« Jean-Claude Gallotta » : différence entre les versions
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| surnom =
| nom de naissance =
| date de naissance = {{date de naissance|7|avril|1950|âge=oui}}
| lieu de naissance = [[Grenoble]] en [[France]]
| date de décès =
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| activités autres = [[Réalisateur]] et [[scénariste]]
| lieux d'activité = [[MC2]] de [[Grenoble]]
| années actives = Depuis 1979
| collaborations = [[Mathilde Altaraz]]<br>[[Henry Torgue et Serge Houppin]]<br>[[Claude-Henri Buffard]]<br>
| éditeurs =
| formation = Beaux-Arts de Grenoble
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}}
'''Jean-Claude Gallotta''', né le {{date de naissance|7|avril|1950}} à [[Grenoble]]<ref name="50CC">{{en}} ''Fifty contemporary choreographers'', Martha Bremser, éditions [[Routledge]],
Directeur emblématique de 1984 à 2016 du [[Centre chorégraphique national de Grenoble]], intégré à la [[MC2]], Jean-Claude Gallotta est considéré depuis le début des années 1980 comme l'un des plus importants représentants de la [[nouvelle danse française]] dont il a largement participé à l'essor et à la reconnaissance publique et institutionnelle<ref name="Boisseau">[[Rosita Boisseau]], ''Panorama de la danse contemporaine. 90 chorégraphes'', [[Éditions Textuel]], [[Paris]], 2006, {{p.|227}}</ref>{{,}}<ref name="50CC"/>{{,}}<ref name="NObs"/>.
== Biographie ==
=== Famille et formation ===
Fils d'émigrés italiens (de père napolitain et de mère italo-autrichienne<ref name="Repu84"/>) venus à Grenoble, Jean-Claude Gallotta découvre la [[ballet|danse classique]] et les [[claquettes]] à 22 ans après des études d'[[arts plastiques]] aux [[École supérieure d'art de Grenoble|Beaux-Arts de Grenoble]]<ref name="Boisseau"/>{{,}}<ref name="50CC"/>. Subjugué par la discipline, il quitte les Beaux-arts et réussit à s'imposer dans les cours de danse de Grenoble où il fait la connaissance de [[Mathilde Altaraz]], qui
=== Débuts de danseur et chorégraphe ===
En 1981, Gallotta crée sa pièce fondatrice ''[[Ulysse (ballet)|Ulysse]]'' qui deviendra une pierre angulaire de la [[nouvelle danse française]]<ref name="Figaro">[http://www.lefigaro.fr/culture/2007/10/15/03004-20071015ARTFIG90276-un_nouveau_voyage.php ''Un nouveau voyage''] dans ''[[Le Figaro]]'' du 22 octobre 2007.</ref>{{,}}<ref name="Huma">[http://www.humanite.fr/2007-10-16_Cultures_Malheureux-qui-comme-Ulysse ''Malheureux qui comme Ulysse...''] dans ''[[L'Humanité]]'' du 16 octobre 2007</ref>. Avec ''Ulysse'', il crée une danse énergique, faite de mouvements de pieds rapides, de petits pas prenant progressivement de l'amplitude dans les grands mouvements d'ensembles latéraux et en profondeurs devenus caractéristiques de son travail chorégraphique<ref name="Figaro"/>{{,}}<ref name="Huma"/>. De façon intéressante, Gallotta va rechorégraphier tous les dix ans environ cette œuvre déclarant « revisiter ses pièces pour éviter de les voir mourir »<ref name="JDD"/>, et en donner de nombreuses versions (à ce jour il en existe quatre), tant sur le plan musical que des interprètes (notamment avec des enfants et des danseurs séniors), créant en 1995, sur la demande de [[Brigitte Lefèvre]], une version pour 45 danseurs et trois étoiles du [[ballet de l'Opéra de Paris]] intitulée ''Les Variations d'Ulysse'' et donnée à l'[[Opéra Bastille]]<ref name="NObs">[http://artsetspectacles.nouvelobs.com/p1615/a17613.html ''La Nouvelle Odyssée de Jean-Claude Gallotta''] dans ''[[Le Nouvel Observateur]]'' nº1615 du 19 octobre 1995.</ref>.▼
De retour des États-Unis, il fonde sa propre compagnie en 1979 avec des artistes grenoblois comme le danseur Robert Seyfried et Mathilde Altaraz, nommée le Groupe Émile-Dubois en hommage au [[facteur Cheval]] et à tous les autodidactes<ref name="VdU63"/>. Ce nom énigmatique pris sur le modèle de « Jean Dupond » fait référence à tout le monde et à personne en particulier selon Gallotta lui-même qui dit avoir inventé le nom, bien qu'il ait été suggéré que cela pouvait référer à Émile Dubois, un peintre parisien gravitant autour des [[Ballets russes]] de [[Diaghilev]] essayer de proposer une ''danse moderne'' dans les années 1920-30<ref name="Repu84">{{it}} [http://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/1984/10/11/addio-coreografia.html ''Addio, coreografia...''] dans ''[[La Repubblica]]'' du 11 octobre 1984</ref>{{,}}<ref name="50CC"/>. Si entre Jean-Claude Gallotta et Mathilde Altaraz s'instaure dès le début un équilibre et un partage des rôles, selon leurs préférences, au sein de la compagnie il faut considérer les apports exogènes au couple de vie et de travail. Lui se consacre à la création et l'écriture chorégraphique, elle se charge du travail de répétitions en aval<ref name="VdU45">[[#GAL98|Jean-Claude Gallotta (1998)]], {{p.|45}}</ref>. Des artistes comme [[Robert Seyfried]], Anne-Marie Moenne-Loccoz, le compositeur [[Henry Torgue et Serge Houppin|Henry Torgue]] et son collaborateur de l'époque Gilles Jaloustre ou des personnalités comme le décorateur Léo Standard participent au succès du Groupe Émile-Dubois au niveau local. À la suite d'une série de présentations réussies de ''Pas de quatre'' dans la petite salle de la Maison de la culture en fin de saison 1979/1980, son directeur Bernard Gilman invite la compagnie en résidence dans ses locaux. Le Groupe Émile Dubois est invité à la [[Maison de la danse de Lyon]], toute nouvellement ouverte sous la direction de [[Guy Darmet]]. La pièce ''Mouvements'', second volet du triptyque hommage à Yves P. confirme l'adhésion du public à cette forme nouvelle de la danse désormais appelée [[nouvelle danse française]] dont il devient l'un des principaux chef de file.
=== Un des chefs de file de la Nouvelle danse française ===
En 1986, il sera nommé directeur de la [[MC2|Maison de la Culture de Grenoble]] qu'il rebaptise Le Cargo<ref>Appelé aujourd'hui [[MC2]] depuis son agrandissement en 2004</ref>, cette nouvelle appellation ouvrant la voix à une nouvelle génération de noms pour les centres culturels. C'est la première fois qu'un chorégraphe prend la tête d'une [[Scène nationale]]. Sa compagnie devient de même [[Centre chorégraphique national]] de Grenoble<ref name="Boisseau"/>. ▼
▲En 1981, Jean-Claude Gallotta crée sa pièce fondatrice ''[[Ulysse (ballet)|Ulysse]]'' qui
▲En 1986, il
Avec ''Mammame'' puis ''Docteur Labus'', Gallotta confirme son succès et sa place dans la création chorégraphique contemporaine française. Hormis les reprises d'''[[Ulysse (ballet)|Ulysse]]'', la période 1990-2000 sera plus difficile dans l'œuvre de Gallotta. Avec la collaboration de Strigall pour la musique et de Claude-Henri Buffard pour la dramaturgie, il retrouve le succès grâce à un important triptyque s'attachant aux « Gens » à partir de 2002 et constitué de ''99 Duos'', ''[[Trois générations]]'' (en collaboration avec le Groupe Grenade de [[Josette Baïz]]) et ''Des gens qui dansent'' qui connaîtront une grande audience nationale et internationale{{refnec}}.▼
=== Re-création des œuvres et nouvelles approches ===
En 2007, Gallotta reçoit la proposition de Jean-Marc Ghanassia d'adapter l'album de [[Serge Gainsbourg]] ''[[L'Homme à tête de chou]]'' datant de [[1976 en musique|1976]]<ref name="LeSoir"/>. Il décide de faire appel à [[Alain Bashung]] pour chanter et adapter en termes de durée l'œuvre qu'il devait chanter sur scène en direct pour accompagner la danse sous forme de douze tableaux. Ce projet mené en 2008 n'a pas pu totalement aboutir avec la mort de Bashung qui s'est cependant efforcé dans les derniers mois de 2008 d'aboutir à une bande enregistrée suffisante afin de permettre au chorégraphe d'aller au bout du projet dont la première a lieu le {{date|12|novembre|2009|en musique}} à la [[MC2]] de [[Grenoble]]<ref name="Express">[http://www.lexpress.fr/culture/scene/danse/dans-les-coulisses-de-l-homme-a-la-tete-de-chou_827822.html ''Dans les coulisses de L'Homme à la tête de chou''] dans ''[[L'Express]]'' du 12 novembre 2009.</ref>{{,}}<ref>[http://www.lemonde.fr/culture/article/2009/11/13/pour-l-homme-a-tete-de-chou-bashung-s-est-coule-dans-la-peau-de-gainsbourg_1266757_3246.html ''Pour "L'Homme à tête de chou", Bashung s'est coulé dans la peau de Gainsbourg''] dans ''[[Le Monde]]'' du 13 novembre 2009</ref>{{,}}<ref name="LeSoir"/>. ▼
▲Avec ''Mammame'' puis ''Docteur Labus'', Gallotta confirme son succès et sa place dans la création chorégraphique contemporaine française. Hormis les reprises d'''[[Ulysse (ballet)|Ulysse]]'', la période 1990-2000
▲En 2007, Gallotta reçoit la proposition de [[Jean-Marc Ghanassia]] d'adapter l'album de [[Serge Gainsbourg]] ''[[L'Homme à tête de chou]]'' datant de [[1976 en musique|1976]]<ref name="LeSoir"/>. Il décide de faire appel à [[Alain Bashung]] pour chanter et adapter en termes de durée l'œuvre qu'il devait chanter sur scène en direct pour accompagner la danse sous forme de douze tableaux. Ce projet mené en 2008 n'a pas pu totalement aboutir avec la mort de Bashung qui s'est cependant efforcé dans les derniers mois de 2008 d'aboutir à une bande enregistrée suffisante afin de permettre au chorégraphe d'aller au bout du projet dont la première a lieu le {{date|12|novembre|2009|en musique}} à la [[MC2]] de [[Grenoble]]<ref name="Express">[http://www.lexpress.fr/culture/scene/danse/dans-les-coulisses-de-l-homme-a-la-tete-de-chou_827822.html ''Dans les coulisses de L'Homme à la tête de chou''] dans ''[[L'Express]]'' du 12 novembre 2009.</ref>{{,}}<ref>[
En {{date-|mars 2015}}, dans le cadre de la saison d'ouverture de la [[Philharmonie de Paris
Le {{date-|31 décembre 2015}}, Jean-Claude Gallotta quitte la direction du [[Centre chorégraphique national de Grenoble]] pour travailler uniquement avec sa compagnie, le Groupe Émile-Dubois, tout en étant en résidence à la MC2 de Grenoble.
▲L'automne 2013 voit la création de ''l'Histoire du soldat'' de Stravinski et d'''El amor brujo'' de Manuel de Falla, spectacle "à trois mains" avec le chef d'orchestre [[Marc Minkowski]] et le metteur en scène [[Jacques Osinski]]. Le personnage de la gitane Candelas dans ''El amor brujo'' est confié à la chanteuse [[Olivia Ruiz]]. Le spectacle est programmé à l'Opéra Comique de Paris au printemps 2014.
▲En mars 2015, dans le cadre de la saison d'ouverture de la [[Philharmonie de Paris|Philharmonie]], est présenté sous le titre générique du ''Sacre et ses révolutions'' un programme composé du ''Sacre du printemps,'' précédé de deux créations, ''Jonchaies'' de Iannis Xenakis et de ''Six pièces op.6'' d'Anton Webern, avec le grand orchestre du Brussels Philharmonic sous la direction de [[Michel Tabachnik]].
Les années d'études chez [[Merce Cunningham]] à New York auront une forte influence sur ce qui est appelé le style Gallotta ou « gallottien<ref name="Monde200411"/> ». Ce style est empreint du gout de lignes pures et nettes dans les mouvements d'ensemble, de l'utilisation des bras tendus, dans lesquels les partitions individuelles des danseurs sont le plus souvent composées de petits mouvements agités et désorganisés, de vacillements ou de boitements, et de petits pas qui sont la marque du chorégraphe<ref name="50CC"/>{{,}}<ref name="Monde200411">[
L'aspect théâtral, relativement abstrait, est également présent avec de nombreuses touches d'humour et des questionnements sur les relations entre individus (notamment à propos de la sexualité). La place de la musique dans la scénographie est également primordiale, notamment avec les compositions originales de [[Torgue et Houppin]] ou plus récemment de Strigall. Ces dernières années les chorégraphies de Gallotta sont très souvent interprétées par des groupes de danseurs de différents âges soulignant encore plus la singularité des corps de chaque interprète et jouant ainsi des capacités émotives et narratives basées sur le vécu et l'histoire individuelle du danseur plus que sur ses qualités purement techniques ou physiques<ref name="50CC"/>. Enfin, Gallotta, qui danse relativement peu, est souvent présent sur scène, ou/et par micro interposé, pour diriger ses danseurs à la manière d'un chef d'orchestre<ref name="50CC"/>.
Le dramaturge [[Claude-Henri Buffard]] considère que Gallotta est « à l'origine d'un mouvement, ''l'abstraction ludique'', dont il est sans doute le seul représentant »<ref>{{lien web|auteur1=Groupe Émile Dubois |titre=Le Jour se rêve |éditeur=Dossier de presse ''Le Jour se rêve'' |date=janvier 2021 |lire en ligne=www.gallotta-danse.com/Le-jour-se-reve |pages=1 }}</ref>.
▲== Le style Gallotta ==
▲Les années d'études chez Cunningham auront une forte influence sur ce qui est appelé le style Gallotta ou « gallottien<ref name="Monde200411"/> ». Ce style est empreint du gout de lignes pures et nettes dans les mouvements d'ensemble, de l'utilisation des bras tendus, dans lesquels les partitions individuelles des danseurs sont le plus souvent composées de petits mouvements agités et désorganisés, de vacillements ou de boitements, et de petits pas qui sont la marque du chorégraphe<ref name="50CC"/>{{,}}<ref name="Monde200411">[http://www.lemonde.fr/culture/article/2011/04/20/jean-claude-gallotta-choregraphie-l-irresistible-attraction-des-corps_1510365_3246.html ''Jean-Claude Gallotta chorégraphie l'irrésistible attraction des corps''] par [[Rosita Boisseau]]'' dans ''[[Le Monde]]'' du 20 avril 2011.</ref>. L'aspect théâtral, relativement abstrait, est également présent avec de nombreuses touches d'humour et des questionnements sur les relations entre individus (notamment à propos de la sexualité). La place de la musique dans la scénographie est également primordiale, notamment avec les compositions originales de [[Torgue et Houppin]] ou plus récemment de [[Strigall]]. Ces dernières années les chorégraphies de Gallotta sont très souvent interprétées par des groupes de danseurs de différents âges soulignant encore plus la singularité des corps de chaque interprète et jouant ainsi des capacités émotives et narratives basées sur le vécu et l'histoire individuelle du danseur plus que sur ses qualités purement techniques ou physiques<ref name="50CC"/>. Enfin, Gallotta, qui danse relativement peu, est souvent présent sur scène, ou/et par micro interposé, pour diriger ses danseurs à la manière d'un chef d'orchestre<ref name="50CC"/>.
== Principales chorégraphies ==
Ligne 126 ⟶ 124 :
* [[2004]] : ''My Rock''
* [[2005]] : ''Les Sept Péchés capitaux''
* [[2006]] : ''Des gens qui dansent'' <small>([
* [[2006]] : ''Sunset Fratell''
* [[2007]] : ''[[Ulysse (ballet)#Quatrième version Cher Ulysse (2007)|Cher Ulysse]]'' (musique de
* [[2007]] : ''2147, l'Afrique'' (en collaboration avec [[Moïse Touré]] pour la mise en scène et [[Rokia Traoré (chanteuse)|Rokia Traoré]] pour la musique)
* [[2008]] : ''Bach danse expérience''
* [[2008]] : ''Armide'' (Opéra-ballet de [[Jean-Baptiste Lully|Lully]], mis en scène par [[Robert Carsen]])
* [[2008]] : ''Chroniques chorégraphiques (saison 1)''
* [[2009]] : ''Le Maître d'amour'' (d'après le livre de [[Maryse Wolinski]], en collaboration avec Marilyne Alasset)
* [[2009]] : ''[[L'Homme à tête de chou]]'', sur une interprétation d'[[Alain Bashung]]<ref name="LeSoir">[http://blogs.lesoir.be/festivals/2009/03/20/avant-de-mourir-bashung-a-enregistre-du-gainsbourg ''Avant de mourir, Bashung a enregistré du Gainsbourg''] dans ''[[Le Soir]]'' du {{date|20|mars|2009}}</ref> <small>([
* [[2010]] : ''La Petite Sirène'' d'après le conte d'[[Hans Christian Andersen|Andersen]] en collaboration avec [[Marie Potonet]]
* [[2011]] : ''Faut qu'je danse !'' prélude à la recréation de ''[[Daphnis é Chloé]]'' <!--TITRE CORRECT-->
* [[2012]] : ''[[Le Sacre du printemps]]''
* [[2012]] : ''Racheter la mort des gestes - Chroniques chorégraphiques I''
* [[2013]] : ''[[Yvan Vaffan]]'' (musique de
* [[2013]] : ''[[L'Histoire du soldat (Stravinsky)|L'Histoire du soldat]]'' et ''[[L'Amour sorcier]]''
* [[2013]] : ''L'Enfance de Mammame''
* [[2015]] : ''Le Sacre et ses révolutions''
* [[2015]] : ''L'Étranger'' d'après le roman d'[[Albert Camus]]
* [[2016]] : ''My Rock (re-création)''
* [[2020]] : ''Le jour se rêve''
}}
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*[[1991 au cinéma|1991]] : ''[[L'Amour en deux]]''
*[[1991 au cinéma|1991]] : ''[[Rei Dom ou la Légende des Kreuls]]''
*2004 : ''Les Trépidances du patrimoine'' (Collection des ''Carnets
*2004 : ''Mammame à l'Est'' (Collection des ''Carnets'', courts-métrages. Réalisation en collaboration avec Benjamin Houal)
*2006 : ''Carnets d'un Toubab'' (Collection des ''Carnets'', courts-métrages)
Ligne 163 :
*[[1991 au cinéma|1991]] : ''[[Rei Dom ou la Légende des Kreuls]]'' de lui-même
===
* [[2003 au cinéma|2003]] : ''[[Les Côtelettes (film)|Les Côtelettes]]'' de [[Bertrand Blier]]
*[[1976]] : Prix au [[Concours chorégraphique international de Bagnolet]] pour ''Le Temps d'une histoire''▼
*[[1980]] : Prix au [[Concours chorégraphique international de Bagnolet]] pour ''Pas de quatre''▼
== Distinctions ==
=== Prix ===
*[[1985]] : [[Prix SACD]] pour ''Mammame''▼
▲* [[1976]] : Prix au [[Concours chorégraphique international de Bagnolet]] pour ''Le Temps d'une histoire''
▲* [[1980]] : Prix au [[Concours chorégraphique international de Bagnolet]] pour ''Pas de quatre''
▲* [[1985]] : [[Prix SACD]] pour ''Mammame''
=== Décorations ===
* Commandeur de l'[[ordre des Arts et des Lettres]] (2016<ref>[http://www.culture.gouv.fr/Nous-connaitre/Organisation/Conseil-de-l-Ordre-des-Arts-et-des-Lettres/Arretes-de-Nominations-dans-l-ordre-des-Arts-et-des-Lettres/Nomination-dans-l-ordre-des-Arts-et-des-Lettres-janvier-2016 Arrêté du 10 février 2016] portant nomination et promotion dans l'[[ordre des Arts et des Lettres]].</ref>, chevalier en 1984<ref name="DL13">Philippe Gonet, [http://www.ledauphine.com/isere-sud/2012/12/31/gallotta-recree-yvan-vaffan-pres-de-30-ans-apres « Gallotta recrée “Yvan Vaffan” près de 30 ans après »], ''[[Le Dauphiné libéré]]'', {{1er}} janvier 2013.</ref>).
== Notes et références ==
{{Références|colonnes=
== Annexes ==
Ligne 177 ⟶ 183 :
=== Bibliographie ===
{{légende plume}}
*''Mémoires d'un dictaphone - notes d'un chorégraphe'' de Jean-Claude Gallotta, [[éditions Plon]], 1990 {{ISBN|2259023223}}▼
*{{ouvrage|id=GAL98|auteur=Jean-Claude Gallotta et [[Xavier Lambours]]|titre=''Les Variations d'Ulysse''|édition=éditions Lansman|année=1998|isbn=2-87282-216-X}}. {{plume}}▼
*''Les Yeux qui dansent'' de Jean-Claude Gallotta et Bernard Raffalli, éditions [[Actes Sud]], 1993 {{ISBN|286869862X}}
▲*{{
▲*''Mémoires d'un dictaphone - notes d'un chorégraphe'' de Jean-Claude Gallotta, [[éditions Plon]], 1990 {{ISBN|2259023223}}
*{{
* ''Gallotta : Souvenirs obliques d'un chorégraphe'', par Guy Delahaye et Claude-Henri Buffard, éditions [[Actes Sud]], 2005 {{ISBN|274275668X}}
* ''La Maternelle et le Chorégraphe : L'Aventure des enfants des Grands-Clos avec Jean-Claude Gallotta'', [[Claude-Henri Buffard]] (dir.), Christiane Guignard et Michèle Leca, éditions du [[Centre chorégraphique national de Grenoble]], 2015 {{ISBN|978-2-7466-8702-8}}
=== Liens externes ===
{{liens}}
* [http://www.gallotta-danse.com/ Groupe Émile Dubois / Compagnie Jean-Claude Gallotta]
{{Portail|danse|Grenoble}}
{{DEFAULTSORT:Gallotta, Jean-Claude}}
[[Catégorie:Danseur français du XXe siècle]]
[[Catégorie:Danseur français du XXIe siècle]]
[[Catégorie:Chorégraphe français]]
[[Catégorie:Danse contemporaine]]
[[Catégorie:Commandeur des Arts et des Lettres]]
[[Catégorie:Naissance en avril 1950]]
[[Catégorie:Naissance à Grenoble]]
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