« André Le Nôtre » : différence entre les versions

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| nom = André Le Nôtre
| image = Andre-Le-Nostre1.jpg
| légende = André Le Nôtre portant l'[[ordre de Saint-Michel]], par [[Carlo Maratta]], [[château de Versailles]].
| nom de naissance = Le Nostre
| surnom = Bonhomme Le Nôtre
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}}
 
'''André Le Nôtre''' ou '''André Le Nostre'''<ref group=note name="nom">Son nom s'écrivait, à son époque, avec « os » au lieu de « ô » comme le montrent son épitaphe, cf. ''[http://www.culture.gouv.fr/culture/actualites/celebrations2000/lenotre.htm Mort d'André Le Nôtre]'', et la rubrique nécrologique du ''Mercure Galant'', cf. ''[http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/crai_0065-0536_2000_num_144_4_16216 André Le Nôtre, ou l'espace souverain]'', mais on utilise souvent l'orthographe modernisée de son nom : « Le Nôtre ».</ref>, né le {{Date de naissance|12|mars|1613}} à [[Paris]] où il meurt le {{Date de décès|15|septembre|1700}}, fut jardinier du roi [[Louis XIV]] de [[1645]] à [[1700]] et eut notamment pour tâche de concevoir l'aménagement du [[Parc de Versailles|parc]] et des [[Jardins de Versailles|jardins]] du [[château de Versailles]], mais aussi de celui de [[Château de Vaux-le-Vicomte|Vaux-le-Vicomte]] (pour le [[Surintendant des Finances]] [[Nicolas Fouquet]]), le [[Château du Fayel]] et [[château de Chantilly|Chantilly]].

Très fameux courtisan, il réussit à s'attirer les faveurs de Louis XIV, par une bonhomie probablement travaillée (en présence même du roi), qui lui vaut le surnom, de son vivant, de « bonhomme Le Nôtre ». Il sut se placer à l'écart des intrigues de la Cour et obtenir les bonnes grâces d'un roi passionné de jardins<ref name="FF">[[Franck Ferrand]], émission ''Au cœur de l'histoire'' sur Le Nôtre, Europe 1, 25 avril 2011.</ref>. Il est l'auteur des plans d'un grand nombre de [[Jardin à la française|jardins à la française]].
 
== Biographie ==
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=== Enfance et jeunesse ===
 
André Le Nôtre est né à Paris le {{Date de naissance|12|mars|1613}} et y meurt le {{Date de décès|15|septembre|1700}}. Il est baptisé le {{date-|12 mars 1613}} en l'[[Église Saint-Roch (Paris)|église Saint-Roch]] à Paris<ref name="GAR-58">{{Harvsp|id=GAR|Garrigue|2011|p=58}}.</ref>. Il a pour grand-père Pierre Le Nôtre, jardinier maraîcher puis jardinier du roi auaux [[jardin des Tuileries|Tuileries]], office prestigieux qu'il transmet à son fils<ref>{{Ouvrage|auteur1=Dominique Garrigues|titre=Jardins et jardiniers de Versailles au grand siècle|éditeur=Éditions Champ Vallon|année=2001|pages totales=386|passage=59|isbn=978-2-87673-337-4|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=Ydec-3eKtikC}}.</ref>. Son père [[Jean Le Nôtre]] (1575-1655) est « jardinier ordinaire du roi chargé de l'entretien du jardin des Tuileries » de [[Marie de Médicis]] et porte, depuis 1625, le titre de dessinateur des plants et jardins. Sa mère Marie Jacquelin (1587-1675) est fille du maître jardinier Toussaint Jacquelin<ref>{{Harvsp|id=GAR|Garrigue|2011|p=58-9}}.</ref>. Il reçoit le prénom de son parrain, André Bérard de Maisoncelle, contrôleur général des jardins du Roi sous [[Henri IV (roi de France)|Henri IV]] et [[Louis XIII]]<ref name="GAR-58"/>. Sa marraine, Claude de Martigny, est l'épouse de [[Claude Mollet]], également jardinier du roi aux Tuileries<ref>[[Auguste Jal]], ''Dictionnaire critique de biographie et d'histoire'', Paris, Henri Plon, 1872, {{p.|771}}.</ref>.
 
Le jeune André Le Nôtre entre, en 1620, comme pupille dans l'atelier de [[Simon Vouet]], peintre de Louis XIII, où il apprend le dessin pendant six ans<ref>{{Harvsp|id=GAR|Garrigue|2011|p=59}}.</ref>. Il étudie également la sculpture auprès de [[Louis Lerambert]] et l'architecture et la perspective auprès de [[François Mansart]]<ref name="GAR-60">{{Harvsp|id=GAR|Garrigue|2011|p=60}}.</ref>. Les artisans et artistes (notamment des peintres), qu'il rencontre au château où travaille son père, lui permettent de se familiariser aux usages de la cour qui lui seront utiles pour sa carrière<ref>{{lien web|url=https://www.franceinter.fr/emission-la-marche-de-l-histoire-andre-le-notre-et-l-art-des-jardins|titre=André Le Nôtre et l’Art des jardins|date=12 mars 2013|site=franceinter.fr|consulté le=12 mars 2013}}.</ref>.
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Le Nôtre visite également le [[Gian Lorenzo Bernini|Bernin]], chargé de sculpter une statue équestre du roi, et l'[[villa Borghèse|académie de France à Rome]] dont il est chargé de s'assurer de la qualité de l'enseignement dispensé aux élèves<ref name="GAR-70">{{Harvsp|id=GAR|Garrigue|2011|p=70}}.</ref>. Ayant appris sa présence à Rome, le pape [[Innocent XI]] demande à rencontrer Le Nôtre<ref>{{Harvsp|id=THO|Thompson|2006|p=272}}.</ref>. Selon Saint-Simon, le pape veut lui confier le tracé des jardins pontificaux. À la fin de leur entrevue, Le Nôtre déclare {{Citation|Je ne me soucie plus de mourir puisqu'à présent j'ai devisé familièrement avec les deux plus grands hommes du monde, Votre Sainteté et le Roi mon maître}}. Le pape répond {{Citation|Votre roi est un grand prince victorieux, moi je ne suis qu'un pauvre prêtre. Il est encore assez jeune, moi je suis vieux}}. Le jardinier rétorque {{Citation|Mon révérend Père, vous vous portez bien, vous enterrerez tout le Sacré Collège}}. Les deux hommes éclatent de rire et, sous le coup de l'émotion, Le Nôtre embrasse sur les deux joues le pape avant de baiser sa mule. Le duc de Créquy parie avec le roi Louis XIV {{Unité|mille|louis}} que cette scène est une baliverne ; il perd son pari qui confirme le surnom du jardinier le {{Citation|bonhomme Le Nôtre}}<ref>[[Erik Orsenna]], ''Portrait d'un homme heureux : André Le Nôtre'', édition Folio, {{p.|122}}.</ref>. La véracité de cette anecdote est toutefois contestée par Voltaire, qui se fonde sur le témoignage d'un disciple de Le Nôtre, et ajoute : {{citation|on n'a pas besoin de ce témoignage pour savoir qu'un intendant des jardins ne baise point les papes et les rois des deux côtés<ref>Voltaire, ''Le Siècle de Louis XIV'', 1751. Édition de la Pléiade, {{p.|1220}}.</ref>{{,}}<ref name="GAR-75">{{Harvsp|id=GAR|Garrigue|2011|p=75, note 2}}.</ref>.}}
 
À partir de 1681, Le Nôtre assiste en tant qu'auditeur libre aux séances de l'[[Académie royale d'architecture]]<ref>David de Pénanrun, Roux et Delaire, ''Les architectes élèves de l'école des beaux-arts (1793-1907)'', Librairie de la construction moderne, {{2e}} éd., 1907, {{p.|129}}.</ref>. Il intervient dans l'aménagement des jardins du [[château de Meudon]] pour [[François Michel Le Tellier de Louvois|Louvois]] en 1679-1691.
Contrairement à une légende, trop âgé et se trouvant à Rome au moment de sa conception par [[Jules Hardouin-Mansart]] en 1679, il ne participe pas aux aménagements du [[Château de Marly|château de Marly-le-Roi]], dernière résidence voulue par Louis XIV,{{refnec}}. Agacé en 1692.effet Ilpar estla cependantprépondérance agacéd'Hardouin-Mansart paren matière de jardins et les velléités du Roi-Soleil à vouloirles concevoir sesavec propresson jardinspremier architecte<ref>[[Erik Orsenna]], ''Portrait d'un homme heureux'', édition Folio, {{p.|135}}.</ref>., IlLe Nôtre cesse donc de travailler pouren ce1693, dernieroffrant toutau en lui offrantroi ses plus belles œuvres d'art à son décès en 16931700.
Il fait encore des projets pour de rares privés : il envoie par lettre ses instructions pour les châteaux de [[château de Charlottenburg|Charlottenburg]] et [[château de Cassel|Cassel]] en [[Allemagne]] en 1694 et adresse à [[Guillaume III d'Angleterre]] des plans pour le [[château de Windsor]] en 1698.
D'après Patricia Bouchenot-Déchin, il était dyslexique et aurait compensé ce trouble par une vision en trois dimensions et un champ de vision plus large que ceux des normo-lecteurs<ref>{{Ouvrage|auteur1=Patricia Bouchenot-Déchin|titre=André Le Nôtre|éditeur=[[Librairie Arthème Fayard|Fayard]]|année=2013|passage=47|isbn=}}.</ref>. Cette hypothèse est basée sur la seule observation des quelques écrits laissés par le jardinier.
[[FileFichier:Maison andré le nostre aux tuileries franck devedjian oct 2018.jpg|thumbvignette|Plan du rez -de -chaussée de la maison d'André Le NostreNôtre aux Tuileries, état en 1694.]]
En 1693, André Le Nôtre se retire dans sa maison près du [[pavillon de Marsan]] dans le [[palais des Tuileries]], auprès de son épouse et de ses nièces et neveux qu'il a adoptés après la mort de ses trois enfants. Sa maison était entourée d’un jardin qu’il entretenait lui-même. Il continuait cependant pendant cette fausse retraite (provoquée notamment par la concurrence de [[Jules Hardouin-Mansart]]) de travailler pour les particuliers et souverains étrangers. Il y meurt le {{date-|15 septembre 1700}} à l'âge de 87 ans, laissant une fortune estimée à un million de livres<ref name="Déchin"/>. Ses obsèques sont célébrées en l'[[Église Saint-Germain-l'Auxerrois (Paris)|église Saint-Germain-l'Auxerrois]] puis il est inhumé en l'[[église Saint-Roch (Paris)|église Saint-Roch]]<ref group=note name="reg">Extrait du [[registre paroissial]] de l'[[Église Saint-Germain-l'Auxerrois (Paris)|église Saint-Germain-l'Auxerrois]] à Paris :
{{citation bloc|<!--ATTENTION ORTHOGRAPHE D'ÉPOQUE ; NE PAS "CORRIGER"-->Du jeudy {{16e}} septembre 1700, avec la permission de son Éminence monseigneur le cardinal de Noailles, archevêque de Paris, et celle de M. le curé, après l'office des deffuncts chanter, le corps de messire André Le Nostre, chevalier de l'ordre de Saint-Michel, conseiller du Roy, controlleur général ancien des Bâtiments, Arts et Manufactures de France, âgé de quatre-vingt sept ans, décédé hier à quatre heures du matin dans son appartement aux Tuileries, a esté porté en carosse de cette église en l'église paroissiale de Saint-Roch, où il sera inhumé, en présence de messire Nicolas Brevac de Redemont, écuyer du Roy, gouverneur des pages de la grande écurie du Roy, beau-frère du deffunct, et de messire André Rombes, chanoine de l'Église de Paris, neveu du deffunct, qui ont signé.|Registre détruit dans l'[[Registres paroissiaux et d'état civil à Paris#Les incendies de la Commune de Paris de 1871 et la destruction des archives parisiennes|incendie de 1871]] mais acte recopié par Eugène Piot dans ''État civil de quelques artistes français - extrait des registres paroissiaux des anciennes archives de la ville de Paris'', Paris, Librairie Pagnerre, 1873, page 75.}}</ref>. Selon ses désirs, il est inhumé sans cérémonie. La chapelle qui accueille son tombeau est ornée d’une peinture de [[Jean Jouvenet]], intitulée ''Le Martyre de Saint-André''. Sa veuve, Françoise Langlois, commanda peu après au sculpteur Pierre Cotton un monument funéraire pour honorer la mémoire de son mari. Réalisé avant 1707, il prit place face au maître-autel, sous une grande arcade. Se détachant sur un fond de marbre veiné de couleur, il se composait d’une allégorie en marbre blanc tenant l’épitaphe du jardinier, en lettres d’or sur un marbre noir, le tout surmonté des armoiries du défunt, avec les fameux trois limaçons et le collier de l’ordre de Saint-Michel ; au-dessous, à hauteur du spectateur, était placé sur une console le buste du défunt, la tête légèrement tournée vers la droite, commandé spécialement à un des maîtres de la sculpture funéraire du temps, [[Antoine Coysevox]]<ref>Anne Allimant-Verdillon et Alexandre Gady, ''Le Jardin des Tuileries d'André Le Nôtre. Un chef-d’œuvre pour le Roi Soleil'', Paris, Somogy, 2013.</ref>. Profanée lors de la [[Révolution française|Révolution]], il ne subsiste de cette sépulture que le buste d’Antoine Coysevox<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Mort d'André Le Nôtre|url=http://www.culture.gouv.fr/culture/actualites/celebrations2000/lenotre.htm|date=|site=culture.gouv.fr|consulté le=2018-7-2}}.</ref>.
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== Autres jardins de Le Nôtre ==
[[Fichier:Midi.jpg|vignette|Parterres du Midi, [[château de Versailles]].]]
[[ImageFile:CastresJardin lesà jardinsla defrançaise. l'évêchéCastres.jpg|vignette|droite|[[Jardin de l'Évêché de Castres|Jardin de l'évêché]] dessiné par André Le Nôtre à [[Castres]] en 1676.]]
 
{{colonnes|nombre=2|
*[[Jardin de l'Évêché de Castres|Jardin de l'évêché]] de [[Castres]] ([[Tarn (département)|Tarn]])
*Jardin du [[Château de la Chaize (Odenas)|Château de la Chaize]] ([[Rhône (département)|Rhône]])
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* Jardins du [[château de Balleroy]] à [[Balleroy]] ([[Calvados (département)|Calvados]])
* Jardins du [[château de Gaillon]] à [[Gaillon]] ([[Eure (département)|Eure]])
* Jardins du château de Benainvilliers à [[Morainvilliers]] ([[Yvelines (département)|Yvelines]])
* [[Jardin des Tuileries]] à Paris, {{1er|arrondissement}}
* Jardins du [[château de Jumilhac]] ([[Dordogne (département)|Dordogne]])
* Jardins du [[château de Louvois]] ([[Marne (département)|Marne]])
* Jardin du [[château d'Entrecasteaux]] ([[Var (département)|Var]])
* [[Jardins de Mademoiselle de La Vallière]], [[Carrières-sur-Seine]] ([[Yvelines (département)|Yvelines]])
* Jardins du [[château d'Ussé]] ([[Indre-et-Loire]], [[Touraine]])
* Jardins du [[château de Maintenon]] ([[Eure-et-Loir]])
* Jardins du [[château de La Barben]] ([[Bouches-du-Rhône]])
* Jardins du [[château de Castries]] ([[Hérault (département)|Hérault]])
* Jardins du [[château d'Eu]] ([[Seine-Maritime]])
*sans doute les jardins du [[Château de Combreux (Seine-et-Marne)|château de Combreux]] (axe latéral avec le canal)
* Jardins du [[Château de Mouchy (Monchy-Humières)]] ([[Oise (département)|Oise]])
 
* sans doute les jardins du [[Château de Combreux (Seine-et-Marne)|château de Combreux]] (axe latéral avec le canal)
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== Avenues ==
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=== Bibliographie ===
 
* [[Grégory Vouhé]], « Le Nôtre au service des La Trémoïlle », ''L’Actualité Poitou-Charentes'' n° 102, automne 2013, actualise l'article du même auteur : « Les jardins du château de Thouars : Lemercier, Le Nôtre, Hardouin-Mansart, Gabriel, et De Cotte », ''Revue historique du Centre-Ouest'', t. I, 2<sup>e</sup> semestre 2002. Anne Allimant-Verdillon et Alexandre Gady, ''Le jardin des Tuileries d'André Le Nôtre. Un chef-d'œuvre pour le Roi Soleil'', Paris, Éditions Somogy, 2013.
* Patricia Bouchenot-Déchin, ''André Le Nôtre'', Paris, Fayard, 2013, {{ISBN|978-2-21366-159-9}}, 656{{nb p.}}
* Catherine de Bourgoing, préface de Didier Wirth, ''Le Nôtre Jardins connus et méconnus'', Paris, Éditions Fondation des parcs et jardins de France, 2013.
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* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=en|auteur1=Franklin Hamilton Hazlehurst|titre=Des jardins d’illusion|sous-titre=le génie d’André Le Nostre|titre original={{langue|en|texte=Gardens of illusion : the genius of André Le Nostre}}, Nashville, Vanderbilt University Press, 1980|lieu=Paris|éditeur=Somogy|année=2006|pages totales=417|format livre=27 x 19 cm|isbn=978-2-85056-841-1|oclc=743108784|lire en ligne={{Google Livres|EhT3swEACAAJ}}}}.
* {{Ouvrage|langue=fr|auteur1=[[Anatole Louis Théodore Marie Granges de Surgères|Anatole Louis Granges de Surgères]]|titre=Artistes français des {{s2-|XVII|e|XVIII|e}}|lieu=Paris|éditeur=Charavay Frères|année=|pages totales=1893|passage=123|isbn=|lire en ligne=https://archive.org/stream/artistesfranais00infgoog#page/n129/mode/2up}}.
* [[Michel Mourlet]], ''la Méditation au Jardin'', pièce créée sur [[France Culture]] le 18.9.1966 avec [[Marcel André]] (Le Nôtre), [[Régine Blaess]] et [[Bernard Dhéran]] de la Comédie-Française ; publiée dans le recueil ''la Sanglière'' (Loris Talmart, 1987). Adaptée librement en vidéo de long métrage sous le titre [[L'Ordre vert (film)|''l'Ordre Vert'']], réalisation de [http://www.corinnegarfin.com Corinne Garfin] (2003).<!--
 
=== Articles connexes ===
* [[Paysage|Architecte paysagiste]]
* [[Art baroque]]
* [[Jardin baroque]]
* [[jardin français|Jardin à la Française]]
* Film ''[[Les Jardins du roi (film, 2014)|Les Jardins du roi]]''-->
 
=== Liens externes ===