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==Biographie==
Étudiant en lettres, il s'engage activement en faveur du [[Front de libération nationale (Algérie)|FLN]] et devient [[porteur de valises]]. Le 24 novembre 1960, alors qu'il est vice-président de l'AG des étudiants UNEF de Lyon, il est arrêté pour cela ainsi que sa femme. Le 14 avril 1961, ils sont l'un et l'autre condamnés à dix ans de prison et emprisonnés aux prisons [[Prisons Saint-Paul et Saint-Joseph|Saint- Paul]] puis [[Montluc]]. Il est frappé d'[[indignité nationale]]. Il fera finalement trois ans de prison avant de bénéficier d'une grâce présidentielle<ref>[http://tempsreel.nouvelobs.com/culture/20041029.OBS0377/mort-du-journaliste-litterairejean-jacques-brochier.html « Mort du journaliste littéraire Jean-Jacques Brochier »], ''Le Nouvel Observateur'', 4 novembre 2004.</ref>.
Proche de [[Gilles Deleuze]] et de [[Dominique de Roux]] qui le guide vers le [[Magazine littéraire]], en [[1967]], admirateur de [[Martin Heidegger]] et [[Jean-Paul Sartre]], il a en sa possession un bureau d'[[Émile Zola]]<ref>[http://www.magazine-litteraire.com/mensuel/437/saluer-jean-jacques-brochier-01-12-2004-31201 Article de Jean-Louis Hue], ''Le Magazine littéraire''.</ref> et devient chroniqueur de télévision dans [[Italiques (émission)|Italiques]], l'émission proposée par [[Marc Gilbert]]<ref>[http://www.tribunejuive.info/television/marc-gilbert-italiques-le-talk-show-litteraire « Marc Gilbert : Italiques, l'émission littéraire »], ''Tribune Juive''.</ref>.
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