1908 avec le temps de 55 s 0. L'Américain Glenn Davis est officiellement le premier athlète à franchir la barrière des 50 secondes (en 1956), son compatriote Geoff Vanderstock celle des 49 secondes (en 1968), l'Ougandais John Akii-Bua celle des 48 secondes (en 1972), l'Américain Kevin Young celle des 47 secondes (en 1992) et Karsten Warholm celle des 46 secondes (en 2021).
Le premier record mondial féminin est établi en 1974 par la Polonaise Krystyna Kacperczyk, en 56 s 51. La barrière des 55 secondes est franchie en 1978 par la Soviétique Tatyana Zelentsova, celle des 54 secondes en 1984 par sa compatriote Margarita Ponomaryova, celle des 53 secondes en 1986 par l'autre Soviétique Marina Stepanova, et enfin celles des 52 secondes et 51 secondes en 2021 et 2022 par Sydney McLaughlin.
Record du monde masculin
modifierPremiers records
modifierLe premier record du monde du 400 mètres haies masculin officiellement reconnu par l'IAAF est celui de l'Américain Charles Bacon le avec son temps de 55 s 0, établi lors de sa victoire aux Jeux olympiques de 1908, à Londres[1].
Le , lors des Jeux olympiques d'Anvers, en Belgique, son compatriote Frank Loomis devient champion olympique et nouveau recordman du monde en 54 s 0, avant que le Suédois Sten Pettersson ne réalise 53 s 8 le , à Colombes. À cette époque, les règles interdisent de faire basculer une haie sous peine de disqualification[2]. Le , à Lincoln dans le Nebraska, l'Américain Johnny Gibson établit le temps de 52 s 6 sur 440 yards haies et devient le nouveau détenteur du record mondial, performance améliorée de 6/10e de seconde par son compatriote Morgan Taylor qui réalise le temps de 52 s 0 le à Philadelphie au cours des sélections olympiques américaines[1].
Le , en finale des Jeux olympiques à Los Angeles, l'Irlandais Robert Tisdall remporte le titre olympique en 51 s 7, devant l'américain Glenn Hardin en 52 s 0[1]. Mais Tisdall ayant renversé une haie, l'IAAF homologue uniquement la performance d'Hardin qui égale le record du monde de Morgan Taylor[3]. Le , à Milwaukee lors des championnats de l'AAU, Glenn Hardin porte le record du monde à 51 s 8, puis l'améliore de plus d'une seconde un mois plus tard, le à Stockholm en réalisant le temps de 50 s 6[1].
Le record du monde de Glenn Hardin n'est amélioré que dix-neuf ans plus tard par le Soviétique Yuriy Lituyev, l'un des premiers athlètes à soutenir un rythme de treize foulées entre les obstacles[4], qui établit le temps de 50 s 4 le à Budapest. À cette période, le renversement d'une haie n'est plus pénalisé. Le , lors des sélections olympiques américaines à Los Angeles, Glenn Davis devient le premier athlète à descendre sous la barrière des 50 secondes en améliorant de près d'une seconde le record du monde de Lituyev avec le temps de 49 s 5[1].
Champion olympique en 1956, il porte son propre record du monde à 49 s 2 le à Budapest, avant de conserver son titre olympique en 1960. Le , au cours des championnats d'Europe de Belgrade, l'Italien Salvatore Morale s'impose en 49 s 2 et égale le record du monde de Glenn Davis[5], record qu'améliore l'Américain Rex Cawley le à Los Angeles en 49 s 1[1].
Barrière des 48 secondes
modifierLe , au cours des sélections olympiques américaines de 1968 se déroulant à Echo Summit (en) en altitude et sur une piste en tartan, l'Américain Geoff Vanderstock devient le premier athlète à courir un 400 m haies en moins de 49 s 0 en s'imposant dans le temps de 48 s 8, soit 3/10e de moins que le temps de Rex Cawley[1]. Le , en finale des Jeux olympiques, profitant de l'altitude et de la piste synthétique du Stade olympique universitaire de Mexico, le Britannique David Hemery remporte la finale du 400 m haies en 48 s 1[1] et améliore de 7/10e le record du monde de Geoff Vanderstock[6].
Quatre ans plus tard, en finale des Jeux olympiques de 1972 à Munich, le , l'Ougandais John Akii-Bua remporte le titre olympique dans le temps de 47 s 8 et devient le nouveau détenteur du record du monde et le premier athlète à descendre sous les 48 s 0[1]. Il est également officiellement le premier détenteur du record mondial mesuré au centième de seconde, avec son temps de 47 s 82[7].
À partir de la saison 1976, l'Américain Edwin Moses règne sur la discipline. Le , âgé de 20 ans seulement, il remporte la finale des Jeux olympiques de Montréal et améliore de 19/100e de seconde le record du monde de John Akii-Bua en 47 s 63[8]. Placé au couloir 4, il est à la lutte avec le Britannique Alan Pascoe jusqu'au cinquième obstacle et fait la différence dans le dernier virage, laissant finalement tous ses adversaires à plus de six mètres[9]. Pour la troisième fois consécutive (Hemery en 1968 et Akii-Bua en 1972), le record du monde du 400 m haies est battu en finale des Jeux olympiques[1].
Le , lors des championnats de l'AAU, à Westwood, près de Los Angeles, Moses remporte son premier titre national sur 400 m haies en 47 s 45[10] et améliore de 18/100e de seconde son propre record du monde[10].
Le , quelques jours avant le début des Jeux olympiques, Moses remporte le meeting de Milan en 47 s 13, retranchant 32/100e à son précédent record du monde[11]. Il signe ensuite seize victoires de rang et se rapproche de sa meilleure marque le 8 août à Berlin en 47 s 17.
Le à Coblence, peu après son titre de champion du monde, Edwin Moses se rapproche de la barrière des 47 secondes en établissant le quatrième et dernier record du monde de sa carrière en 47 s 02, soit une amélioration de 11/100e de sa meilleure marque mondiale établie trois ans auparavant[1].
Kevin Young sous les 47 secondes
modifierLe , l'Américain Kevin Young devient le premier athlète à descendre sous les 47 secondes sur 400 m haies en établissant le temps de 46 s 78 à l'occasion de sa victoire en finale des Jeux olympiques de 1992 à Barcelone[1]. Il améliore de 24/100e le record du monde d'Edwin Moses établi neuf ans plus tôt, et abaisse de 85/100e son record personnel accompli lors des demi-finales[12]. En 1998, à La Nouvelle-Orléans, l'Américain Bryan Bronson établit la troisième meilleure performance de tous les temps sur 400 m haies en 47 s 03[1].
De 2018 à 2021, trois athlètes descendent sous la barre des 47 secondes : Abderrahman Samba, le à Paris avec 46 s 98,le Norvégien Karsten Warholm, le à Stockholm, avec 46 s 87, et l'Américain Rai Benjamin, qui établit la deuxième meilleure performance de tous les temps le à Eugene avec 46 s 83[1].
Karsten Warholm sous les 46 secondes
modifierLe , quelques jours après la performance réalisé par Rai Benjamin, Karsten Warholm établit un nouveau record du monde du 400 mètres haies à l'occasion du meeting Ligue de diamant des Bislett Games à Oslo. Situé au couloir 7, il réalise le temps de 46 s 70 et améliore de huit centièmes de seconde l'ancienne meilleure marque mondiale que détenait Kevin Young depuis les Jeux olympiques de 1992[13]. Ce record du monde est réalisé quatre jours après le record du monde féminin de l'Américaine Sydney McLaughlin.
Presque un mois plus tard, le en finale des Jeux olympiques de Tokyo, il améliore de 76/100e de seconde son propre record en réalisant le temps de 45 s 94, devenant le premier athlète à franchir la barrière des 46 secondes[14]. Lors de cette course, l'Américain Rai Benjamin réalise une performance inférieure au précédent record du monde de Warholm avec 46 s 17.
Progression
modifierChronométrage manuel
modifier24 records du monde masculins ont été homologués par World Athletics.
Temps | Athlète | Date | Circonstance | Lieu |
---|---|---|---|---|
Chronométrage manuel | ||||
55 s 0 | Charles Bacon | Londres | ||
54 s 0 | Frank Loomis | Anvers | ||
53 s 8 | Sten Pettersson | Colombes | ||
52 s 6 y[15] | Johnny Gibson | Lincoln | ||
52 s 0 | Morgan Taylor | Philadelphie | ||
52 s 0 | Glenn Hardin | Los Angeles | ||
51 s 8 | Glenn Hardin | Milwaukee | ||
50 s 6 | Glenn Hardin | Stockholm | ||
50 s 4 | Yuriy Lituyev | Match Hongrie/URSS | Budapest | |
49 s 5 | Glenn Davis | Los Angeles | ||
49 s 2 | Glenn Davis | Match Hongrie/États-Unis | Budapest | |
49 s 2 | Salvatore Morale | Championnats d'Europe | Belgrade | |
49 s 1 | Rex Cawley | Sélections olympiques | Los Angeles | |
48 s 8 | Geoff Vanderstock | Sélections olympiques | Echo Summit | |
48 s 1 | David Hemery | Jeux olympiques | Mexico | |
47 s 8 | John Akii-Bua | Jeux olympiques | Munich |
Chronométrage électronique
modifierÀ partir du , l'IAAF ne valide que les records du monde établis à l'aide du chronométrage électronique. La performance de 47 s 82 réalisée par John Akii-Bua le à Munich constitue néanmoins la première mesure homologuée.
Temps | Athlète | Date | Circonstance | Lieu |
---|---|---|---|---|
47 s 82 | John Akii-Bua | Jeux olympiques | Munich | |
47 s 63 | Edwin Moses | Jeux olympiques | Montréal | |
47 s 45 | Edwin Moses | Championnats AAU | Westwood | |
47 s 13 | Edwin Moses | Milan | ||
47 s 02 | Edwin Moses | Coblence | ||
46 s 78 | Kevin Young | Jeux olympiques | Barcelone | |
46 s 70 | Karsten Warholm | Bislett Games | Oslo | |
45 s 94 | Karsten Warholm | Jeux olympiques | Tokyo |
Record du monde féminin
modifierDomination des pays de l'Est
modifierLe premier record du monde du 400 m haies féminin officiellement reconnue par l'IAAF est celui de la Polonaise Krystyna Kacperczyk avec son temps de 56 s 51 établi le à Augsbourg, en Allemagne. En 1977, le record est porté à 55 s 74 par la Soviétique Tatyana Storozheva, puis à 55 s 63 par l'Est-Allemande Karin Rossley. L'année suivante, Krystyna Kacperczyk s'adjuge de nouveau le record du monde en établissant le temps de 55 s 44 à Berlin, performance améliorée durant l'été 1978 par la Soviétique Tatyana Zelentsova (55 s 31 à Podolsk, puis 54 s 89 à Prague) qui devient la première athlète féminine à descendre sous les 55 secondes. Le à Moscou, sa compatriote Marina Makeyeva porte le record du monde à 54 s 79, avant que l'Est-allemande Karin Rossley ne le fixe à 54 s 28 le à Iéna. Le , à Moscou, la Soviétique Ana Ambrazienė améliore de 26/100e le record du monde de Rossley en établissant le temps de 54 s 02.
En 1984, le 400 m haies féminin figure pour la première fois au programme des Jeux olympiques. Quelques semaines avant les Jeux de Los Angeles, la Soviétique Margarita Ponomaryova améliore de 44/100e de seconde le record du monde d'Ana Ambrazienė en étant chronométrée en 53 s 58, le à Kiev, devenant la première femme à descendre sous les 54 secondes. Ce record est porté à 53 s 55 le à Berlin par l'Est-allemande Sabine Busch, puis à 53 s 32 par la Soviétique Marina Stepanova le à l'occasion de sa victoire aux championnats d'Europe de 1986, à Stuttgart. Le , Stepanova est la première à courir un 400 m haies en moins de 53 secondes, en établissant le temps de 52 s 94 à Tachkent.
Le , au cours des championnats du monde de Stuttgart, la Britannique Sally Gunnell améliore de 20/100e le record mondial de Marina Stepanova en s'imposant en finale dans le temps de 52 s 74[3]. Deux ans plus tard, le lors des championnats du monde 1995, à Göteborg, l'Américaine Kim Batten devient la nouvelle détentrice du record du monde en s'adjugeant la médaille d'or dans le temps de 52 s 61.
Le , durant les championnats de Russie de Toula, la Russe Yuliya Pechonkina améliore de 27/100e le record du monde de Kim Batten en le portant à 52 s 34. De 2003 à 2019, seules deux athlètes se rapprochent de ce record : la Jamaïcaine Melaine Walker (52 s 42 en 2009) et l'Américaine Lashinda Demus (52 s 47 en 2011).
Prise de pouvoir des Américaines
modifierLe , l’Américaine Dalilah Muhammad s’empare du record du monde en s’imposant lors des championnats des États-Unis à Des Moines dans le temps de 52 s 20[17].
Elle l'améliore le en finale des championnats du monde d'athlétisme 2019 avec le temps de 52 s 16[18].
Le record du monde de Dalilah Muhammad tient près de deux ans avant d'être battu par une autre Américaine, Sydney McLaughlin, âgée de 21 ans, qui devient la première femme de l'Histoire à descendre sous la barrière des 52 secondes en 51 s 90 lors des sélections olympiques américaines disputées à Eugene[19]. Presque un mois plus tard, le en finale des Jeux olympiques de Tokyo, McLaughlin améliore de 44/100e de seconde son propre record en réalisant le temps de 51 s 46. Lors de la même course, Muhammad réalise la deuxième meilleure performance de tous les temps avec 51 s 58, largement en deçà du précédent record du monde[20].
En 2022, Sydney McLaughlin améliore par deux fois son propre record du monde, d'abord en finale des championnats des États-Unis à Eugene le 25 juin, avec le temps de 51 s 41[21], puis en finale des championnats du monde de Eugene un mois plus tard, où elle devient la première femme à passer sous la barrière des 51 secondes, en 50 s 68[22].
Le à Eugene au cours des sélections olympiques américaines, Sydney McLaughlin-Levrone établit un cinquième record du monde consécutif en abaissant de 3/100e son temps établi deux ans plus tôt[23]. Le suivant, en finale des Jeux olympiques à Paris, McLaughlin-Levrone réalise un nouveau record du monde en s'imposant dans le temps de 50 s 37[24].
Progression
modifier22 records du monde féminins ont été homologués par World Athletics.
Temps | Athlète | Date | Lieu |
---|---|---|---|
56 s 51 | Krystyna Kacperczyk | Augsbourg | |
55 s 74 | Tatyana Storozheva | Chemnitz | |
55 s 63 | Karin Rossley | Helsinki | |
55 s 44 | Krystyna Kacperczyk | Berlin | |
55 s 31 | Tatyana Zelentsova | Podolsk | |
54 s 89 | Tatyana Zelentsova | Prague | |
54 s 78 | Marina Makeyeva | Moscou | |
54 s 28 | Karin Rossley | Iéna | |
54 s 02 | Ana Ambrazienė | Moscou | |
53 s 58 | Margarita Ponomaryova | Kiev | |
53 s 55 | Sabine Busch | Berlin | |
53 s 32 | Marina Stepanova | Stuttgart | |
52 s 94 | Marina Stepanova | Tachkent | |
52 s 74 | Sally Gunnell | Stuttgart | |
52 s 61 | Kim Batten | Göteborg | |
52 s 34 | Yuliya Pechonkina | Toula | |
52 s 20 | Dalilah Muhammad | Des Moines | |
52 s 16 | Dalilah Muhammad | Doha | |
51 s 90 | Sydney McLaughlin-Levrone | Eugene | |
51 s 46 | Sydney McLaughlin-Levrone | Tokyo | |
51 s 41 | Sydney McLaughlin-Levrone | Eugene | |
50 s 68 | Sydney McLaughlin-Levrone | Eugene | |
50 s 65 | Sydney McLaughlin-Levrone | Eugene | |
50 s 37 | Sydney McLaughlin-Levrone | Paris |
Meilleures performances mondiales en salle
modifierLe 400 m haies est disputé pour la première fois en salle en 2004 à Mondeville, mais le record du monde en salle n'est pas reconnu par l'IAAF. Les meilleures performances de tous les temps sont établies par le Dominicain Félix Sánchez, auteur de 48 s 78 le à Val-de-Reuil, et par l'Américaine Sheena Tosta, créditée de 56 s 41 le , toujours à Val-de-Reuil[26].
Autres catégories d'âge
modifierLes records du monde juniors du 400 m haies sont actuellement détenus par l'Américain Sean Burrell et le Jamaïcain Roshawn Clarke, auteurs de 47 s 85, respectivement le à Eugene et le à Kingston, et chez les femmes par l'Américaine Sydney McLaughlin, créditée de 53 s 60 le à Knoxville[27].
Les meilleures performances mondiales cadets sont la propriété du Sud-Africain Sokwakhana Zazini (48 s 84 le à Pretoria) et de Sydney McLaughlin (53 s 60 le à Knoxville)[28].
Record | Athlète | Temps | Date | Lieu |
---|---|---|---|---|
Record du monde junior | Sean Burrell Roshawn Clarke |
47 s 85 | Eugene Kingston | |
Meilleure performance mondiale cadet | Sokwakhana Zazini | 48 s 84 | Pretoria |
Record | Athlète | Temps | Date | Lieu |
---|---|---|---|---|
Record du monde junior | Sydney McLaughlin | 53 s 60 | Knoxville | |
Meilleure performance mondiale cadet | Sydney McLaughlin | 54 s 15 | Knoxville |
Notes et références
modifier- (en) World Athletics, « Progression of world athletics records (édition 2020) », sur worldathletics.org (consulté le ), p. 142 à 147
- Parienté et Billouin 2003, p. 483.
- Parienté et Billouin 2003, p. 484.
- Parienté et Billouin 2003, p. 487.
- Parienté et Billouin 2003, p. 492.
- Parienté et Billouin 2003, p. 495.
- Parienté et Billouin 2003, p. 499.
- (en) « Athletics at the 1976 Montréal Summer Games:Men's 400 metres Hurdles », sur sports-reference.com (consulté le )
- (en) « Athletics at the 1976 Montréal Summer Games:Men's 400 metres Hurdles », sur sports-reference.com (consulté le )
- (en) Leonard Koppett, « Moses Sets World 400 Hurdles Mark; Moses Sets World Mark In Hurdles », sur nytimes.com, (consulté le )
- (en) Frank Litski, « Moses Lowers Hurdles Record; One Loss Since Olympics More Demanding Than 400 Moses Sets 47.13 Mark In Hurdles », sur nytimes.com, (consulté le )
- Parienté et Billouin 2003, p. 511.
- « Karsten Warholm améliore le record du monde du 400 m haies », sur lequipe.fr,
- « Karsten Warholm remporte le 400 m haies des JO de Tokyo et pulvérise le record du monde », sur lequipe.fr,
- "y" : 440 yards haies (402,34 m)
- (en)« World Record Progression of 400 Metres Hurdles », sur iaaf.org (consulté le )
- afp/alt, « Athlétisme: Dalilah Muhammad bat le record du monde du 400 mètres haies », sur rts.ch, (consulté le )
- « Muhammad breaks world record as Barshim and Kipruto retain titles – IAAF World Athletics Championships Doha 2019, day eight », sur iaaf.org, (consulté le ).
- « Athlétisme : record du monde pour Sydney McLaughlin qui devient la première femme à passer la barre des 52 secondes sur le 400m haies », sur Franceinfo, (consulté le )
- « Sydney McLaughlin remporte le 400 m haies des JO de Tokyo et bat le record du monde », sur L'Équipe, (consulté le )
- « Record du monde pour Sydney McLaughlin sur 400 m haies à Eugene en 5141 », sur lequipe.fr,
- « Records en série pour Sydney McLaughlin, titrée sur 400 m haies aux Mondiaux d'Eugene », sur lequipe.fr,
- (en) « McLaughlin-Levrone breaks world 400m hurdles record at US Trials », sur worldathletics.org,
- « JO Paris 2024 - Athlétisme : McLaughlin-Levrone bat le record du monde du 400m haies, Holloway enfin sacré », sur eurosport.fr,
- (en)« World Record Progression of 400 Metres Hurdles », sur iaaf.org (consulté le )
- (en) « 400 m haies en salle - Meilleures performances », sur 4hindoor.fr (consulté le )
- (en) « Records du monde juniors d'athlétisme », sur iaaf.org (consulté le )
- (en) « Meilleures performances mondiales cadets en athlétisme », sur iaaf.org (consulté le )
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierBibliographie
modifier- Robert Parienté et Alain Billouin, La Fabuleuse Histoire de l'athlétisme, Minerva, , 1021 p. (ISBN 978-2-8307-0727-4)