« Jean-Claude Gallotta » : différence entre les versions

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| surnom =
| nom de naissance =
| date de naissance = {{date de naissance|7|avril|1950|âge=oui}}
| lieu de naissance = [[Grenoble]] en [[France]]
| date de décès =
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| activités autres = [[Réalisateur]] et [[scénariste]]
| lieux d'activité = [[MC2]] de [[Grenoble]]
| années actives = Depuis 1979
| collaborations = [[Mathilde Altaraz]]<br>[[Henry Torgue et Serge Houppin]]<br>[[Claude-Henri Buffard]]<br>[[Strigall]]
| éditeurs =
| formation = Beaux-Arts de Grenoble
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}}
 
'''Jean-Claude Gallotta''', né le {{date de naissance|7|avril|1950}} à [[Grenoble]]<ref name="50CC">{{en}} ''Fifty contemporary choreographers'', Martha Bremser, éditions [[Routledge]], [[Abingdon]], 1999, {{ISBN|0-415-10363-0}}, {{pp-.|115-118}}.</ref>, est un [[danseur]] et [[chorégraphe]] [[France|français]]. Après un séjour à [[New York]] de 1976 à 1978, où il étudie auprès de [[Merce Cunningham]], il fonde en 1979 avec des artistes de Grenoble dont [[Robert Seyfried]], [[Henry Torgue et Serge Houppin|Henry Torgue]] et [[Mathilde Altaraz]], son assistante et compagne, le groupe Émile-Dubois avec lequel il va réaliserréalise dès lors ses plus importantes chorégraphies. Parmi celles-ci peuvent être cités ''[[Ulysse (ballet)|Ulysse]]'' (revisité à quatre reprises), ''Mammame'', ''Docteur Labus'', ou plus récemment ''[[Trois générations]]'' et ''[[L'Homme à tête de chou]]''. En 1995, ''Ulysse'' rentreentre au répertoire du corps de [[Ballet de l'Opéra de Paris]] qui lui commande par ailleurs en 2001 un ballet intitulé ''Nosferatu'' et donné à l'[[Opéra Bastille]].
 
Directeur emblématique de 1984 à 2016 du [[Centre chorégraphique national de Grenoble]], intégré à la [[MC2]], Jean-Claude Gallotta est considéré depuis le début des années 1980 comme l'un des plus importants représentants de la [[nouvelle danse française]] dont il a largement participé à l'essor et à la reconnaissance publique et institutionnelle<ref name="Boisseau">[[Rosita Boisseau]], ''Panorama de la danse contemporaine. 90 chorégraphes'', [[Éditions Textuel]], [[Paris]], 2006, {{p.|227}}</ref>{{,}}<ref name="50CC"/>{{,}}<ref name="NObs"/>.
 
== Biographie ==
=== Famille et formation ===
Fils d'émigrés italiens (de père napolitain et de mère italo-autrichienne<ref name="Repu84"/>) venus à Grenoble, Jean-Claude Gallotta découvre la [[ballet|danse classique]] et les [[claquettes]] à 22 ans après des études d'[[arts plastiques]] aux [[École supérieure d'art de Grenoble|Beaux-Arts de Grenoble]]<ref name="Boisseau"/>{{,}}<ref name="50CC"/>. Subjugué par la discipline, il quitte les Beaux-arts et réussit à s'imposer dans les cours de danse de Grenoble où il fait la connaissance de [[Mathilde Altaraz]], qui deviendradevient sa compagne et collaboratrice<ref name="VdU63">[[#GAL98|Jean-Claude Gallotta (1998)]], {{p.|63}}</ref>. Bien qu'il se déclare « non-danseur »<ref name="JDD">''Ulysse, la nouvelle Odyssée'' dans ''[[Le Journal du dimanche]]'' du 17 octobre 2007</ref>, il obtient un prix au [[Concours chorégraphique international de Bagnolet]] en 1976 (puis un second en 1980). Il part alors aux [[États-Unis]] travailler avec [[Merce Cunningham]] de 1976 à 1978 auprès duquel il forme son style chorégraphique en écrivant ses premières pièces<ref name="Louppe46">[[#LOU88|Louppe ''et al.'' (1988)]], {{p.|46}}</ref>{{,}}<ref name="Boisseau"/>{{,}}<ref name="50CC"/>. De retour des États-Unis, il fonde sa propre compagnie en 1979 avec Mathilde Altaraz, nommée le Groupe Émile-Dubois en hommage au [[facteur Cheval]] et à tous les autodidactes<ref name="VdU63"/>. Ce nom énigmatique pris sur le modèle de « Jean Dupond » fait référence à tout le monde et à personne en particulier selon Gallotta lui-même qui dit avoir inventé le nom, bien qu'il fut suggéré que cela pouvait référer à Émile Dubois, un peintre parisien gravitant autour des [[Ballets russes]] de [[Diaghilev]] essayer de proposer une ''danse moderne'' dans les années 1920-30<ref name="Repu84">{{it}} [http://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/1984/10/11/addio-coreografia.html ''Addio, coreografia...''] dans ''[[La Repubblica]]'' du 11 octobre 1984</ref>{{,}}<ref name="50CC"/>. Entre Jean-Claude Gallotta et Mathilde Altaraz s'instaure dès le début un équilibre et un partage des rôles, selon leurs préférences, au sein de la compagnie. Lui se consacre à la création et l'écriture chorégraphique, elle se charge du travail de répétitions en aval<ref name="VdU45">[[#GAL98|Jean-Claude Gallotta (1998)]], p.45</ref>. L'année suivante, il s'installe en résidence à la Maison de la Culture de Grenoble.
 
=== Débuts de danseur et chorégraphe ===
En 1981, Gallotta crée sa pièce fondatrice ''[[Ulysse (ballet)|Ulysse]]'' qui deviendra une pierre angulaire de la [[nouvelle danse française]]<ref name="Figaro">[http://www.lefigaro.fr/culture/2007/10/15/03004-20071015ARTFIG90276-un_nouveau_voyage.php ''Un nouveau voyage''] dans ''[[Le Figaro]]'' du 22 octobre 2007.</ref>{{,}}<ref name="Huma">[http://www.humanite.fr/2007-10-16_Cultures_Malheureux-qui-comme-Ulysse ''Malheureux qui comme Ulysse...''] dans ''[[L'Humanité]]'' du 16 octobre 2007</ref>. Avec ''Ulysse'', il crée une danse énergique, faite de mouvements de pieds rapides, de petits pas prenant progressivement de l'amplitude dans les grands mouvements d'ensembles latéraux et en profondeurs devenus caractéristiques de son travail chorégraphique<ref name="Figaro"/>{{,}}<ref name="Huma"/>. De façon intéressante, Gallotta va rechorégraphier tous les dix ans environ cette œuvre déclarant « revisiter ses pièces pour éviter de les voir mourir »<ref name="JDD"/>, et en donner de nombreuses versions (à ce jour il en existe quatre), tant sur le plan musical que des interprètes (notamment avec des enfants et des danseurs séniors), créant en 1995, sur la demande de [[Brigitte Lefèvre]], une version pour 45 danseurs et trois étoiles du [[ballet de l'Opéra de Paris]] intitulée ''Les Variations d'Ulysse'' et donnée à l'[[Opéra Bastille]]<ref name="NObs">[http://artsetspectacles.nouvelobs.com/p1615/a17613.html ''La Nouvelle Odyssée de Jean-Claude Gallotta''] dans ''[[Le Nouvel Observateur]]'' nº1615 du 19 octobre 1995.</ref>.
De retour des États-Unis, il fonde sa propre compagnie en 1979 avec des artistes grenoblois comme le danseur Robert Seyfried et Mathilde Altaraz, nommée le Groupe Émile-Dubois en hommage au [[facteur Cheval]] et à tous les autodidactes<ref name="VdU63"/>. Ce nom énigmatique pris sur le modèle de « Jean Dupond » fait référence à tout le monde et à personne en particulier selon Gallotta lui-même qui dit avoir inventé le nom, bien qu'il ait été suggéré que cela pouvait référer à Émile Dubois, un peintre parisien gravitant autour des [[Ballets russes]] de [[Diaghilev]] essayer de proposer une ''danse moderne'' dans les années 1920-30<ref name="Repu84">{{it}} [http://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/1984/10/11/addio-coreografia.html ''Addio, coreografia...''] dans ''[[La Repubblica]]'' du 11 octobre 1984</ref>{{,}}<ref name="50CC"/>. Si entre Jean-Claude Gallotta et Mathilde Altaraz s'instaure dès le début un équilibre et un partage des rôles, selon leurs préférences, au sein de la compagnie il faut considérer les apports exogènes au couple de vie et de travail. Lui se consacre à la création et l'écriture chorégraphique, elle se charge du travail de répétitions en aval<ref name="VdU45">[[#GAL98|Jean-Claude Gallotta (1998)]], {{p.|45}}</ref>. Des artistes comme [[Robert Seyfried]], Anne-Marie Moenne-Loccoz, le compositeur [[Henry Torgue et Serge Houppin|Henry Torgue]] et son collaborateur de l'époque Gilles Jaloustre ou des personnalités comme le décorateur Léo Standard participent au succès du Groupe Émile-Dubois au niveau local. À la suite d'une série de présentations réussies de ''Pas de quatre'' dans la petite salle de la Maison de la culture en fin de saison 1979/1980, son directeur Bernard Gilman invite la compagnie en résidence dans ses locaux. Le Groupe Émile Dubois est invité à la [[Maison de la danse de Lyon]], toute nouvellement ouverte sous la direction de [[Guy Darmet]]. La pièce ''Mouvements'', second volet du triptyque hommage à Yves P. confirme l'adhésion du public à cette forme nouvelle de la danse désormais appelée [[nouvelle danse française]] dont il devient l'un des principaux chef de file.
 
=== Un des chefs de file de la Nouvelle danse française ===
En 1986, il sera nommé directeur de la [[MC2|Maison de la Culture de Grenoble]] qu'il rebaptise Le Cargo<ref>Appelé aujourd'hui [[MC2]] depuis son agrandissement en 2004</ref>, cette nouvelle appellation ouvrant la voix à une nouvelle génération de noms pour les centres culturels. C'est la première fois qu'un chorégraphe prend la tête d'une [[Scène nationale]]. Sa compagnie devient de même [[Centre chorégraphique national]] de Grenoble<ref name="Boisseau"/>.
En 1981, Jean-Claude Gallotta crée sa pièce fondatrice ''[[Ulysse (ballet)|Ulysse]]'' qui deviendradevient une pierre angulaire de la [[nouvelle danse française]]<ref name="Figaro">[http://www.lefigaro.fr/culture/2007/10/15/03004-20071015ARTFIG90276-un_nouveau_voyage.php ''Un nouveau voyage''] dans ''[[Le Figaro]]'' du 22 octobre 2007.</ref>{{,}}<ref name="Huma">[httphttps://www.humanite.fr/2007-10-16_Cultures_Malheureux-qui-comme-Ulysse ''Malheureux qui comme Ulysse...''] dans ''[[L'Humanité]]'' du 16 octobre 2007</ref>. Avec ''Ulysse'', il crée une danse énergique, faite de mouvements de pieds rapides, de petits pas prenant progressivement de l'amplitude dans les grands mouvements d'ensembles latéraux et en profondeurs devenus caractéristiques de son travail chorégraphique<ref name="Figaro"/>{{,}}<ref name="Huma"/>. De façon intéressante, Gallotta va rechorégraphierrechorégraphie tous les dix ans environ cette œuvre déclarant « revisiter ses pièces pour éviter de les voir mourir »<ref name="JDD"/>, et en donner de nombreuses versions (à ce jour il en existe quatre), tant sur le plan musical que des interprètes (notamment avec des enfants et des danseurs séniors), créant en 1995, sur la demande de [[Brigitte Lefèvre]], une version pour 45 danseurs et trois étoiles du [[ballet de l'Opéra de Paris]] intitulée ''Les Variations d'Ulysse'' et donnée à l'[[Opéra Bastille]]<ref name="NObs">[http://artsetspectacles.nouvelobs.com/p1615/a17613.html ''La Nouvelle Odyssée de Jean-Claude Gallotta''] dans ''[[Le Nouvel Observateur]]'' {{nº°|1615}} du 19 octobre 1995.</ref>.
 
En 1986, il seraest nommé directeur de la [[MC2|Maison de la Cultureculture de Grenoble]] qu'il rebaptise Le Cargo<ref>Appelé aujourd'hui [[MC2]] depuis son agrandissement en 2004</ref>, cette nouvelle appellation ouvrant la voix à une nouvelle génération de noms pour les centres culturels. C'est la première fois qu'un chorégraphe prend la tête d'une [[Scène nationale]]. Sa compagnie devient de même [[Centre chorégraphique national]] de Grenoble<ref name="Boisseau"/>.
Avec ''Mammame'' puis ''Docteur Labus'', Gallotta confirme son succès et sa place dans la création chorégraphique contemporaine française. Hormis les reprises d'''[[Ulysse (ballet)|Ulysse]]'', la période 1990-2000 sera plus difficile dans l'œuvre de Gallotta. Avec la collaboration de Strigall pour la musique et de Claude-Henri Buffard pour la dramaturgie, il retrouve le succès grâce à un important triptyque s'attachant aux « Gens » à partir de 2002 et constitué de ''99 Duos'', ''[[Trois générations]]'' (en collaboration avec le Groupe Grenade de [[Josette Baïz]]) et ''Des gens qui dansent'' qui connaîtront une grande audience nationale et internationale{{refnec}}.
 
=== Re-création des œuvres et nouvelles approches ===
En 2007, Gallotta reçoit la proposition de Jean-Marc Ghanassia d'adapter l'album de [[Serge Gainsbourg]] ''[[L'Homme à tête de chou]]'' datant de [[1976 en musique|1976]]<ref name="LeSoir"/>. Il décide de faire appel à [[Alain Bashung]] pour chanter et adapter en termes de durée l'œuvre qu'il devait chanter sur scène en direct pour accompagner la danse sous forme de douze tableaux. Ce projet mené en 2008 n'a pas pu totalement aboutir avec la mort de Bashung qui s'est cependant efforcé dans les derniers mois de 2008 d'aboutir à une bande enregistrée suffisante afin de permettre au chorégraphe d'aller au bout du projet dont la première a lieu le {{date|12|novembre|2009|en musique}} à la [[MC2]] de [[Grenoble]]<ref name="Express">[http://www.lexpress.fr/culture/scene/danse/dans-les-coulisses-de-l-homme-a-la-tete-de-chou_827822.html ''Dans les coulisses de L'Homme à la tête de chou''] dans ''[[L'Express]]'' du 12 novembre 2009.</ref>{{,}}<ref>[http://www.lemonde.fr/culture/article/2009/11/13/pour-l-homme-a-tete-de-chou-bashung-s-est-coule-dans-la-peau-de-gainsbourg_1266757_3246.html ''Pour "L'Homme à tête de chou", Bashung s'est coulé dans la peau de Gainsbourg''] dans ''[[Le Monde]]'' du 13 novembre 2009</ref>{{,}}<ref name="LeSoir"/>.
Avec ''Mammame'' puis ''Docteur Labus'', Gallotta confirme son succès et sa place dans la création chorégraphique contemporaine française. Hormis les reprises d'''[[Ulysse (ballet)|Ulysse]]'', la période 1990-2000 seraest plus difficile dans l'œuvre de Gallotta. Avec la collaboration de Strigall pour la musique et de [[Claude-Henri Buffard]] pour la dramaturgie, il retrouve le succès grâce à un important triptyque s'attachant aux « Gens » à partir de 2002 et constitué de ''99 Duos'', ''[[Trois générations]]'' (en collaboration avec le Groupe Grenade de [[Josette Baïz]]) et ''Des gens qui dansent'' qui connaîtrontconnaissent une grande audience nationale et internationale{{refnec}}.
 
En 2007, Gallotta reçoit la proposition de [[Jean-Marc Ghanassia]] d'adapter l'album de [[Serge Gainsbourg]] ''[[L'Homme à tête de chou]]'' datant de [[1976 en musique|1976]]<ref name="LeSoir"/>. Il décide de faire appel à [[Alain Bashung]] pour chanter et adapter en termes de durée l'œuvre qu'il devait chanter sur scène en direct pour accompagner la danse sous forme de douze tableaux. Ce projet mené en 2008 n'a pas pu totalement aboutir avec la mort de Bashung qui s'est cependant efforcé dans les derniers mois de 2008 d'aboutir à une bande enregistrée suffisante afin de permettre au chorégraphe d'aller au bout du projet dont la première a lieu le {{date|12|novembre|2009|en musique}} à la [[MC2]] de [[Grenoble]]<ref name="Express">[http://www.lexpress.fr/culture/scene/danse/dans-les-coulisses-de-l-homme-a-la-tete-de-chou_827822.html ''Dans les coulisses de L'Homme à la tête de chou''] dans ''[[L'Express]]'' du 12 novembre 2009.</ref>{{,}}<ref>[httphttps://www.lemonde.fr/culture/article/2009/11/13/pour-l-homme-a-tete-de-chou-bashung-s-est-coule-dans-la-peau-de-gainsbourg_1266757_3246.html ''Pour "L'Homme à tête de chou", Bashung s'est coulé dans la peau de Gainsbourg''] dans ''[[Le Monde]]'' du 13 novembre 2009</ref>{{,}}<ref name="LeSoir"/>.
En avril 2011, après vingt-huit ans d'interruption, il revient au solo avec ''Faut qu'je danse'', présenté en première partie de la reprise de répertoire de son trio ''Daphnis é Chloé.''
 
LaEn même{{date-|avril année2011}}, après vingt-huit ans d'interruption, il créerevient sonau solo avec ''SacreFaut duqu'je Printempsdanse'', àprésenté laen [[MC2]]première :partie [[Grenoble]] dansde la versionreprise dirigéede etrépertoire enregistréede parson Igortrio Stravinski''[[Daphnis ;é ceChloé]]''. spectacleLa faitmême suiteannée, àil crée son ''l'HommeSacre à tête dedu chouPrintemps'', avecà lesla mêmes[[MC2]] danseurs,dans la mêmeversion lumièredirigée sélénienne,et lesenregistrée mêmespar énergies[[Igor venuesStravinsky]] directement de la musique ;: le personnage central de l’Élue quant à lui disparait au profit de chacune des interprètes, «  éligibles  » tour à tour,. commeEn pour{{date-|octobre mieux renvoyer aux calendes anciennes l’obscur pouvoir discrétionnaire des hommes2012}}, desil dieux et des pouvoirs. Le spectacle est présentéprésente au [[Théâtre national de Chaillotla Ville]] à [[Paris]] ''Racheter la mort des gestes'', auune printempschronique 2012.chorégraphique Cettequi chorégraphieavait estconnu précédéeune première version dans son studio de deuxrépétition piècesde courtesGrenoble :en ''Tumulte2008,''leil chorégraphemêle invitesur lela publicscène, àcomme écouteril "lel'a silencesouvent brut"fait dedepuis lases dansedébuts, et« ''Pourceux Igor''qui dansent, soloceux pourqui uneont danseusedansé, enceux hommagequi auaimeraient compositeurbien, ceux qui ne danseront peut-être jamais ».
 
L'automneEn {{date-|janvier 2013}}, voitil larecrée création''Les Aventures d'Ivan Vaffan'', une pièce de 1984, sous le titre simplifié d’''Yvan Vaffan'' puis à l'automne 2013 présente ''L'Histoire du soldat'' ded'Igor StravinskiStravinsky et d'''El amor brujo'' de [[Manuel de Falla]], spectacle "« à trois mains" » avec le chef d'orchestre [[Marc Minkowski]] et le metteur en scène [[Jacques Osinski]]. Le personnage de la gitane Candelas dans ''El amor brujo'' est confié à la chanteuse [[Olivia Ruiz]]. Le spectacle est programmé à l'Opéra Comique de Paris au printemps 2014.
En octobre 2012, il présente au [[Théâtre de la Ville]] à [[Paris]] ''Racheter la mort des gestes'', une chronique chorégraphique qui avait connu une première version dans son studio de répétition de [[Grenoble]] en 2008, où il mêle sur la scène, comme il l'a souvent fait depuis ses débuts, "ceux qui dansent, ceux qui ont dansé, ceux qui
aimeraient bien, ceux qui ne danseront peut-être jamais".
 
En {{date-|mars 2015}}, dans le cadre de la saison d'ouverture de la [[Philharmonie de Paris|Philharmonie]], est présenté sous le titre générique du ''Sacre et ses révolutions'' un programme composé du ''Sacre du printemps,'', précédé de deux créations, ''Jonchaies'' de [[Iannis Xenakis]] et de ''Six pièces op. 6'' d'[[Anton Webern]], avec le grand orchestre du [[Brussels Philharmonic]] sous la direction de [[Michel Tabachnik]]. Il récrée également cette année-là ''My Rock'' constitué d’une quinzaine de courtes séquences dansées sur des titres emblématiques de l’histoire du rock, resitués dans leur temps, d'[[Elvis Presley]] à [[Patti Smith]], de [[Leonard Cohen]] aux [[The Rolling Stones|Rolling Stones]], de [[Bob Dylan]] au [[The Velvet Underground|Velvet Underground]].
En janvier 2013, il recrée ''les Aventures d'Ivan Vaffan'', une pièce de 1984, sous le titre simplifié d'''Yvan Vaffan.''
 
Le {{date-|31 décembre 2015}}, Jean-Claude Gallotta quitte la direction du [[Centre chorégraphique national de Grenoble]] pour travailler uniquement avec sa compagnie, le Groupe Émile-Dubois, tout en étant en résidence à la MC2 de Grenoble.
L'automne 2013 voit la création de ''l'Histoire du soldat'' de Stravinski et d'''El amor brujo'' de Manuel de Falla, spectacle "à trois mains" avec le chef d'orchestre [[Marc Minkowski]] et le metteur en scène [[Jacques Osinski]]. Le personnage de la gitane Candelas dans ''El amor brujo'' est confié à la chanteuse [[Olivia Ruiz]]. Le spectacle est programmé à l'Opéra Comique de Paris au printemps 2014.
 
== Le styleStyle Gallotta ==
En mars 2015, dans le cadre de la saison d'ouverture de la [[Philharmonie de Paris|Philharmonie]], est présenté sous le titre générique du ''Sacre et ses révolutions'' un programme composé du ''Sacre du printemps,'' précédé de deux créations, ''Jonchaies'' de Iannis Xenakis et de ''Six pièces op.6'' d'Anton Webern, avec le grand orchestre du Brussels Philharmonic sous la direction de [[Michel Tabachnik]].
Les années d'études chez [[Merce Cunningham]] à New York auront une forte influence sur ce qui est appelé le style Gallotta ou « gallottien<ref name="Monde200411"/> ». Ce style est empreint du gout de lignes pures et nettes dans les mouvements d'ensemble, de l'utilisation des bras tendus, dans lesquels les partitions individuelles des danseurs sont le plus souvent composées de petits mouvements agités et désorganisés, de vacillements ou de boitements, et de petits pas qui sont la marque du chorégraphe<ref name="50CC"/>{{,}}<ref name="Monde200411">[http[Rosita Boisseau]], [https://www.lemonde.fr/culture/article/2011/04/20/jean-claude-gallotta-choregraphie-l-irresistible-attraction-des-corps_1510365_3246.html ''« Jean-Claude Gallotta chorégraphie l'irrésistible attraction des corps''] par [[Rosita Boisseau»]]'' dans, ''[[Le Monde]]'', du {{date|20 avril 2011}}.</ref>. L'aspect théâtral, relativement abstrait, est également présent avec de nombreuses touches d'humour et des questionnements sur les relations entre individus (notamment à propos de la sexualité). La place de la musique dans la scénographie est également primordiale, notamment avec les compositions originales de [[Torgue et Houppin]] ou plus récemment de [[Strigall]]. Ces dernières années les chorégraphies de Gallotta sont très souvent interprétées par des groupes de danseurs de différents âges soulignant encore plus la singularité des corps de chaque interprète et jouant ainsi des capacités émotives et narratives basées sur le vécu et l'histoire individuelle du danseur plus que sur ses qualités purement techniques ou physiques<ref name="50CC"/>. Enfin, Gallotta, qui danse relativement peu, est souvent présent sur scène, ou/et par micro interposé, pour diriger ses danseurs à la manière d'un chef d'orchestre<ref name="50CC"/>.
 
L'aspect théâtral, relativement abstrait, est également présent avec de nombreuses touches d'humour et des questionnements sur les relations entre individus (notamment à propos de la sexualité). La place de la musique dans la scénographie est également primordiale, notamment avec les compositions originales de [[Torgue et Houppin]] ou plus récemment de Strigall. Ces dernières années les chorégraphies de Gallotta sont très souvent interprétées par des groupes de danseurs de différents âges soulignant encore plus la singularité des corps de chaque interprète et jouant ainsi des capacités émotives et narratives basées sur le vécu et l'histoire individuelle du danseur plus que sur ses qualités purement techniques ou physiques<ref name="50CC"/>. Enfin, Gallotta, qui danse relativement peu, est souvent présent sur scène, ou/et par micro interposé, pour diriger ses danseurs à la manière d'un chef d'orchestre<ref name="50CC"/>.
En octobre 2015, Jean-Claude Gallotta recrée son spectacle ''My rock'', où il se propose de
"tremper" la danse contemporaine dans le rock, deux mouvements artistiques qui, jusque là, n'ont jamais trouvé à se croiser ou s'influencer l'un l'autre.  « Le rock,dit-il, a accompagné mes rêveries d'adolescent et, peut-être, en me permettant de rencontrer d’autres âmes perdues, m'a permis d'échapper à ma crise d'angoisse existentielle. »
 
Le dramaturge [[Claude-Henri Buffard]] considère que Gallotta est « à l'origine d'un mouvement, ''l'abstraction ludique'', dont il est sans doute le seul représentant »<ref>{{lien web|auteur1=Groupe Émile Dubois |titre=Le Jour se rêve |éditeur=Dossier de presse ''Le Jour se rêve'' |date=janvier 2021 |lire en ligne=www.gallotta-danse.com/Le-jour-se-reve |pages=1 }}</ref>.
''My Rock'' est constitué d’une quinzaine de courtes séquences dansées sur des titres emblématiques de l’histoire du rock, resitués dans leur temps, d'[[Elvis Presley]] à [[Patti Smith]], de [[Leonard Cohen]] aux [[The Rolling Stones|Rolling Stones]], de [[Bob Dylan]] au [[The Velvet Underground|Velvet Underground]].... Créé en septembre 2015 à la [[MC2]] : [[Grenoble]], le spectacle est présenté du 17 novembre au 6 décembre au [[Théâtre du Rond-Point]] à [[Paris]].
 
Le 31 décembre 2015, Jean-Claude Gallotta a quitté la direction du Centre Chorégraphique national de Grenoble. Aujourd’hui, avec les forces retrouvés de sa Compagnie, qui reprend le nom de ses débuts, - Groupe Émile Dubois - , il poursuit sa route. Les tournées, les projets pour les trois années à venir sont déjà engagés. Associé à la MC2 : Grenoble, et hébergé dans ses murs, il met en place de nouvelles formes de travail pour continuer à explorer le champ chorégraphique en compagnie de ses danseurs, et au moyen de ses créations et de son répertoire. En 2016, le Groupe Émile Dubois présente trois spectacles actuellement en tournée (My Rock, l’Étranger, l’Enfance de Mammame) ; se prépare également une comédie musicale avec Olivia Ruiz. Création prévue à l’automne 2016.
 
== Le style Gallotta ==
Les années d'études chez Cunningham auront une forte influence sur ce qui est appelé le style Gallotta ou « gallottien<ref name="Monde200411"/> ». Ce style est empreint du gout de lignes pures et nettes dans les mouvements d'ensemble, de l'utilisation des bras tendus, dans lesquels les partitions individuelles des danseurs sont le plus souvent composées de petits mouvements agités et désorganisés, de vacillements ou de boitements, et de petits pas qui sont la marque du chorégraphe<ref name="50CC"/>{{,}}<ref name="Monde200411">[http://www.lemonde.fr/culture/article/2011/04/20/jean-claude-gallotta-choregraphie-l-irresistible-attraction-des-corps_1510365_3246.html ''Jean-Claude Gallotta chorégraphie l'irrésistible attraction des corps''] par [[Rosita Boisseau]]'' dans ''[[Le Monde]]'' du 20 avril 2011.</ref>. L'aspect théâtral, relativement abstrait, est également présent avec de nombreuses touches d'humour et des questionnements sur les relations entre individus (notamment à propos de la sexualité). La place de la musique dans la scénographie est également primordiale, notamment avec les compositions originales de [[Torgue et Houppin]] ou plus récemment de [[Strigall]]. Ces dernières années les chorégraphies de Gallotta sont très souvent interprétées par des groupes de danseurs de différents âges soulignant encore plus la singularité des corps de chaque interprète et jouant ainsi des capacités émotives et narratives basées sur le vécu et l'histoire individuelle du danseur plus que sur ses qualités purement techniques ou physiques<ref name="50CC"/>. Enfin, Gallotta, qui danse relativement peu, est souvent présent sur scène, ou/et par micro interposé, pour diriger ses danseurs à la manière d'un chef d'orchestre<ref name="50CC"/>.
 
== Principales chorégraphies ==
Ligne 126 ⟶ 124 :
* [[2004]] : ''My Rock''
* [[2005]] : ''Les Sept Péchés capitaux''
* [[2006]] : ''Des gens qui dansent'' <small>([httphttps://frwww.youtube.com/watch?v=G-AbI_pGwkk voir un extrait])</small>
* [[2006]] : ''Sunset Fratell''
* [[2007]] : ''[[Ulysse (ballet)#Quatrième version Cher Ulysse (2007)|Cher Ulysse]]'' (musique de [[Strigall]]) <small>([httphttps://www.youtube.com/watch?v=CFZlPtiyotU voir un extrait])</small>
* [[2007]] : ''2147, l'Afrique'' (en collaboration avec [[Moïse Touré]] pour la mise en scène et [[Rokia Traoré (chanteuse)|Rokia Traoré]] pour la musique)
* [[2008]] : ''Bach danse expérience''
* [[2008]] : ''Armide'' (Opéra-ballet de [[Jean-Baptiste Lully|Lully]], mis en scène par [[Robert Carsen]])
* [[2008]] : ''Chroniques chorégraphiques (saison 1)''
* [[2009]] : ''Le Maître d'amour'' (d'après le livre de [[Maryse Wolinski]], en collaboration avec Marilyne Alasset)
* [[2009]] : ''[[L'Homme à tête de chou]]'', sur une interprétation d'[[Alain Bashung]]<ref name="LeSoir">[http://blogs.lesoir.be/festivals/2009/03/20/avant-de-mourir-bashung-a-enregistre-du-gainsbourg ''Avant de mourir, Bashung a enregistré du Gainsbourg''] dans ''[[Le Soir]]'' du {{date|20|mars|2009}}</ref> <small>([httphttps://www.youtube.com/watch?v=9jUADVAXBGQ&feature=player_embedded voir un extrait])</small>.
* [[2010]] : ''La Petite Sirène'' d'après le conte d'[[Hans Christian Andersen|Andersen]] en collaboration avec [[Marie Potonet]]
* [[2011]] : ''Faut qu'je danse !'' prélude à la recréation de ''[[Daphnis é Chloé]]'' <!--TITRE CORRECT-->
* [[2012]] : ''[[Le Sacre du printemps]]''
* [[2012]] : ''Racheter la mort des gestes - Chroniques chorégraphiques I''
* [[2013]] : ''[[Yvan Vaffan]]'' (musique de [[Strigall]])
* [[2013]] : ''[[L'Histoire du soldat (Stravinsky)|L'Histoire du soldat]]'' et ''[[L'Amour sorcier]]''
* [[2013]] : ''L'Enfance de Mammame''
* [[2015]] : ''Le Sacre et ses révolutions''
* [[2015]] : ''L'Étranger'' d'après le roman d'[[Albert Camus]]
* [[2016]] : ''My Rock (re-création)''
* [[2020]] : ''Le jour se rêve''
}}
 
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*[[1991 au cinéma|1991]] : ''[[L'Amour en deux]]''
*[[1991 au cinéma|1991]] : ''[[Rei Dom ou la Légende des Kreuls]]''
*2004 : ''Les Trépidances du patrimoine'' (Collection des ''Carnets,'', courts-métrages)
*2004 : ''Mammame à l'Est'' (Collection des ''Carnets'', courts-métrages. Réalisation en collaboration avec Benjamin Houal)
*2006 : ''Carnets d'un Toubab'' (Collection des ''Carnets'', courts-métrages)
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*[[1991 au cinéma|1991]] : ''[[Rei Dom ou la Légende des Kreuls]]'' de lui-même
 
=== Prix et distinctionsChorégraphe ===
* [[2003 au cinéma|2003]] : ''[[Les Côtelettes (film)|Les Côtelettes]]'' de [[Bertrand Blier]]
*[[1976]] : Prix au [[Concours chorégraphique international de Bagnolet]] pour ''Le Temps d'une histoire''
 
*[[1980]] : Prix au [[Concours chorégraphique international de Bagnolet]] pour ''Pas de quatre''
== Distinctions ==
*[[1984]] : Chevalier dans l'[[Ordre des arts et des lettres]]<ref name="DL13">[http://www.ledauphine.com/isere-sud/2012/12/31/gallotta-recree-yvan-vaffan-pres-de-30-ans-apres ''Gallotta recrée “Yvan Vaffan” près de 30 ans après ''] par Philippe Gonet dans ''[[Le Dauphiné libéré]]'' du {{1er}} janvier 2013.</ref>.
=== Prix ===
*[[1985]] : [[Prix SACD]] pour ''Mammame''
* [[1976]] : Prix au [[Concours chorégraphique international de Bagnolet]] pour ''Le Temps d'une histoire''
* [[1980]] : Prix au [[Concours chorégraphique international de Bagnolet]] pour ''Pas de quatre''
* [[1985]] : [[Prix SACD]] pour ''Mammame''
 
=== Décorations ===
* Commandeur de l'[[ordre des Arts et des Lettres]] (2016<ref>[http://www.culture.gouv.fr/Nous-connaitre/Organisation/Conseil-de-l-Ordre-des-Arts-et-des-Lettres/Arretes-de-Nominations-dans-l-ordre-des-Arts-et-des-Lettres/Nomination-dans-l-ordre-des-Arts-et-des-Lettres-janvier-2016 Arrêté du 10 février 2016] portant nomination et promotion dans l'[[ordre des Arts et des Lettres]].</ref>, chevalier en 1984<ref name="DL13">Philippe Gonet, [http://www.ledauphine.com/isere-sud/2012/12/31/gallotta-recree-yvan-vaffan-pres-de-30-ans-apres « Gallotta recrée “Yvan Vaffan” près de 30 ans après »], ''[[Le Dauphiné libéré]]'', {{1er}} janvier 2013.</ref>).
 
== Notes et références ==
{{Références|colonnes=23}}
 
== Annexes ==
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=== Bibliographie ===
{{légende plume}}
 
;==== Livres de Gallotta :====
*''Mémoires d'un dictaphone - notes d'un chorégraphe'' de Jean-Claude Gallotta, [[éditions Plon]], 1990 {{ISBN|2259023223}}
*{{ouvrage|id=GAL98|auteur=Jean-Claude Gallotta et [[Xavier Lambours]]|titre=''Les Variations d'Ulysse''|édition=éditions Lansman|année=1998|isbn=2-87282-216-X}}. {{plume}}
*''Les Yeux qui dansent'' de Jean-Claude Gallotta et Bernard Raffalli, éditions [[Actes Sud]], 1993 {{ISBN|286869862X}}
*{{ouvrageOuvrage|id=GAL98|auteurauteur1=Jean-Claude Gallotta et [[Xavier Lambours]]|titre=''Les Variations d'Ulysse''|éditionéditeur=éditions Lansman|année=1998|isbn=2-87282-216-X|id=GAL98}}. {{plume}}
*''Mémoires d'un dictaphone - notes d'un chorégraphe'' de Jean-Claude Gallotta, [[éditions Plon]], 1990 {{ISBN|2259023223}}
 
;==== Livres sur Gallotta :====
*{{ouvrageOuvrage|idlangue=LOU88fr|auteurauteur1=[[Laurence Louppe]], [[Jean-Louis Schefer]], [[Claude-Henri Buffard]]|titre=''Jean-Claude Gallotta, groupe Émile Dubois''|éditionlieu=Paris|éditeur=éditions Dis Voir|année=1988|pages totales=108|isbn=29065710672-906571-06-7|id=LOU88}}. {{plume}}
* ''Gallotta : Souvenirs obliques d'un chorégraphe'', par Guy Delahaye et Claude-Henri Buffard, éditions [[Actes Sud]], 2005 {{ISBN|274275668X}}
* ''La Maternelle et le Chorégraphe : L'Aventure des enfants des Grands-Clos avec Jean-Claude Gallotta'', [[Claude-Henri Buffard]] (dir.), Christiane Guignard et Michèle Leca, éditions du [[Centre chorégraphique national de Grenoble]], 2015 {{ISBN|978-2-7466-8702-8}}
 
=== Liens externes ===
{{liens}}
* [http://www.gallotta-danse.com/ Groupe Émile Dubois / Compagnie Jean-Claude Gallotta]
* {{imdb name|id=0303143}}
 
{{Portail|danse|Grenoble}}
 
{{DEFAULTSORT:Gallotta, Jean-Claude}}
[[Catégorie:Danseur français du XXe siècle]]
[[Catégorie:Danseur français du XXIe siècle]]
[[Catégorie:Chorégraphe français]]
[[Catégorie:Danse contemporaine]]
[[Catégorie:Commandeur des Arts et des Lettres]]
[[Catégorie:Naissance en avril 1950]]
[[Catégorie:Naissance à Grenoble]]